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4,03

sur 954 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un livre prometteur mais je n'ai pas accroché malheureusement.

Je me suis très vite perdu, d'abord entre les personnages, entre les histoires mais aussi avec cette alternance entre les lettres et l'histoire qui se déroulait.

Toutefois, j'ai apprécié la plume de l'auteur, j'avais déjà lu un autre de ses romans ultérieurement.

Ce roman n'était pas fait pour moi.
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Depuis le temps que Virginie Grimaldi (que j'affectionne particulièrement) chante les louanges de #baptistebeaulieu j'ai voulu le découvrir à travers #toutesleshistoiresdamourdumonde.

Malheureusement pour moi je n'ai pas du tout accroché à l'histoire même si j'ai apprécié les thèmes abordés. Ça ne m'a absolument pas passionnée, j'ai peiné à le terminer 🥺

Par contre, j'ai beaucoup aimé l'écriture donc je tenterai d'autres romans de cet auteur, j'en ai d'ailleurs deux dans ma pal, la suite au prochain épisode ^^
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J'aime beaucoup cet auteur. Sa plume est belle. Mais je n'ai pas trop aimé ce livre. En fait je ne m'attendais pas du tout à cela et ça n'a pas été une bonne surprise....un peu longuet, et l'espace temps trop pénible à suivre.
non vraiment ce n'est pas celui que je conseillerai le plus de cet auteur. Puis j'en ai lu des livres de guerre, alors certes on voit le côté de ceux qui ont été fait prisonnier et de ce fait qui ne se sente coupable de ne pas avoir participé.
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C'était mi bien, j'aimerai pas le relire ni relire autre chose de cet auteur, c'était une histoire qui prend et qui se lit bien, vite, un peu trop. Ça parle d'une vie dans la guerre et d'amour, bon, sans trop questionner ni creuser. Ça me laisse bof.
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Après avoir retrouvé des carnets appartenant à son grand-père, Baptiste Beaulieu décide de faire un roman « bouteille à la mer ». En transcrivant les lettres écrites, année après année, par son grand-père à Anne-Lise Schmidt, il espère ainsi la retrouver.
Était-ce trop intime pour m'intéresser ? Je ne sais pas. Toujours est-il que j'ai trouvé les trois quarts du roman très long. Trop long. Je n'ai pas su m'attacher à ce petit garçon du début du XXè siècle ni à ses tribulations amoureuses de jeune homme.
Et je ne parle pas des « histoires d'amour » évoquées au détour de l'histoire principale qui m'auront malheureusement ennuyée…
Je ne suis pas parvenue à me laisser convaincre par la tendresse que je trouvais faussement poétique et qui me laissait même parfois un goût moralisateur amer. J'y ai vu une surenchère permanente… un peu de misérabilisme… un peu de sensiblerie…
Les mots que je choisis sont forts… mais j'ai levé les yeux au ciel si souvent… c'était agaçant. Je n'ai pas su comprendre les intentions de Baptiste Beaulieu. Je ne suis simplement pas faite pour son langage.
Même si les émotions sont arrivées beaucoup trop tard, la fin du roman m'a tout de même émue.
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Moïse est mort et Denis, son fils, retrouve dans le grenier tout un tas de lettres, écrites de la main de son défunt père. Elles sont toutes adressées à une certaine Anne-Lise Schmidt. Denis ne comprend pas, comment son père distant et si froid, a pu écrire d'aussi jolies missives à une parfaite inconnue.

Dans ces lettres annuelles, Moïse pose le récit de sa vie. de son enfance en passant par la guerre qu'il a vécu de très près, il retrace toute son existence. Il expose ses joies, ses peines et ses regrets. Il n'omet aucun détail.

Au fil des pages nous allons en apprendre un peu plus sur cette mystérieuse Anne-Lise. Qui est-elle ? Pourquoi Moïse lui a-t-il écrit tous les 3 avril pendant plusieurs années ? Que signifie cette date ? Quel est le lien qui les unit ? C'est ainsi que Jean, le petit-fils de Moïse essayera d'élucider cette histoire.

Les lettres de Moïse sont donc parfois entrecoupées par les recherches de Jean. Il utilise cette quête comme ultime moyen de se rapprocher de son père. Mais Jean se rend très vite compte que les personnes qui ont rythmé la vie de son grand-père ne sont plus là. Il décide donc d'édulcorer ses recherches en parlant d'amour, dans le but d'aider son père à se sortir d'une dépression, dans laquelle il est plongé depuis la découverte de ces lettres.

