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Critique de Flaubauski
A l'heure où la Terre, devenue inhabitable, n'est plus qu'un lointain souvenir, et où l'Empire Galactique s'étend dans toute la Voie Lactée depuis plus de douze millénaires, Gaal Dornick, mathématicien, est envoyé sur Trandor, planète centrale de l'Empire, pour rejoindre le projet d'Hari Seldon, psychohistorien qui sait que le monde tel qu'il est connu n'en a plus pour longtemps et que, pour le reconstruire plus vite après sa chute, il faut qu'un grand nombre d'Humains retienne des informations sur celui-ci de manière morcelée pour pouvoir reconstruire un nouveau monde plus rapidement. C'est la naissance du projet Fondation, enfin du moins les premières bases d'un projet qui est bien plus complexe et insidieux qu'il n'y paraît.
Ce premier tome du cycle de Fondation, qui réunit cinq nouvelles racontant l'histoire du projet pendant ses cent cinquante premières années, pose les jalons, de manière plutôt immersive, d'un univers riche, qui aurait pu être complexe à saisir dans la multiplicité des évolutions technologiques, scientifiques... et des complots politiques au projet, mais qui ne l'est pas du tout en raison de la fluidité de la transmission des éléments-clé de la compréhension de cet univers. En effet, l'histoire telle qu'elle est construite par Asimov est passionnante, et j'ai personnellement ingurgité toutes les informations avec une grande facilité, sans me poser de questions.
L'on pourrait juste reprocher à ce premier tome le manque de caractérisation et de profondeur des protagonistes de chaque nouvelle, mais le monde imaginé par l'auteur est tellement gigantesque, d'une certaine façon, et paradoxalement, assez éloigné de l'Humanité, dans le sens où nous la connaissons. Et puis, finalement, ce sont des nouvelles, même si leur cohésion donne l'impression que ce sont différents chapitres d'un seul et même roman.
Je vais continuer avec plaisir le cycle, je pense sous très peu de temps.
Ce premier tome du cycle de Fondation, qui réunit cinq nouvelles racontant l'histoire du projet pendant ses cent cinquante premières années, pose les jalons, de manière plutôt immersive, d'un univers riche, qui aurait pu être complexe à saisir dans la multiplicité des évolutions technologiques, scientifiques... et des complots politiques au projet, mais qui ne l'est pas du tout en raison de la fluidité de la transmission des éléments-clé de la compréhension de cet univers. En effet, l'histoire telle qu'elle est construite par Asimov est passionnante, et j'ai personnellement ingurgité toutes les informations avec une grande facilité, sans me poser de questions.
L'on pourrait juste reprocher à ce premier tome le manque de caractérisation et de profondeur des protagonistes de chaque nouvelle, mais le monde imaginé par l'auteur est tellement gigantesque, d'une certaine façon, et paradoxalement, assez éloigné de l'Humanité, dans le sens où nous la connaissons. Et puis, finalement, ce sont des nouvelles, même si leur cohésion donne l'impression que ce sont différents chapitres d'un seul et même roman.
Je vais continuer avec plaisir le cycle, je pense sous très peu de temps.
