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Citations sur Illusions ou Le Messie récalcitrant (47)

Ce que la chenille appelle la fin du monde, le Maître l’appelle un papillon.
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Nous sommes tous des imposteurs dans l'ensemble de ce monde, nous prétendons tous être quelque chose que nous ne sommes pas.
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"Au sein de chacun de nous se trouve le pouvoir de consentir à la santé



et à la maladie, à la richesse et à la pauvreté, à la liberté et à

l'esclavage. C'est nous qui maîtrisons cela et nul autre"
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Ta seule obligation en n'importe quelle vie est d'être vrai envers toi-même.
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"Il n'est jamais problème qui n'ait un cadeau pour toi entre ses mains.

Tu cherches des problèmes parce que tu as besoin de leurs cadeaux."
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"Ca ne t'ai jamais arrivé, quand tu as un problème qui te trotte dans la tête, d'ouvrir le premier livre qui te tombe sous la main et de regarder ce qu'il te dit ?"
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On enseigne le mieux ce qu'on a le plus besoin d'apprendre.
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Il y avait jadis dans un village sur le fond d’un grand fleuve de cristal, des créatures.

Le courant de ce fleuve glissait au-dessus de tous – jeunes et vieux, riches et pauvres, bons et méchants -, et le courant allait son propre chemin ne connaissant que sa propre nature de cristal.

Chaque créature à sa manière, s’accrochait étroitement aux branches et aux rochers du fond du fleuve, car s’accrocher était leur mode de vie, et résister au courant, tout de que chacun d’eux avait appris depuis sa naissance.

Mais une créature dit à la fin : » Je suis las de m’accrocher. bien que je ne puisse pas le voir de mes yeux, je crois que le courant sait où il va. je lâcherai et me laisserai entraîner où il veut. A rester accroché, je mourrai d’ennui. »

les autres créatures éclatèrent de rire : « Idiot ! Lâche donc et ce courant que tu vénères te jettera, ballotté et meurtri, contre les rochers ; tu en mourras, et plus vite que d’ennui.

Mais l’autre ne tint pas compte de ce quolibet, et retenant son souffle, il lâcha et fut aussitôt ballotté et meurtri par le courant contre les rochers.

Or bientôt, comme il refusait de s’accrocher de nouveau, le courant le souleva et le libéra du fond, et il ne fut plus bousculé ni blessé.

Et les créatures vivant en aval, pour lesquelles il était un étranger, se mirent à crier : Voici un miracle ! Une créature comme nous-mêmes, et pourtant elle vole ! Voici le Messie venu pour nous sauver tous !

Et celui que le courant portait dit : » Je ne suis pas plus Messie que vous. Le fleuve se plaît à nous soulever et à nous libérer, si seulement nous osons lâcher. Notre véritable tâche c’est ce voyage, cette aventure.

Mais les autres criaient de plus belle. Sauveur ! sauveur ! tout en s’accrochant aux rochers, et lorsqu’ils levaient la tête une deuxième fois, celui que le courant portait s’en était allé, alors, restés seuls, ils fabriquaient des légendes à propos d’un sauveur.
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Nous autres faiseurs-de-miracles, nous devons nous serrer les coudes.
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Il n'est
jamais de problème
qui n'ait un cadeau pour toi
entre ses mains.

Tu cherches des problèmes
parce que tu as besoin
de leurs cadeaux.
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