AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,78

sur 163 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Autre roman découvert grâce aux éditions Calmann-Lévy : Un coin de parapluie de Sylvie Baron.
À Vic-sur-Cère dans le Cantal, la villa Médard en impose par son élégance, ses secrets bien gardés, ses vies forgées autour de l'industrie du parapluie et d'une femme d'affaires exceptionnelle, Hélène Vitarelle.
Son assassinat est un coup de tonnerre.
Tout accuse son gendre, Jacques Naucelle, qui se suicide en prison, signant ainsi l'aveu de sa culpabilité.
La seule à être persuadée de son innocence est sa maîtresse, Nina. La jeune femme ne voit qu'une personne capable de faire éclater la vérité : sa tante Joséfa.
Bien que dubitative, celle-ci se laisse convaincre par sa nièce de se faire embaucher comme domestique dans la famille Vitarelle pour mener sa propre enquête.
Fine mouche sous ses rondeurs avenantes, Joséfa va mettre à nu les rouages d'une diabolique machination.
Un coin de parapluie est un très bon roman, qui m'a charmé grâce à deux personnages de femmes fortes : Nina et sa tante Joséfa. Nina est une jeune femme qui a un tempérament de feu, avec elle on ne s'ennuie pas ! Elle était la maîtresse de Jacques et elle est persuadée qu'il est innocent de ce dont on l'accuse.
Joséfa, la tante de Nina, est plus posée. Plus âgée que sa nièce elle est plus mature, elle sait faire preuve de calme, d'observation. Elle accepte de se faire embaucher dans la maison pour faire son enquête.
Leur duo est un duo de choc de part leurs caractères, leur lien de parenté, leur façon d'être. Cela fonctionne bien. J'ai beaucoup aimé ces deux femmes.
L'histoire est très intéressante, à aucun moment je ne me suis ennuyée et j'ai beaucoup aimé ma lecture.
Je découvre Sylvie Baron avec ce roman, mais je la relirais avec plaisir.
Ma note : 4,5 étoiles.
Commenter  J’apprécie          340
*****

Joséfa et Nina font partie de la même famille, elles sont très proches et partagent beaucoup mais elles ont deux caractères totalement opposés. Alors que Joséfa, plus posée, plus calme, aime écouter et regarder ce qui l'entoure, Nina, plus fougueuse, possède un tempérament de feu et ferait parfois mieux de réfléchir avant d'agir. Mais ces deux-là forment un duo de choc quand il s'agit de résoudre une énigme... Au pays du parapluie, tout le monde n'a qu'à bien se tenir... C'est elles qui font la pluie et le beau temps !!!

Je viens de tourner la dernière page du roman de Sylvie Baron avec une petite larme au coin des yeux et déjà un brin de nostalgie... Et c'est déjà la deuxième fois qu'elle me fait cet effet !!
Déjà avec Rendez vous à Belinay, Sylvie Baron m'avait conquise. En plus d'une écriture agréable, rythmée, fluide, elle nous offre des personnages savoureux. Elle doit aimer les mots autant que les gens, parce qu'il transparaît dans ses histoires une âme sincère et une tendresse particulière.

Ouvrir un roman de Sylvie Baron c'est plonger dans son univers. C'est accepter de se couper du monde et se retrouver dans une ambiance où mystère et passion s'entremêlent...

Tout comme dans cette maison bourgeoise du Cantal, où tout n'est que désordre et douleur, Joséfa a su faire sa place dans ma mémoire. A l'image de cette famille pour qui l'amour a tant manqué, Joséfa a réussi à réchauffer mes soirées...

Plongez vite à ses côtés et partez pour une virée au pays des parapluies !!

