Jean Rezeau , le Brasse Bouillon de «
Vipère au poing » a grandi .Ce deuxième volet de la trilogie nous le dépeint en jeune homme qui apprend à devenir adulte tout en ayant à faire le deuil d'une enfance gâchée.
Même si ce volet peut sembler s moins original, et peut-être moins convainquant que le premier (le portrait cruel d'une mère indigne peut finir par lasser), »
La Mort du petit cheval » ne manque pas d'intérêt.
Hervé Bazin semble chercher une nouvelle voie, voire une nouvelle voix : le ton est plus dur , incisif, même, ponctué d'affirmations brutales.
Néanmoins, un très beau roman … très fort.
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