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4,19

sur 2252 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Troisième volet des aventures du département V.
Une enquête intéressante : l'histoire d'un appel aux secours d'un enfant dans une bouteille jetée à la mer il y a plusieurs années.
On en apprend un peu plus sur Rose (tant mieux) et sur Assad (en fait pour Rose c'est bien le cas mais pour Assad on en sait pas plus mais cela soulève pas mal de futures questions).
Un seul bémol, la rencontre improbable entre Rakel et Isabel qui délie et relie tous les fils de l'enquête : dommage, cette enquête méritait mieux.

C'est pour cela que je ne mets que la note de 3/5.
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117 critiques sur Délivrance. Quelque chose de nouveau à dire ? Hum non , je ne crois pas. Ce que l'on aime chez Jussi Adler Olsen et son Département V ce sont justement les acteurs du département V. Délivrance c'est encore -et on aime- Mock, Assad, Rose, principalement. C'est Hardy, Jasper, Morten, Vigga, bref le petit monde de Mock que l'on suit avec intérêt. Délivrance c'est aussi une intrigue bien tissée, bien ficelée, passionnante. Mais le sujet ici, des disparitions d'enfants de sectes ou de communautés religieuses, nous angoisse, nous questionne sur ces sectes et le mode de vie de ces communautés. Encore une fois, un bon polar, une bonne lecture que nous livre Jussi Adler Olsen.
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Jussi Adler-Olsen, de son vrai nom Carl Valdemar Jussi Adler-Olsen est un écrivain danois né en 1950 à Copenhague. Après avoir été guitariste dans un groupe de musique pop, il s'essaie à la médecine puis aux sciences politiques, étudie le cinéma, mais aussi les mathématiques. Plus tard, il transforme son appartement en boutique de BD d'occasion, monte une maison d'édition, joue les scénaristes et participe au Mouvement danois pour la paix. Depuis 2007, Jussi Adler-Olsen s'est spécialisé dans le roman policier et plus précisément dans le thriller. Délivrance, son troisième roman, paraît dans les prochains jours et nous y retrouvons les personnages de Profanation.
Une bouteille en verre dépoli qui traine depuis des années dans un commissariat du Nord de l'Ecosse. A l'intérieur, une lettre écrite en danois et en lettres de sang réclamant de l'aide. Quand elle parvient au bureau des Affaires Classées de Copenhague, l'inspecteur Carl Morck la confie à ses assistants Assad et Rose qui parviennent à en déchiffrer quelques fragments révélant qu'elle a été écrite treize ans auparavant par un jeune garçon enlevé avec son frère.
Sans trop y croire et au vu de l'ancienneté du document, l'enquête débute mollement avant que Morck et son équipe ne réalisent que le criminel sévit toujours et qu'il prépare un nouveau crime monstrueux.
Disons le tout net, ce Jussi Adler-Olsen sait bougrement comment s'y prendre pour vous faire trépigner dans votre fauteuil car on lit son énorme pavé de 600 pages, à bride abattue, obsédé par l'envie d'arriver à l'épilogue. Et commet s'y prend-il pour nous tenir en haleine ?
D'abord, il faut un thème porteur, les milieux religieux sectaires ou apparentés, des communautés où l'on vit sous la férule d'un Dieu intolérant, des familles nombreuses sous le joug de croyances et de règles d'un autre âge et gare à ceux qui voudraient s'en dispenser. le poids intolérable de ces contraintes pour certains enfants qui en resteront marqués psychologiquement leur vie entière. C'est de ce terreau qu'a émergé le tueur psychopathe du roman. Je ne dévoile rien, dès le début du bouquin les personnages sont connus.
Ensuite, le criminel et ses crimes doivent être effrayants. Il est calme et froid comme la lame du couteau, extrêmement organisé et méthodique, tout est prévu dans les moindres détails, ses bases de repli sont nombreuses et il sait jouer les caméléons. Ses crimes sont atroces puisqu'il s'attaque toujours à des enfants et les tue sans remords.
Enfin, l'auteur sait rendre dingues les lecteurs car il connaît tous les trucs qui énervent. Les digressions qui nous éloignent du sujet, une enquête en parallèle pour nous faire perdre notre temps, de petits mystères sur les collaborateurs de Carl Morck, Assad à la personnalité trouble et Rose à la personnalité double. Sans oublier ces astuces éculées mais qui marchent toujours, des innocents à deux doigts de la mort et qu'on abandonne le temps d'un nouveau chapitre, etc. etc.
Il est vrai qu'au début de ma lecture, le tour de main de l'écrivain m'a paru trop voyant, qu'intellectuellement ça ne me titillait pas trop puisqu'il n'y a rien à deviner ou découvrir, le romancier nous le dévoilant lui-même. Puis la machine s'ébranle et le rythme devient infernal, Adler-Olsen nous entraîne à vive allure dans son sillage et je vous défie de descendre en route ! Cramponné au pavé vous n'avez plus qu'une hâte, arriver au bout, atteindre la délivrance.
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C'est le second roman de JAO (ces noms scandinaves...) pour lequel je dépose une critique ici. N'allez pas croire que je suis pour cela un inconditionnel de cet auteur, mais reconnaissons lui un certain talent. Il faut dire qu'il a trouvé dans la composition de son trio de tête, un policier enquêteur rétif et marginal (profil classique), une assistante au caractère de cochon (profil assez classique), et un assistant complètement exotique mais très malin (profil moins classique), une palette de tempéraments qui lui permet de dérouler ses intrigues avec ce qu'il faut de saveurs pour accrocher le lecteur. Son principal défaut réside cependant dans son choix des "méchants" et de certains personnages secondaires. Il en résulte une nouvelle fois une intrigue pour le moins tirée par les cheveux. Mais bon, l'équilibre des ingrédients nous fait tout de même pencher suffisamment du bon côté pour qu'on ait plaisir à suivre l'histoire jusqu'à son dénouement.
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Dans ce 3ème tome on s'attache encore plus à ces personnages qui tout oppose mais qui ensemble forment une équipe hors norme.