Un grand merci à NetGalley et aux Éditions Calmann-Lévy pour leur confiance...
Lien : https://lire-et-vous.fr/2020..
Commenter  J’apprécie          290
Je n'ai jamais été déçue par un roman de Sylvie Baron. Un coin de parapluie m'a une fois encore ravie..
Vic-sur-Cère en Cantal se situe non loin d'Aurillac en pays Cantalou. Et la réputation internationale de la ville tient entre autres au mot : parapluie.
La famille Vitarelle , reconnue pour la qualité, la modernité de ses modèles, est dirigée de main de maitre par Hélène Vitarelle, une femme au caractère bien trempé à laquelle rien ne résiste même et surtout pas ses proches qu'elle maintient sous sa coupe.. ça passe ou ça casse.. et cela a cassé. Elle a été assassinée par son gendre Jacques Naucelle, niant tout en bloc, Jacques a été arrêté et s'est suicidé dans sa cellule de garde à vue. Affaire classée donc.

Mais voilà ce serait mal connaitre Joséfa, une femme de caractère, au coeur immense qui devant le désarroi de sa nièce Nina l'ancienne maitresse de Jacques dont elle a eu des jumeaux décide de prendre les choses en main et de découvrir si, comme le croit Nina Jacques était innocent , de découvrir la vérité..

Les voilà introduites à la Médard l'une comme intendante, cuisinière, femme à tout faire, et Nina comme aide jardinière.. Leurs investigations peuvent commencer

Une fois encore Sylvie Baron offre à son lecteur une lecture addictive, pas le temps de souffler, l'écriture est prenante, rapide et addictive, les personnages plus vrais que nature. Et puis il ne me faudrait pas oublier le décor de l'action le Cantal dans toute sa splendeur .. il ne vous reste qu'à boucler votre sac de voyage pour aller y faire un tour ..

ps: n'oubliez pas votre parapluie à défaut de pluie il vous servira d'ombrelle ...
Commenter  J’apprécie          250
Après avoir lu trois livres, que j'avais adorés, de Sylvie Baron, j'avais écrit que cette auteure était devenue une valeur sûre pour moi. Aussi, en cette période de confinement, son dernier roman était ce dont j'avais besoin.


Hélène Vitarelle est la dirigeante d'une entreprise renommée de l'industrie du parapluie. Cette femme d'affaires est connue pour son tempérament exigeant et autoritaire. Aussi, lorsqu'elle est assassinée, les suspects ne manquent pas. L'enquête est vite résolue, puisque tout accuse son gendre, Jacques. Ce dernier se suicide en prison, ce qui semble confirmer sa culpabilité.


Nina, sa maîtresse, pense qu'il est innocent. Déterminée à le prouver, elle convainc sa tante, Joséfa, de se faire embaucher, avec elle, par la famille Vitarelle. Les deux femmes mènent l'enquête, en s'appuyant sur les personnalités de l'entourage de la défunte. Cependant, elle n'avait pas anticipé le fait qu'elles allaient s'attacher à certains membres de la famille.


Celui qui a beaucoup touché Joséfa et qui m'a beaucoup émue est Frédéric. Il a dix ans et c'est le fils de Jacques, le meurtrier présumé. Il n'a plus de papa, sa grand-mère était très dure avec lui et sa maman, qui a toujours eu une personnalité fragile, est hospitalisée dans une clinique psychiatrique. le petit garçon est livré à lui-même et n'a pas de loisirs de son âge. Grâce à Joséfa, il découvre l'innocence des jeux d'enfants, le plaisir de l'imagination ainsi que le pouvoir et la magie des mots. Une relation tendre se développe entre eux deux et j'ai aimé l'amour de la langue française, transmis par Sylvie Baron.


Dans ses romans, l'auteure met en valeur une profession. Dans celui-ci, elle dépeint l'industrie du parapluie[…]


La suite sur mon blog...


Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..
Commenter  J’apprécie          212
Je découvre Sylvie Baron avec le parapluie de la discorde. J'ai découvert ce livre dans la liste Babélio des poches de l'année 2021. Il figurait en bonne place. Je ne lis jamais les critiques avant d'entamer un livre. Souvent, l'histoire est ébruitée et je n'ai plus de plaisir.
Je ressors emballé par cette lecture. Ce roman policier se lit avec une fluidité impressionnante, les tournures de phrase sont simples, le vocabulaire est à la portée de tous.
L'intrigue est bien amenée. Pour ma part, je n'ai rien vu venir. J'ai retrouvé une certaine similitude avec Agatha Christie. C'est loin de me déplaire, car l'histoire est joliment écrite.
J'ai aimé le lieu, la passion dont l'auteure a fait preuve pour décrire la fabrication des parapluies, son amour du terroir, la psychologie des personnages, l'histoire d'amour entre deux protagonistes, le vieux jardinier, la relation de Joséfa et de Frédéric.
Et puis j'ai adoré l'héroïne Joséfa tellement humaine, bienveillante, gaie, inspirée, sereine, réconfortante.
J'ai dévoré la fin, tellement l'histoire m'a passionné.
J'ai très envie de me plonger dans un autre livre de Sylvie Baron, une autre histoire de Joséfa. J'espère que l'héroïne continuera de vivre longtemps sous la plume de l'auteure. J'aurais un certain plaisir à la retrouver.
Jetez vous sur le parapluie de la discorde. A coup sûr, vous ferez une excellente lecture.
Je vous remercie Mme Sylvie Baron. le parapluie de le discorde est remplie d'ions positifs qui reboostent. Vous m'avez fait vivre un excellent moment.
Une mention spéciale : A l'idée des livres en vacances, et aux mots oubliés.
Commenter  J’apprécie          70
Hélène Vitarelle est à la tête d'une entreprise de renom du parapluie. Elle est une femme d'affaires redoutée et redoutable ; elle est exigeante, autoritaire. Lorsque l'on retrouve Hélène morte, je peux vous dire que les suspects, il y en a des tonnes ! Malgré les suspects en pagaille qu'il peut y avoir, l'enquête sera vite résolue car il semblerait que ce soit le gendre de cette dernière qui l'aurait assassiné... Jacques, son gendre s'est suicidé en prison, voici une preuve de sa culpabilité toute trouvée...

Joséfa et Nina sont de la même famille, elles sont très proches et partagent beaucoup de choses ensemble. Pourtant, elles ont des caractères bien différents mais c'est justement ce qui fait que leur relation est solide. Joséfa, la tata est plus posée, calme, mature ; elle aime écouter, observer, regarder ce qui l'entoure tandis que Nina, la nièce est plus fougueuse, vivace ; elle a le sang chaud, un tempérament de feu ! Elle ferait mieux parfois de réfléchir avant d'agir. Mais leur duo de choc fonctionne parfaitement, surtout lorsqu'il s'agit de résoudre des enquêtes étonnantes.



Nina était la maîtresse de Jacques et cette dernière est persuadée qu'il est innocent. Elle est bien déterminée à prouver l'innocence de son défunt amant, parti trop tôt. Nina va convaincre Joséfa à l'aider à prouver l'innocence de son Jacques mais pour se faire, elle va devoir infiltrer la demeure des Vitarelle. Joséfa va réussir à se faire embaucher comme femme de ménage.



Le coupable n'a qu'à bien se tenir car ce sont les deux femmes qui vont faire la pluie et le beau temps dans la demeure d'Hélène ! Elles vont mener l'enquête avec beaucoup de précautions, malgré tout, elles vont faire une terrible erreur, s'attacher à certains membres de cette famille... Frédéric est le personnage le plus touchant de tous, certainement parce que c'est un jeune garçon âgé d'une dizaine d'année qui vient de perdre son papa chéri. Maintenant, il porte une terrible étiquette sur le dos "meurtrier d'Hélène", sa grand-mère qui était très autoritaire avec lui. Quand à sa maman, elle est hospitalisée car elle est fragile psychiquement parlant. N'ayant plus de repère, Frédéric est livré à lui-même mais heureusement que Joséfa est là pour aider cet enfant innocent qui n'a rien demandé. Joséfa va lui donner tout l'amour et la confiance qu'il a besoin pour grandir. Leur relation qui s'installe au fil du temps est belle à voir, on ressent tout l'amour qu'il y a entre eux.



