Comme si une jeune femme pouvait s’ennuyer…
Mais que faire, lorsqu’on n’a pas la vocation du dévouement, après avoir longuement rêvé devant sa glace, essayé des coiffures, raffiné sur sa toilette, goûté sans appétit, un peu lu, un peu bâillé, et regardé le soir descendre sur l’allée que le vent brutalise ?
Attendre, toujours attendre. Un jour, un autre jour… Chaque heure solitaire est du bonheur perdu, chaque parole adressée à d’autres vous dépossède un peu.
Les hommes ne sépareront pas ce que Dieu a uni…