Love Hina, tome 1

Un bon démarrage bourré de quiproquos sexuels.
Certaines situations sont légèrement répétitives. Il faut espérer que le manga sache continuer en diversifiant son humour.

Un très bon moment de détente !

En lisant ce manga, je me suis dit : mais ce n'est pas possible qu'un garçon soit aussi gaffeur ! Et bien si, c'est possible. Il les accumule, pour mieux dire, il les entasse. Gaffer est un travail à plein temps pour ce garçon.
Il faut dire qu'il évolue en milieu hostile : il est entouré par cinq jeunes filles, et je ne compte même pas sa tante, ancienne gérante de la pension. Certains trouveraient sa situation rêvée, je me demande bien qui. D'un côté, le pauvre Keitaro ne sait plus quoi faire pour se faire pardonner ses bourdes involontaires (et elles sont vraiment énormes et involontaires), de l'autre, il doit affronter cinq charmantes jeunes filles, prêtes à lui rendre la vie dure. Une certitude : ce charmant jeune homme n'a pas eu de soeurs, sinon il aurait évité quelques unes de ses gaffes, surtout envers la plus jeune des pensionnaires. Je vous le dis : il y a des claques qui se perdent. Ah, non, pardon : les autres filles se chargent très bien de son compte. S'il ne réussit pas à entrer à Todai, et à honorer ainsi une promesse faite quinze ans plus tôt, il pourra toujours écrire un guide de survie en territoire ennemi.
Ce manga est différent de ceux que j'ai découverts jusqu'à présent. Il est léger, drôle, le graphisme est plus simple - pas au point d'être simpliste néanmoins. Il apporte un bon moment de détente, mais rien de plus. J'ai emprunté le tome 2, mais je ne pense pas aller plus loin dans la série.
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Un premier tome très sympa, il met bien en place l'identité de la série : une comédie romantique, probablement avec une touche de Harem, très classique dans l'ensemble.
Ce tome arrive plutôt bien à nous introduire tous les personnages importants de l'histoire, leurs personnalités, leurs relations vis-à-vis du héros et leurs histoires personnelles.
J'ai trouvé ce tome vraiment drôle, l'humour est principalement basé sur des quiproquo menant à des situations ridicules et absurdes, avec une dose de blagues perverse comme on a souvent dans les mangas / animes de ce genre et époque.
Je dirais que dans l'ensemble ce premier tome est prometteur, c'est une comédie romantique très classique avec une sorte harem et un peu d'ecchi (rien de trop exagéré selon moi), les personnages sont attachants même si un peu clichés. A voir comment le manga évolue.

Voilà un manga très agréable à lire, que j'ai vraiment beaucoup aimé.

En observant la couverture, je pensais qu'il s'agissait plutôt d'un manga shojo, mais ce n'est pas le cas. C'est un manga shonen. Et, il se trouve que, personnellement, je préfère largement les shonen aux shojos.

Le pauvre héros de ce manga, Keitaro, est accablé par la malchance. Il n'est pas très doué à l'école. Il a raté plusieurs fois le concours d'entrée dans une prestigieuse école. Finalement, il décide de partir s'installer à la pension Hinata tenue par sa grand-mère. Mais, ce qu'il ne savait pas, c'est que cette pension était strictement réservée aux filles. Filles qui vont avoir du mal à accepter la présence de ce jeune homme dont la maladresse excessive va entraîner des situations très gênantes et des quiproquos forts amusants. D'ailleurs, l'une de ces filles va bien vouloir l'aider dans sa préparation au concours d'entrée à l'université. Université qui a la réputation de lier filles et garçons amoureux pour la vie entière... d'où le désir très fort de Keitaro d'intégrer cette univerité.

En conclusion : manga shonen très agréable à lire, vivant, rigolo... Je lirai certainement la suite... un peu plus tard.
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Premier tome d'une longue suite de Shonen, Love Hina ne manque pas de surprendre ses lecteurs.

Ce manga est cocasse car le protagoniste Keitaro se retrouve dans des situations rocambolesques.
Le héro Keitaro essaye à tout prix d'intégrer la fac de Todai, malgres de nombreux efforts, il est toujours à deux doigts de réussir l'examen d'entrée. Est ce que sa motivation lui permettra de rentrer dans cet établissement prestigieux?