Le nouveau roman de Sylvie Baron est une très belle découverte pour ma part, comme toujours d'ailleurs. Ici, on va en apprendre beaucoup sur l'industrie du parapluie. Vous n'avez pas idée de la complexité et du nombre de personnes qui participent à la confection de cet objet que nous utilisons dès qu'il pleut.



Par ailleurs, ça fait longtemps que je n'avais pas été surprise de la sorte dans une lecture ! Nos enquêtrices amatrices au grand coeur ont réussi à mettre en lumière, avec beaucoup d'ingéniosité le coupable mais aussi la vérité sur cette famille Vitarelle qui avait beaucoup de choses à nous révéler. La plume de l'auteur est belle, fluide, émouvante et très agréable à lire. La trame de l'histoire est bien menée et est addictive.



Tout ça pour vous dire qu'en commençant ma lecture, j'étais loin de m'imaginer la tournure qu'allait prendre cette histoire qui m'a totalement passionné ! Sylvie Baron nous offre un récit dense, fort avec une fin étonnante. A découvrir de toute urgence !
Lien : https://leslecturesdeladiabl..
Commenter  J’apprécie          72
Je remercie les éditions J'ai Lu pour cette superbe réception qui paraîtra le 8/9. J'ai découvert la plume de Sylvie Baron avec " le cercle des derniers libraires " et cette lecture ne m'avait pas convaincue. CEPENDANT, le parapluie de la discorde est écrit d'une façon plus nette, plus confiante et plus fluide. Je me suis laissé prendre dans cette enquête avec Joséfa qui est une sacrée bonne-femme et Nina, la jeune mère détruite par Jacky, l'homme aux 1000 conquêtes. L'autrice nous emmène dans le monde de les confections via une famille menée à la baguette par la mère avant que celle-ci ne soit assassinée. Dure, froide, un coeur sec, Hélène Vitarelle est un être abject et bons nombres auraient le mobile parfait... Jacky ? Hugo ? Charles ? Sophie ? le tyran n'est plus, mais elle laisse des traces. L'enquête est très bien ficelée dans ce roman et beaucoup plus approfondie. Sylvie Baron mène l'intrigue, aborde les liens familiaux, le suicide, la dépression, l'absence... Ce roman se lit avec facilité tout en ayant de la profondeur, ce qui me réconcilie avec la plume de l'autrice ! Dans un cadre champêtre, laissez Joséfa vous emmenée avec elle sur sa mobylette pour menée l'enquête ! Coup de coeur assuré !
Commenter  J’apprécie          61
Je n'ai pas résisté à l'attrait de la couverture de ce roman lorsque je l'ai vue sur le compte Instagram de mes libraires. J'ai flashé sur le parapluie, l'hiver, la neige... J'adore. Et puis, je suis allée rencontrer l'autrice lors d'une séance de dédicaces... Un tête à tête fort sympathique.

L'action de ce roman se déroule en Auvergne, dans ma région, je ne connaissais pas les autres ouvrages de l'autrice qui y vit ! Oh l'aberration ! Maintenant que j'ai découvert cette petite pépite, je vais m'empresser de me laisser surprendre par les autres romans de Sylvie Baron dont la plume, alerte, fluide et très agréable, ne peine pas pour immerger le lecteur dans l'histoire.

Tout de suite, nous faisons la connaissance de Joséfa, et de Nina, sa nièce. Ce sera cette "Hercule Poirot" en jupons qui va détricoter toute l'affaire, celle d'un assassinat doublé du suicide du présumé assassin. Car notre Joséfa, loin d'être tombée de la dernière averse, va se faire embaucher comme employée de maison dans la famille d'Hélène Vitarelle, la victime, qui n'était autre que la dirigeante d'une grande entreprise de fabrication de parapluies, l'industrie de la région d'Aurillac. Ce détail n'est pas de la fiction, à Aurillac, on fabrique vraiment des parapluies, c'est d'ailleurs la capitale et le berceau du parapluie. Et c'est en observant, en questionnant, mine de rien, en fouinant aussi, que Joséfa, dotée de belles qualités humaines en plus d'être fine mouche, va résoudre la solution d'une énigme qui est loin de sauter aux yeux.

