Love Hina, tome 13

Ce tome se faisait attendre car le jeu de je t'aime moi non plus commençait un peu à s'étaler. Mais le fait qu'ils se déclarent leur flamme ne suffit pas à éloigner les peurs. Naru n'ai toujours pas certaine de vouloir s'engager. Alors on retrouve les gags d'avant où elle le frappe sans raison. Elle fait des crises de jalousie pour tout et s'énerve pour rien. La situation n'a pas tellement changée d'avant. Heureusement qu'une femme plus âgée lui prodigue quelques conseils pour avancer dans sa situation afin qu'elle arrête de faire sa capricieuse. Naru propose alors à Keitarô de faire l'amour ce qui tourne encore à une situation dramatique. Heureusement que Ken Akamatsu propose une succession de scènes plus absurdes les unes des autres où les filles se battent pour avoir Keitarô et sans vraiment lui demander son accord. Et comme le récit se déroule à l'étrange, tout est possible que cela soit des hommes armés ou des éléphants. Bien entendu cela se termine par un happy end où enfin Seita ouvre son coeur. Pour Naru et Keitarô cela se termine avec une question dont nous n'aurons la réponse que dans le tome final. Il reste maintenant à lire ce tome pour connaître enfin le chemin que va choisir nos amoureux. 
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Le sujet de Love Hina est assez banal. Un garçon nommé Keitarô se retrouve à travailler dans une pension qui n'est habitée que par des filles.
Au fil de l'histoire, on s'attache tout de même à ce personnage un peu gauche, maladroit, qui ne sait pas y faire avec les filles. On le trouve à la fois adorable et agaçant.
Ken Akamatsu a la mauvaise de déshabiller ses personnages féminins, dès qu'il le peut et ce manga n'échappe pas à la règle.
C'en est presque trop parfois.
Pourtant, cela reste une bonne petite histoire malgré tout. Ken Akamatsu nous emmène dans son univers, tout comme il le fait dans Negi Ma.

Un garçon gaffeur emménage dans une pension de jeunes filles. Eclats de rire garantis sur cette romance déjantée.

Une bonne série.

"Enfin les choses entre Keitaro et Naru sont devenues plus sérieuses ! Nous sommes plongés dans ce bain (et non dans le rotenburô) dès le début et ça fait du bien de changer un peu de ligne directrice. [...]"
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