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Citations sur Amityville : La maison du diable (45)

En ce qui concerne Georges et Kathleen Lutz, ils ont eu à éprouver plus qu’ils ne pouvaient l’imaginer les tourments des esprits désincarnés. Quant à nous, nous sommes en face d’un dilemme : plus l’explication est rationnelle, moins elle devient crédible. Il s’agit là d’un de ces sombres mystères qui mettent au défi notre compréhension traditionnelle du monde qui nous entoure.
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En ce qui concerne George et Kathleen Lutz, ils ont eu à éprouver plus qu’ils ne pouvaient l’imaginer les tourments des esprits désincarnés. Quant à nous, nous sommes en face d’un dilemme : plus l’explication est rationnelle, moins elle devient crédible. Il s’agit là d’un de ces sombres mystères qui mettent au défi notre compréhension traditionnelle du monde qui nous entoure.

Postface
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Quelle crédibilité peut-on ainsi accorder au récit des Lutz ? Il y a trop de témoignages émanant de personnes n’ayant aucun lien avec eux qui confirment leur histoire pour prétendre qu’ils auraient imaginé ou fabriqué de toutes pièces cette suite d’événements. Mais si la vérité est telle que je l’ai reconstituée dans cet ouvrage, comment l’interpréter ?
Voici une interprétation donnée par un chercheur expérimenté dans les phénomènes paranormaux :

« La maison des Lutz semble être hantée par au moins trois entités distinctes. Le médium Francine a senti la présence d’au moins deux “ fantômes ” ordinaires, c’est-à-dire deux esprits humains qui, pour une raison donnée, sont restés attachés à un endroit spécifique bien après leur mort physique et qui, en fin de compte, ne désirent rien d’autre que d’être laissés en paix pour jouir de l’endroit où ils vivaient pendant leur séjour sur terre. La femme, dont Kathy percevait la caresse et le parfum (Francine a parlé d’une “ vieille ”), est peut-être la première occupante de la maison, qui ne désire simplement que rassurer la nouvelle propriétaire qui trouvait “ sa ” cuisine un endroit tellement agréable.

De même, le petit garçon qui a parlé à Missy et ensuite à la belle-sœur de Kathy est probablement un autre esprit humain – toujours selon les médiums et les spirites – qui n’a pas accepté sa mort. Seul et perdu dans l’univers intemporel de l’aprèsmort, il gravitait autour de la chambre de Missy où il fut très étonné de trouver son lit occupé par Jimmy et Carey. Même s’il a demandé à Carey de l’aider, ce n’est évidemment pas lui qui tirait des plans pour que Missy devienne pour toujours sa compagne de jeux.

Postface
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Je voudrais faire également remarquer que, lorsque les Lutz s’enfuirent de chez eux au début de 1976, ils n’avaient nullement l’intention de raconter leurs aventures dans un livre. C’est seulement après avoir constaté que les journaux et les autres media d’information déformaient ou exagéraient ce qui était arrivé dans leur maison que les Lutz acceptèrent qu’on publie leur histoire. Ils ignoraient d’ailleurs que bon nombre des incidents qu’ils avaient vécus seraient confirmés par d’autres personnes. En plus de mettre de l’ordre dans les enregistrements qu’ils firent, j’ai interviewé moi-même les autres témoins impliqués dans cette affaire et, de fait, George et Kathy Lutz n’apprirent les mésaventures du père Mancuso qu’après la rédaction finale de ce livre.

Postface
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Pour autant que j’aie pu les vérifier, tous les événements rapportés dans ce livre sont authentiques. George et Kathleen Lutz ont accepté d’entreprendre la tâche épuisante et souvent pénible de reconstituer au magnétophone les vingt-huit jours qu’ils passèrent dans leur maison d’Amityville, apportant chacun à son tour des éléments communs ou individuels pour que leur « journal » définitif soit aussi complet que possible.
(...) Mais la preuve la plus tangible en faveur de la crédibilité de leur histoire est de nature circonstancielle : il faut plus que de l’imagination ou des nerfs détraqués pour qu’une famille de cinq personnes, en bonne santé et sans tare, s’enfuie précipitamment et d’une façon dramatique d’une aussi belle maison de trois étages, avec sous-sol habitable, piscine extérieure et hangar à bateaux, sans même emporter ses effets personnels.

Postface de l'auteur
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Aujourd’hui, Missy se fâche quand on lui parle de Jodie. Quant à Danny et à Chris, ils sont toujours capables de décrire d’une façon vivante le « monstre » qui a couru après eux pendant la dernière nuit. Kathy ne veut pas parler du tout de cette période de vie et George a vendu les intérêts qu’il possédait dans William H. Parry Inc. Il évite de laisser sa famille seule pendant trop longtemps. Il souhaite que ceux qui liront le récit de ces événements comprennent combien ces entités maléfiques peuvent être dangereuses pour les imprudents et les incrédules. « Elles sont réelles, insiste-t-il, et elles font le mal chaque fois que l’occasion se présente ! »

Épilogue
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Le Vendredi saint suivant, le père Frank Mancuso se rétablit d’une pneumonie et, en avril, l’évêque de son diocèse le transféra dans une autre paroisse, loin du 112 Ocean Avenue. Les cicatrices des mortifications et la peur qu’il a endurées demeurent indélébiles dans sa mémoire.

Épilogue
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(...) ils avaient déménagé à l’autre bout des États-Unis, en Californie, en laissant derrière eux toutes leurs affaires, tous leurs biens et tout l’argent qu’ils avaient investi dans leur maison de rêve. Pour se débarrasser de leur maison, ils signèrent une procuration de vente à la banque qui détenait l’hypothèque. On recouvrit les fenêtres de planches pour décourager les vandales et pour empêcher les curieux, les amateurs de sensations fortes et les lunatiques d’y entrer.

Épilogue
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Le 18 février 1976, Marvin Scott, de la 5ème chaîne new-yorkaise, décida de procéder à une enquête approfondie sur une maison apparemment hantée qui se trouvait à Amityville, dans Long Island. Toute une équipe de médiums, de clairvoyants et de parapsychologues devait passer une nuit à l’intérieur de cette maison. On y avait même invité un démonologue. (...)
Autour de la table, il y avait Lorraine Warren, clairvoyante, et Ed, son mari, démonologue ; Mary Pascarella et Mme Alberta Riley, médiums ; et George Kekoris, de l’institut de recherches psychiques de Durham, en Caroline du Nord. Marvin Scott se joignit également au groupe autour de la table.

Epilogue
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11 janvier – Les Lutz habitaient au 112 Ocean Avenue depuis maintenant 25 jours. Ce dimanche-là fut l’un des pires. (...)
Personne ne l’exprimait à haute voix, mais George, Kathy, Danny, Chris et même Missy étaient désormais prêts à se battre contre toute force, naturelle ou surnaturelle.

Chapitre 22
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