Lorsque nous étions repartis, il pleuvait toujours. J'étais heureuse. Nous avions décidé d'emprunter les sentiers les plus boueux. On ne voyait pas à dix mètres. J'étais perdue, dans un univers hostile, mais je marchais au bras de l'homme que j'aimais, il ne pouvait rien m'arriver. L'odeur du feu dans la cheminée emplissait déjà mes narines.
Au retour, je m'étais allongée sur le lit, dans la petite chambre attenante. Il avait repris son travail, sur la tabl...
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