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3,3

sur 250 notes
Jean-Luc, un galeriste parisien vit avec son chien, Cézanne. Grand dragueur, il collectionne les conquêtes.
Un jour, il reçoit une lettre d'une mystérieuse femme. C'est le début d'un long échange épistolaire pour trouver qui est cette correspondante et enfin la rencontrer.

Mon avis: J'ai beaucoup aimé retrouver la plume de l'auteur.
C'est une jolie romance sans prise de tête où je me suis laissée facilement prendre par le jeu de piste.
L'écrivain arrive à nous mener en bateau jusqu'à la fin, j'étais persuadé dés le début de l'identité de la femme et en fait je me suis bien trompé.
Une histoire tendre et qui se lit très facilement, un bon moment de détente.
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Le ton est léger, l'écriture agréable mais j'ai eu un peu de mal à me laisser emporter par cette comédie romantique légère dont la fin est prévisible!
Je donnerai une autre chance à cet auteur avec son premier livre qui a eu beaucoup de succès " le sourire des femmes "
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Jean-Luc Champollion , dit le Duc , galeriste à Paris aimant beaucoup les belles femmes , sa liberté mais aussi son chien Cezanne voit sa vie bouleversée quand il reçoit une lettre d'amour signée du pseudonyme de la Principessa. S'ensuit un échange fourni de lettres , mails , courtoisies , façon 18e siècle. Mais la belle dame conserve son anonymat , d'elle Jean Luc ne sait que l'humour et la répartie piquante. Il soupçonne toutes les femmes autour de lui , fais des plans sur la comète , met en place des stratégies foireuses pour démasquer la belle ....sans réussite puisque jusqu'au bout ( ou presque , si l'avant dernière page peut être considérée comme " pas tout à fait la fin") ce cher monsieur fait chou blanc ( bon et moi aussi hein , j'étais restée bloquée sur la jeune demoiselle qui lui avait mis un beau rateau lorsqu'il était ado ...et d'ailleurs je me demande encore pourquoi avoir intégré cette anecdote au roman , alors que tant de femmes gravitent déjà autour du personnage principal, en tout cas assez pour brouiller largement les pistes .... BREF ! ).
Sans dire que ce roman a été une déception , j'ai beaucoup moins accroché que pour le premier roman de cet auteur " le sourire des femmes". le Duc et la Principessa sont certes charmants , mais la trame du roman est un peu "facile" , leurs échanges de lettres un peu longs et franchement lourds par endroits .... heureusement qu'il y avait Cezanne le dalmatien pour mettre un peu d'action ! ça reste une lecture distrayante et pas désagréable , mais je sais déjà que je ne relirai pas ce roman.
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J'avais bien aimé " le sourire des femmes" premier livre de l'auteur. Avec "Tu me trouveras au bout du monde" je pensais trouvé un roman feel-good. Je ressors déçue de cette lecture que j'ai trouvé plate, surfaite et cousue de fil blanc. Une lecture qui se lit aussi vite qu'elle s'oublie.
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J'entends régulièrement parler de Nicolas Barreau, en bien comme en mal et j'avais envie de le découvrir à mon tour. J'ai alors jeté mon dévolu sur un roman assez court dont le résumé me paraissait sympa. Et puis, c'est une publication de la maison d'édition Eloïse d'Ormesson que j'aime beaucoup. Tout était réuni pour me faire passer un bon moment. J'ai profité d'un week-end planplan pour me lancer enfin ...

Jean-Luc Champollion, galeriste parisien, s'était promis de ne plus jamais écrire une seule lettre d'amour depuis une terrible déception à l'adolescence. Pourtant, lorsqu'il en découvre une dans sa boîte à lettres, intrigué, il ne peut s'empêcher d'y répondre. Une relation épistolaire nourrie naît alors entre le jeune homme et l'énigmatique Principessa. Mais cette dernière sait ménager le suspense, et l'entraîne dans un jeu de piste amoureux avant d'accepter de se dévoiler en chair et en os. Pris au jeu de ce tendre duel, Jean-Luc s'enflamme. Qui est donc cette femme qu'il imagine sans la voir, qu'il comprend sans la connaître ? Comment la convaincre de se livrer ? Devra-t-il aller jusqu'au bout de la terre pour la tenir enfin serrée dans ses bras ?

J'ai lu ce roman en une seule après-midi, il est assez court (260 pages environ) et pourtant, je n'ai pas passé un aussi bon moment que je l'aurai souhaité. J'ai eu du mal avec la plume et le ton de l'auteur. J'ai trouvé ça très pompeux, très lourd au final et pas très adapté au type de roman que Nicolas Barreau nous propose ici. On est dans de la comédie romantique légère et on a la sensation de lire du Proust ...