En se présentant à la l'internat tenu par sa grand mère, Keitaro est entouré d'un groupe de cinq filles un peu délurées qui animera bien son quotidien.

Love Hina est très drole et donne envie de découvrir comment Keitaro va "survivre" dans cet univers féminin et réaliser son rêve d'entrer à Todai.

(Série entière) Voici un manga qui peut être découvert très jeune. Il s'adresse essentiellement aux filles (shojo) mais les garçons peuvent aussi s'y intéresser par certains côtés. Un dernier tome assez court avec une dernière partie qui se détache du reste du tome où on voit le dénouement de l'histoire. de toute façon, il fallait bien que ça se finisse mais j'ai carrément préféré les premiers tomes où le pauvre Keitaro en voyait de toutes les couleurs, découverte des autres pensionnaires... Au fil des tomes, l'histoire s'essouffle un peu, avec beaucoup de répétitions, des scènes moyennement intéressantes. Un regain d'intérêt cependant vers le douzième tome ; mais toujours des lourdeurs, assez marrantes quelquefois...

Keitaro, jeune étudiant un peu paumé, un peu raté, extrêmement timide avec les filles et surtout très maladroit, rêve de réussir les examens d'entrée de la plus prestigieuse université du Japon : Todai. En effet, quelques années auparavant, il a fait la promesse à une petite fille de réussir le concours avec elle, car selon la légende deux amoureux qui entrent ensemble à Todai, sont heureux pour la vie – ah ben voui c'est une romance un peu niaise... Trois ans qu'il tente sa chance, trois ans qu'il se plante lamentablement. Jusqu'au jour où il va devenir gérant d'une pension pour jeunes filles et croiser la route de Naru Narusegawa, jolie jeune fille super brillante qui souhaite également entrer à Todai. Toutes les filles de cette pension ont leur caractère et leur histoire. Kitsune a 19 ans, elle erre de baito – petit job – en courses hippiques, elle adore boire du saké et comparer ses seins à celles de ses copines – ben oui, le shonen manga vise avant tout les garçons, donc les nénés ça fait kiffer. Enfin bref... Shinobu est une jeune fille timide de 13 ans, elle arrive à la pension Hinata après la séparation de ses parents, elle cuisine à merveille et est amoureuse de Keitaro. Sû est une étudiante étrangère assez mystérieuse, qui aime créer des robots, bien sûr ça finit toujours mal. Motoko, jeune kendoka de 15 ans, héritière d'une grande famille, elle passe son temps à s'entraîner et tabasser le maladroit Keitaro. L'histoire est assez simple, mais tout de même agréable, on rit du pauvre Keitaro qui s'en prend plein la tête à cause de sa maladresse et on espère qu'il retrouvera la fille de sa promesse. Bref, un bon moment en compagnie d'un manga léger et sans prise de tête.

Note globale : 16/20
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Le sujet de Love Hina est assez banal. Un garçon nommé Keitarô se retrouve à travailler dans une pension qui n'est habitée que par des filles.
Au fil de l'histoire, on s'attache tout de même à ce personnage un peu gauche, maladroit, qui ne sait pas y faire avec les filles. On le trouve à la fois adorable et agaçant.
Ken Akamatsu a la mauvaise de déshabiller ses personnages féminins, dès qu'il le peut et ce manga n'échappe pas à la règle.
C'en est presque trop parfois.
Pourtant, cela reste une bonne petite histoire malgré tout. Ken Akamatsu nous emmène dans son univers, tout comme il le fait dans Negi Ma.

Après Tout le bleu du ciel, @melissa_da_costa_auteure nous emmène encore au plus profond de nous mêmes avec ce deuxième roman, Les Lendemains.
On y suit Amande qui après avoir tout perdu, doit se reconstruire et réapprendre à vivre. Amande fait preuve de résilience et bravo parce qu'à sa place, je suis certaine que je n'aurai pas réussi. Une belle leçon de vie !

Mon entrée dans l'univers nippon !
Des gags, des situations plus qu'ambiguës, un jeune garçon au milieux de ces jeunes filles toutes plus attachantes les unes que les autres ; sur fond d'amour d'enfant !
Un cocktail qui fait mouche, qui se lit et se relit avec toujours autant de plaisir des années après !