Jolie intrigue, excellente exploitation du paysage nordique et des coutumes, un humour bien maîtrisé.

L'on retrouve avec plaisir les scènes palpitantes du tome 1, sa narration fluide, simple et sans fioritures qui m'ont tant plu chez cet auteur.

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j'ai entamé ce tome en me demandant ce que la suite de cette série allait me proposer et si j'allais persister ou pas... et j'ai peiné à aller au bout.
je ne trouve pas les personnages du département V très sympathiques : le vice-commissaire est presque bipolaire, entre ses aspirations à la sieste et à la retraite et ses élans professionnels fulgurants, multipliant aussi les remarques misogynes, racistes et concupiscentes; son adjoint ancien homme de ménage parachuté assistant sans formulaire ni trompette reste un mystère et lire "hafez el assad" à tout va me heurte à chaque fois : il est rond, petit chauve et terrasse les géants musculeux avec ses mains sans pourtant éviter un simple coup parfois; quant à Rose, avec son caractère déjà vulgaire et ronchonnant, la voilà en plus schizophrène : youpi ! Quelle galerie de personnages ! ajoutons la psy qui couche avec son patient et le refile à une espèce de psy-mentaliste, les autres flics tout aussi caricaturaux, et il devient difficile de s'attacher à l'un d'entre eux.
Côté intrigue, il y en a une principale et des secondaires qui n'apportent pas grand' chose à part faire reculer le dénouement de la principale.
Le "méchant" est un personnage assez réussi, peut-être le seul finalement dont le profil est crédible.
mais l'intrigue enchaîne les épisodes extraordinaires : la course poursuite, la fuite du bowling etc. Cette succession de péripéties forme un tout très visuel et très hollywoodien : un vrai script de série TV américaine ! Ca flambe, ça explose, des arrestations manquées, des heureux hasards, des découvertes inespérées ...
trop, beaucoup trop à mon goût ! je finis par trouver l'histoire fatigante : je préfère finalement un bon thriller psychologique ou d'autres auteurs nordiques à l'écriture plus "douce" ou au contraire plus sombre, mais aux histoires pas aussi "pétardantes", ronflantes ...je ne trouve pas l'adjectif exact, mais vous aurez compris l'idée.
j'avais emprunté le tome 4 à la biblio' mais je vais m'arrêter là, pour le moment.
en bref : ça se lit bien, mais ce n'est pas ma tasse de thé, n'ayant pas de sympathie pour les héros et trouvant les intrigues trop hollywoodiennes.
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Troisième affaire du département V, ce polar est moins captivant que les précédents et bien moins abouti et cela pour plusieurs explications :
- Longueur du livre disproportionnée;
- de nombreux passages inutiles;
- L'insertion de l'affaire des usines brûlées sans aucun rapport avec l'enquête en cours;
- L'impression à un moment de la lecture d'assister à un épisode d'NCIS (Rose qu'on peut facilement assimiler à ABBY);
- Un style d'écriture qu'on commence à connaitre et un effet de surprise qui a disparu;

Toutefois, le livre se lit facilement et l'enquête reste passionnante. Les retrouvailles avec Carl Morck et Assad sont toujours aussi agréables
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Un bon livre. Néanmoins je l'ai moins apprécié que les deux précédents Miséricorde et Profanation. J'ai trouvé quelques longueurs.
On retrouve notre département V toujours en sous-sol, toujours formé par nos trois acolytes : Carl, Assad et Rose quoique cette dernière souffrante se fasse remplacée par sa soeur et qu'Assad semble avoir beaucoup de secrets..
Une bouteille avec un message traîne sur le rebord d'une fenêtre d'un commissariat. Lors que celle-ci casse et que son message est enfin trouvé, il fini par arriver dans le département V. Ce message qui vient du passé est illisible ou presque et il va falloir toute la détermination de la soeur de Rose pour essayer d'en tirer quelque chose et ce quelque chose fait froid dans le dos. Le passé va rejoindre le présent.
A lire
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Lecture en duo qui s'est eternisée plus que nécessaire, en raison d'abord du manque de rythme du tome, de l'importance des événements connexes qui prennent trop de place et de pas mal d'errement des enquêteurs.
J'ai trouvé, contrairement aux autres volumes, que notre duo d'enquêteurs pateaugeait pas mal et c'est presque un hasard si ils arrivent à délivrer les enfants captifs.
Par exemple, ils oublient leurs armes de service, n'appellent pas les renforts de suite, oublient de communiquer des informations.
On perd beaucoup de temps à suivre les tribulations de la vie personnelle de Carl et parfois c'est trop long, et au final on avance pas beaucoup.
Bref, un volume en demi teinte !
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Ce roman nous tient en haleine jusqu'à la fin. le meurtrier se fait prendre à la fin des 664 pages, c'est dire les péripéties qui se déroulent tout au long de ce roman. Cruel quand même par moments. A lire.
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