L'histoire en elle-même est plutôt banale, les échanges épistolaires sont tout de même légion dans ce genre de littérature légère. J'ai bien aimé lire les mails que nos deux héros s'échangent mais c'était tout de même bien classique. Un peu ennuyeux au bout du compte.

Ce manque d'originalité, ce ton bien trop lourd ainsi que l'identité de la Princessa que j'avais deviné depuis bien longtemps ont fait que je suis passée à côté de ce bouquin. Je n'ai pas été convaincue par ma lecture, j'aime bien lire un peu de comédie légère et là, je n'ai pas trouvé ce que je recherche lorsque je me lance dans ce genre de livres ... Je ne me suis jamais sentie transportée et je n'ai jamais vibré avec les personnages ... Dommage ...

A découvrir si vous avez quelques heures à tuer, mais ce n'est pas indispensable ...
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J'avais beaucoup apprécié "le sourire des femmes", j'attendais donc avec impatience ce nouveau roman de Nicolas Barreau. Je n'ai pas été déçue. Pour tous les amoureux de littérature romantique, pleine de bons sentiments, foncez!! On rencontre ici Jean-Luc, galeriste Paris qui reçoit un jour une lettre d'une jeune femme qui tient à rester secrète. Débute alors un échange épistolaire entre les 2 et notre galeriste va également se lancer dans une enquête pour trouver qui est sa mystérieuse admiratrice....
J'ai trouvé ce roman sympathique et il permet, pendant quelques heures, de s'évader. Il ne m'a pas manqué grand chose pour que ce soit un coup de coeur...
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Dire que j'ai été déçue est un bien faible mot. Moi qui m'attendais à lire une comédie drôle et enlevée, je me suis profondément ennuyée, d'un bout à l'autre du livre.

Nicolas Barreau m'avait pourtant séduite avec son précédent roman "Le sourire des femmes". L'écriture était pleine de finesse et d'humour. Quant à l'intrigue elle était à la fois émouvante, surprenante et drôle. Les quiproquos entre les personnages étaient particulièrement amusants.

Ici, l'intrigue n'est tout simplement pas crédible. Les personnages sont caricaturaux et frisent parfois le ridicule. le ridicule ne tue pas, certes, mais il n'aide pas à rendre l'histoire prenante... J'ai trouvé l'écriture fade, sans relief, parfois pompeuse, à l'image des personnages que celle-ci met en scène. le style choisit pour l'échange de lettres entre les deux protagonistes principaux ne m'a pas convaincu. J'ai eu le sentiment que l'auteur cherchait seulement à faire son petit effet. La sauce n'a pas pris, tant pis !
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Je remercie Babelio et les éditions d'ormesson pour m'avoir permis de découvrir ce roman léger et qui fait du bien au moral...
L'auteur nous fait découvrir un Paris d'artistes avec Jean-Luc, propriétaire d'une galerie d'art cumulant les aventures sans attachement suite à une déception dans son adolescence. ais un jour, il reçoit une lettre d'une inconnue qui se nomme Princessa et c'est le début d'un échange de lettres ... Les personnages qui gravitent autour de Jean-Luc sont sympathique et en haut en couleur comme la jeune artiste Soleil, qui téléphone à Jean-Luc à n'importe quelle heure de la nuit quand elle est en manque d'inspiration!!
Une écriture fluide malgré 2 fautes à la première page (erreur de frappe?)
on se laisse facilement prendre au jeu de piste pour savoir qui se cache sous le pseudo Princessa (je l'ai trouvé dès le début!!).
Un roman léger à découvrir l'été sans prise de tête et avec des adresses d'endroits sympas à Paris!!!
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Beurk.
Vraiment pas aimé.. et pas fini du coup... pourtant il n'est pas très épais😅
Autant j'avais aimé me laisser toucher par les personnages de Barreau dans son livre "le sourire des femmes" autant ici, j'avais juste envie de mettre son personnage principal dans le mur...
Bref, parfois on aime, parfois on aime pas !!
Peut-être n'était-ce pas le bon moment pour le lire ?😅
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C'est du pur Nicolas Barreau dans le style et dans l'histoire qui a pour toile de fond un Paris un peu idéalisé, comme dans le Sourire des Femmes.. de la même façon, l'histoire d'amour épistolaire est idéalisée : tout coule de source, tout est évident alors même que le héros n'a aucune idée de la personne dont il tombe amoureux. il n'envisage jamais réellement qu'elle soit laide, bête, antipathique ou juste incompatible avec lui.

Du coup tout semble un peu trop lisse, un peu trop facile ; la lecture est plaisante, mais je crains d'oublier très vite cette histoire.
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