Kaiser Karl

Je ne possède rien, je touche un pourcentage sur tout-a-t-il coutume de dire.

Le moins déroutant est encore Lagerfeld. Kaiser a conservé son catogan et son éternel éventail, et s'est dessiné un tricorne et un long habit Renaissance, des bas blancs et des chaussures.

Qu'importe le prix exorbitant. Il a toujours dépensé sans faire de placements.

Pendant les collections, il fallait embaucher des couturières.

Une telle capacité de travaille suppose une discipline hors pair.

Karl déteste la maladie. Depuis toujours, il fuit ses amis au moindre refroidissement.

Mon âge ? Je ne le dirai jamais, et puis il y des choses que je ne sais pas moi-même...

Il laisse souvent ses proches lui organiser des anniversaires où le nombre de bougies sur le gâteau est inferieur de cinq à la réalité. Si l'on insiste , il s'en tire avec une pirouette : - Mon âge je ne le dirai jamais et puis il y a des choses que je ne sais pas moi-même...

Maintenant qu'il a franchi la barre des quarante ans, il ment sur son âge.

Je ne tombe jamais amoureux, je suis seulement amoureux de mon travail.