Cette histoire a reçu de très belles critiques. Mais je m'en excuse par avance, celle-ci ne sera pas aussi dithyrambique.

Ce livre fait partie de la sélection du mois d'avril du Prix des lecteurs 2020, si tel n'avait pas été le cas, je ne l'aurai très certainement pas terminé. Ce qui aurait été vraiment dommage puisque les seules émotions ressenties se concentrent sur la fin du roman.

Pourtant cette histoire de secret de famille avait tout pour me plaire, mais l'ensemble ne m'a pas convaincu. J'ai eu beaucoup de mal avec la construction du roman, les interruptions du petit-fils m'ont perdu en cours de route. Je ne peux pas nier une certaine poésie et sensibilité par moment mais cela n'a pas suffit pour me séduire. Trop long, trop mièvre. ⠀
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Je ne comprends pas cette unanimité sur ce livre. Un livre, ce n'est pas qu'une histoire, c'est une écriture, et là, ça manque singulièrement d'écriture.
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Je n'aurais sans doute pas dû découvrir cet auteur à travers ce roman, mais commencer "Alors vous ne serez plus jamais triste" ou "La ballade de l'enfant gris", car quelle est vraiment la partie autobiographique de la partie imaginaire. de ne pouvoir faire la différence entre les deux m'a laissé un gout amer.

Ce n'est plus un secret pour personne d'autant plus que c'est noté dès le début du livre, il s'agit ici plus d'un appel à témoin pour retrouver la fille illégitime de son grand-père que d'une histoire romancée.

Malgré la volonté de l'auteur de compléter l'histoire de son grand-père car s'est-il senti obligé de rajouter sa patte à l'histoire, ne pas être simplement nègre et s'enorgueillir de rester maitre de ses livres, je n'ai pas du tout adhéré aux histoires parallèles. Incompréhensibles d'une manières générales, elles retracent une parenthèse dans la vie d'inconnus, arrivant comme un cheveux sur la soupe. D'autant plus que le style de Baptiste Beaulieu ne m'a pas du tout convaincue. Une écriture que je pourrais qualifier de chirurgicale, incisive, où malgré de jolies phrases ou réflexions, tout cela reste très aseptisé. le médecin derrière l'écriture reste un médecin : rapide, expéditif, s'adonnant à l'altruisme et à la compassion à ses heures perdues. Je suis désolée, si vous lisez ces lignes. Je n'ai rien contre le corps médical et encore miens contre vous, ne vous connaissant pas, mais j'ai trouvé que pour un histoire qui parle d'Amour avec un grand A, ça manque cruellement de sentiments.

Quant à l'histoire de Moïse, ce pauvre homme qui a préféré passé sa vie dans son passé, aussi douloureux est-il être, traitant ses remords, son chagrin à coup de lettre(s) annuelle(s), oubliant de vivre son présent, c'est à la fois douloureux et agaçant.

Je ne suis malheureusement pas le bon public pour ce genre d'ouvrage.
Lien : https://exulire.blogspot.com..
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Toutes les histoires d'amour du monde . Baptiste Beaulieu . Editions Mazarine . Octobre 2018. #ToutesLesHistoiresDamourDuMonde #NetGalleyFrance
Déception, déception , déception ...Quel dommage ! Une belle idée , pas très originale mais bonne. Des carnets retrouvés dans le grenier de la maison familiale par Denis. Son père vient de décéder à plus de 90 ans et Denis y trouve des lettres écrites à une dénommée Anne-Lise Schmitt . le monde s'ouvre sous ses pieds . Qui était donc son père Moïse un taiseux glacial et glaçant? Cette découverte va le miner et le faire basculer dans un état dépressif. Son fils Jean, médecin, essaye par tous les moyens de l'en sortir et surtout souhaite ardemment renouer avec lui un relationnel mis à mal ...
Voilà, voilà la trame de ce roman. Mais à mon avis Baptiste Beaulieu s'est égaré. Voulant faire au mieux, voulant coûte que coûte faire passer le message qui lui tient à coeur, il agrège à cette trame nombre d'autres histoires toutes plus belles ou pathétiques les unes que les autres mais hors cadre et auxquelles il n'accorde du coup que 3 ou 4 pages .Monsieur Beaulieu il ne suffit pas d'être , je l'espère, un bon médecin, il ne suffit pas d'avoir toute l'empathie du monde pour tous les abimés de la vie , vos personnages ne sont encore que des silhouettes bien filiformes et l'écriture encore bien fragile .. Une déception donc et l'impression d'aller à contre courant devant toutes ces critiques plus élogieuses les unes que les autres. L'essentiel pour un auteur n'est il pas de trouver son public , cela semble chose faite!
Un grand merci aux éditions Mazarine pour cette découverte.


