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Critique de Patlancien
Après Jules Verne et HG Wells, le tome 4 du château des étoiles nous entraîne cette fois-ci chez notre ami Edgar Rice Burroughs et sa fameuse princesse de Mars. Nous y retrouvons le côté épique propre au créateur de John Carter et sa saga martienne.
Comme les trois premiers tomes, ce quatrième ouvrage ne renie en rien ses liens avec les prédécesseurs. La qualité des dessins comme l'originalité du scénario restent de rigueur et on ne se lasse toujours pas des aventures de Séraphin, Sophie et Hans. Alex Alice sait faire évoluer son univers steampunck sans tomber dans la routine ni dans les banalités du genre.
Cette fois, nous sommes bel et bien sur Mars en présence de ses habitants: les martiaux. Notre planète bleue se trouve reléguée au dernier plan et toute l'action se passe sur la Rouge. le dépaysement est très présent dans ce volume. Il en est de même pour nos héros qui deviennent de vrais ados au caractère bien trempé. Leur maturité se fait enfin sentir. Ils prennent de plus en plus d'épaisseur dramatique. On commence à ressentir des émotions qui servent une histoire devenue plus construite et mieux réfléchie. L'action reste pourtant toujours présente et les rebondissements sont toujours de la partie.
Pour ce qui est du dessin, il continue d'être époustouflant. Chaque planche est une oeuvre d'art. les paysages martiens sont déroutants tout en respectant les poncifs du genre. La représentation des habitants ou de leurs engins sont d'une poésie que le grand Ray Bradbury ne renierait pas pour ses chroniques martiennes. Les couleurs pastel demeurent toujours la marque de fabrique de la série, elle se démarque ainsi des autres BD. On prend un plaisir énorme à les contempler, à les admirer. Les illustrations d'Alex Alice sont vraiment à la hauteur de la fascination que cette planète continue d'exercer sur l'imaginaire humain.
Un dessert signature se doit d'être déguster lentement afin d'éviter l'indigestion qui serait fatal à la renommée du chef Alex Alice. On a pris goût à son Château des étoiles. le quatrième tome finit le deuxième cycle de ces aventures. Les tomes 5 et 6 annoncent un retour sur Terre. On aura le plaisir d'y retourner prochainement ensemble…
Comme les trois premiers tomes, ce quatrième ouvrage ne renie en rien ses liens avec les prédécesseurs. La qualité des dessins comme l'originalité du scénario restent de rigueur et on ne se lasse toujours pas des aventures de Séraphin, Sophie et Hans. Alex Alice sait faire évoluer son univers steampunck sans tomber dans la routine ni dans les banalités du genre.
Cette fois, nous sommes bel et bien sur Mars en présence de ses habitants: les martiaux. Notre planète bleue se trouve reléguée au dernier plan et toute l'action se passe sur la Rouge. le dépaysement est très présent dans ce volume. Il en est de même pour nos héros qui deviennent de vrais ados au caractère bien trempé. Leur maturité se fait enfin sentir. Ils prennent de plus en plus d'épaisseur dramatique. On commence à ressentir des émotions qui servent une histoire devenue plus construite et mieux réfléchie. L'action reste pourtant toujours présente et les rebondissements sont toujours de la partie.
Pour ce qui est du dessin, il continue d'être époustouflant. Chaque planche est une oeuvre d'art. les paysages martiens sont déroutants tout en respectant les poncifs du genre. La représentation des habitants ou de leurs engins sont d'une poésie que le grand Ray Bradbury ne renierait pas pour ses chroniques martiennes. Les couleurs pastel demeurent toujours la marque de fabrique de la série, elle se démarque ainsi des autres BD. On prend un plaisir énorme à les contempler, à les admirer. Les illustrations d'Alex Alice sont vraiment à la hauteur de la fascination que cette planète continue d'exercer sur l'imaginaire humain.
Un dessert signature se doit d'être déguster lentement afin d'éviter l'indigestion qui serait fatal à la renommée du chef Alex Alice. On a pris goût à son Château des étoiles. le quatrième tome finit le deuxième cycle de ces aventures. Les tomes 5 et 6 annoncent un retour sur Terre. On aura le plaisir d'y retourner prochainement ensemble…
