Jujutsu Kaisen, tome 21

L'arc actuel avec ce jeu de massacre, la traque meurtrière est quand même loin d'être à la hauteur de ce qu'était la série avant, et surtout c'une grosse descente depuis le magistral dernier acte dont on savait qu'on ne se remettrait pas. Mais là, il y a vraiment un côté WTF, des combats, mais nous avons du mal à être pleinement immergé et même à avoir de l'attachement envers les personnages, surtout ceux qu'on ne connaît pas. Il y a différents combats, et c'est un peu comme si c'était le moment de faire ses preuves, parfois ce sera même le début d'une nouvelle collaboration.
Ce tome nous livre une réflexion sur le métier de mangaka, c'est un peu dingue, et cela fait son petit effet. Nous allons également dans le passé plusieurs fois (ou autre chose ?) mais avec certaines planches nous avons carrément l'impression d'être dans un autre manga.
En plus, c'est maintenant plus comme un manga de survival game, avec les défauts inhérents au genre, même si ça se laisse souvent lire.
Je ne sais pas trop ce que le mangaka a cherché à faire, mais cet arc je ne vais pas m'en remettre mais d'une autre manière que le précédent, et vivement qu'on passe à autre chose.
Il est également un peu lourd par moment, nous sommes quand même content de revoir certains personnages et rien n'est joué même quand ils sont au plus mal, c'est impressionnant.

L'arc de la Traque Meurtrière continue, et les points coulent à flot !

De manière assez surprenante, c'est Kinji Hakari le protagoniste de ce tome. On suit l'élève de terminale à travers des combats épiques, contre un mangaka en devenir, Charles Bernard, ainsi que contre Hajime Kashimo, un Ener - bis pour celles et ceux qui lisent One Piece.

Et puis pauvre Panda …

C'était un tome agréable a lire, les combats sont lisibles et très divertissant, ils ne se ressemblent pas, et on sent tout le travail derrière à inventer des sorts et univers originaux.

Avec le personnage qui arrive en fin de tome, j'ai très hâte de lire la suite.