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Deuxième roman que je lis de Baptiste Beaulieu et un avis en demi-teinte. J'ai découvert cet auteur avec La Ballade de l'Enfant Gris il y a deux ans, roman dont je garde un souvenir de confusion dans la lecture par les allers retours que l'auteur faisait, les interrogations quant aux personnages et j'ai eu un peu le même problème avec celui-ci. J'avais par contre trouvé que la relation médecin/malade/famille et la présence de la déchirure, comme une forme fantastique, était intéressante.

Je ne peux nier une certaine poésie, tendresse à chaque récit mais du coup j'ai le sentiment que c'est le fond d'écriture de chaque roman. J'ai eu beaucoup de mal à m'intéresser à l'intrigue qui pour moi était un peu "prévisible"  sauf pour sa résolution puisque ce livre est une bouteille lancée à la mer (enfin plutôt aux lecteurs) par son auteur pour retrouver Anne-Lise Schmidt. En effet Baptiste Beaulieu nous raconte son histoire familiale paternelle, à travers la découverte par son père de lettres de son grand-père. 

La lecture de celles-ci va être l'occasion de mettre à jour sa propre relation paternelle avec ses non-dits, ses conflits et pour chacun de faire une sorte de mea culpa.

Comme tu habitais tout seul ton corps, grand-père, et tout seul ton fauteuil, tu habitais tout seul avec nous. (p117)

L'intrigue est intéressante car elle permet d'évoquer l'histoire d'une famille avec ses tourments, ses "secrets", ses amours mais aussi comment celle-ci a traversé l'histoire de son pays et a pu s'en trouver bouleverser. L'insertion de photos des différents personnages rajoute une identification de ceux-ci. 

Mais, car il y a un mais pour moi, j'ai eu un peu de mal avec la construction : entre les lettres toujours à la date du 3 Avril de chaque année, les histoires d'amour que Baptiste Beaulieu racontent à son père et la période "Aujourd'hui", les trois générations qui se mêlent et les propres difficultés relationnelles que rencontre l'auteur avec son père.

D'autre part j'ai été un peu agacée, à la fin de certains chapitres, par la chute du genre page-turner, ou par des phrases assez stéréotypées "Elle a mal à toutes les articulations du monde" ou "Les hommes s'en vont, mais la guerre, elle, ne meurt jamais" qui se veulent comme des sortes de phrases de morale, de sentence, et que je m'attendais ensuite à trouver à chaque fois (j'en ai retrouvé deux mais il y a eu des passages où cela revenait très régulièrement). Je n'ai pas eu le sentiment de sincérité mais plus d'artifices d'écriture.

Je comprends que c'est le genre de récit qui peut toucher beaucoup de lecteurs par le sujet, par le côté émouvant de ces trois générations d'hommes qui n'arrivent pas à se parler, qui attendent de chacun un geste, un mot, un regard. le lecteur peut ressentir de l'empathie pour Baptiste Beaulieu qui révèle un pan de son histoire familiale et de ses failles, mais moi je suis restée à distance.

Les mots, le discours des personnages m'a semblé artificiel, décalé par rapport à eux,, leur éducation et leur milieu social. Je n'ai pas eu le sentiment de les entendre eux, Moïse, Denis parler. J'ai lu les mots d'un écrivain qui veut mettre de l'émotion dans sa narration mais qui ne rend pas réellement l'atmosphère, le contexte de l'histoire.

Je ne doute pas que tous les faits soient vrais, mais certains événements, coïncidences m'ont paru absolument incroyables. Cela relève presque de l'extraordinaire.

J'avais finalement mieux aimé La Ballade de l'Enfant gris mais à trop vouloir jouer sur la corde sensible parfois cela sonne faux et dans ce roman je n'ai pas du tout adhéré. C'est un avis personnel par rapport à mes lectures, mon univers, mon passé de lectrice. Lorsque je lis ce genre de récit je veux m'immerger dans l'histoire, me glisser dans la peau d'un ou de plusieurs d'entre eux, ne pas ressentir les ingrédients nécessaires à l'écrivain pour accrocher son lecteur, être surprise, bouleversée par une écriture vraie. 
Lien : http://mumudanslebocage.word..
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