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce cosy mystery auvergnat. La psychologie des personnages est bien marquée, surtout celle des plus attachants. La campagne du Cantal est joliment décrite, l'exactitude de ses paysages et de ses atmosphères sait charmer... le suspense est habilement entretenu, distillé par petites touches, il favorise bien l'envie de ne pas lâcher le livre pour enfin savoir le dénouement de l'intrigue. Bref, j'ai adoré, vu la vitesse à laquelle j'ai dévoré ce roman !
Lien : https://lecturesdartlubie.bl..
Commenter  J’apprécie          60
cela faisait longtemps que je n'avais pas été comme chez moi dans un roman, lorsque j'étais ado j'avais découvert et dévorée Agatha Christie et là voilà que je la retrouve en quelque sorte... c'est un roman à cette atmosphère si particulière un peu surannée aux décors travaillés et aux personnages fouillés. de plus Josefa est un personnage enquêteur à la Miss Marple qui partage avec sa consoeur une bonne dose d'observation et de sens pratique. j'ai adoré aussi l'aspect Terroir.
Commenter  J’apprécie          50
Que diriez-vous d'une enquête légère (même s'il s'agit d'un meurtre et d'un suicide), d'un brin de folie et d'amour, et surtout un récit où les liens familiaux ne sont pas ce qu'ils devraient être.
Dans le Cantal à Vic-sur-Cère se trouve la villa Médard, elle abrite une famille dont la matriarche, Hélène Vitarelle, vient d'être assassinée. Cette femme d'affaires plus crainte que respectée, qui a su se faire une place dans un milieu d'hommes, a été à la tête de l'entreprise familiale de fabrication de parapluie.
Mais voilà que sa mort la met une fois de plus sur le devant de la scène! Hélène aurait entretenu une liaison avec son gendre, Jacques Naucelle, ce dernier dont la réputation de coureur le précède, a été arrêté et s'est suicidé en cellule. Est-ce pour autant un aveu? Pas sûr!
Une personne est pourtant persuadée de son innocence, Nina, une maîtresse parmi d'autres avec qui il a eu deux enfants et qui lui aurait rendu visite la veille de son arrestation.
Ainsi Nina convainc sa tante Josefa (fin limier) de l'aider à y voir plus clair dans cette histoire notamment de laver l'honneur de cet homme, père de ses enfants. Josefa se fait embaucher comme domestique pour enquêter de l'intérieur.

Qui est réellement cette famille dont les membres semblent tous plus torturés les uns que les autres? Qui a vraiment tué Hélène: l'un de ses trois enfants? son mari? son gendre? ou encore le jardinier voire son petit-fils? des coupables en vois tu en voilà !! Deux personnages vont "révolutionner " la maisonnée: Nina avec sa beauté troublante et son tempérament de feu et Josefa qui par sa douceur et sa fermeté saura se faire entendre et apaiser certaines tensions, son sens de l'observation va en faire un Sherlock Holmes aux courbes généreuses. Quel drôle de duo ! Ça fonctionne à merveille, les deux femmes se complètent et glanent des indices précieux.
Le dénouement est digne d'Agatha Christie, sous couvert de déductions presque scientifiques Josefa déniche en dernier coupable. Je ne me suis pas ennuyée un instant, l'intrigue est magnifiquement menée, des pointes d'humour, un rythme qui ne s'affaiblit pas et surtout une fluidité dans le récit permettant de se plonger pleinement dans le Cantal, on en sentirait presque les parfums.
Déjà conquise par le cercle des derniers libraires, j'avoue que cette autrice commence sérieusement à m'intriguer!!!
Lien : https://stemiloubooks.wordpr..
Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (450) Voir plus



Quiz Voir plus

Marseille, son soleil, sa mer, ses écrivains connus

Né à Corfou, cet écrivain évoque son enfance marseillaise dans Le Livre de ma mère. Son nom ?

Elie Cohen
Albert Cohen
Leonard Cohen

10 questions
307 lecteurs ont répondu
Thèmes : provence , littérature régionale , marseilleCréer un quiz sur ce livre

{* *}