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Critique de Snarkk
Tout simplement l'un de mes livres préférés, que je considère comme un classique toutes littératures confondues. C'est par le cycle de Fondation que je me suis rendu compte à quel point Isaac Asimov était un auteur brillant. A mon humble avis, il n'y a aucun space-opera, sous quelque support culturel que ce soit, qui égale la qualité et la profondeur du cycle de Fondation.
Se servant de rien de moins que l'histoire de l'humanité comme fil rouge de cette saga, le tome 1 nous (hyper)propulse à Terminus. Kézaco ? C'est le nom de la planète, "à l'autre bout de la galaxie", ou s'est établie une colonie d'Encyclopédistes envoyée là-bas par le professeur Seldon, véritable prophète scientifique d'une discipline appelée psychohistoire. Mais l'Empire galactique qui domine la galaxie humaine est en proie à la désagrégation. Celle-ci est lente mais inéluctable. Elle entraînera à sa suite la galaxie pour des dizaines de millénaires de barbarie. A moins que la Fondation réussisse à réduire cette période à l'espace d'un tout petit millénaire...
Sous la houlette de personnages savoureux, voire inoubliables comme Salvor Hardin et ses maximes ("La violence est le dernier refuge de l'incompétence"), on prend plaisir à suivre l'expansion de Terminus, qui empruntera un chemin très similaire à ce qu'il a pu se passer sur la planète Terre, dans notre espace-temps, il y a plusieurs millénaires...
Un chef-d'oeuvre, définitivement !
Se servant de rien de moins que l'histoire de l'humanité comme fil rouge de cette saga, le tome 1 nous (hyper)propulse à Terminus. Kézaco ? C'est le nom de la planète, "à l'autre bout de la galaxie", ou s'est établie une colonie d'Encyclopédistes envoyée là-bas par le professeur Seldon, véritable prophète scientifique d'une discipline appelée psychohistoire. Mais l'Empire galactique qui domine la galaxie humaine est en proie à la désagrégation. Celle-ci est lente mais inéluctable. Elle entraînera à sa suite la galaxie pour des dizaines de millénaires de barbarie. A moins que la Fondation réussisse à réduire cette période à l'espace d'un tout petit millénaire...
Sous la houlette de personnages savoureux, voire inoubliables comme Salvor Hardin et ses maximes ("La violence est le dernier refuge de l'incompétence"), on prend plaisir à suivre l'expansion de Terminus, qui empruntera un chemin très similaire à ce qu'il a pu se passer sur la planète Terre, dans notre espace-temps, il y a plusieurs millénaires...
Un chef-d'oeuvre, définitivement !
