Le dernier message

Très grosse déception. Je n'aime pas trop descendre un livre alors je vais faire court. Un roman mal écrit, des digressions et réflexions inintéressantes, des clichés, de mauvaises métaphores, des dialogues insipides, des adjectifs mal employés.
C'est totalement plat sans suspense ni atmosphère. Une espèce de caricature de James Bond au féminin.
Des incohérences hallucinantes : devenir spéléologue aguerri en une heure !
Des ficelles lourdes et grossières. Bref, ce roman n'est pas pour moi, c'est une évidence. J'ai juste apprécié les éléments d'information cités par l'auteur à la fin du livre.

Il faut bien quelqu'un qui jette un pavé dans la mare au milieu de cette mer de louanges lues partout.
Grace Campbell ? l'intrépide, l'intelligente, la trop ronde, la trop secrète Grace (qui a une chambre forte chez elle, excusez du peu) ? désolée mais je l'ai trouvée convenue, à aucun moment crédible dans ses aventures et je ne parle pas de Nais !
La première partie dans le monastère ? vue et revue.
La fuite au Groenland ? lisez Mo Malo et laissez celui-ci. Aucun style, du convenu encore.
Alors un meurtre dans un monastère écossais d'un homme apparemment scientifique et surdoué dont on a extrait le cerveau par le nez. Ok, Grace enquête et se voit finalement, seule, bien sûr, à arpenter une grotte pour finir par trouver à plus de 800m sous terre, (où elle va sans entrainement, mais le Devoir Grace, le Devoir), pour trouver… je ne dévoilerais pas, mais nous sommes en Absurdie, surtout avec ce méchant garde armé d'une porte inviolable.
Bref, tout cela pour dénoncer nos travers actuels, c'est-à-dire l'addiction aux écrans etc ce que je partage bien évidemment, la part des réseaux sociaux étant aberrante et le règne de « je m'aime moi non plus » effrayante…. je n'en dirais pas plus là non plus, pour ceux qui tenteraient l'aventure de cette lecture malgré ma critique, mais j'attends la leur avec impatience. Il y a tant de bons livres qui traitent de ces dangereuses addictions ou des dérives comme l'excellent « le réseau pourpre » de Carment Mola.

très déçue par le roman : scénario qui ne tient pas la route, personnages caricaturaux et théories fumeuses. On dirait un mauvais James Bond au féminin, on n'y croit pas un seul instant. L'auteur nous avait habitué à mieux, je me suis même demandé si c'était bien lui qui l'avait écrit

Une vraie déception avec ce roman de Nicolas Beuglet, auteur dont j'avais pourtant apprécié "Le cri" ("le complot" m'avait déjà fait penser à un double de "Da Vinci code"). Certes, l'intrigue va à cent à l'heure (ce devrait même être un scénario de série télé plutôt qu'un roman), et permet d'occuper un lecteur dans un train ou en début de vacances, mais même dans ces circonstances qui se prêtent à des lectures où on n'a pas envie de trop réfléchir, ce livre ne remplit pas sa mission. C'est l'écriture qui m'a arrêtée très vite : les dialogues sont creux, les comparaisons ou le vocabulaire souvent mal trouvés, et cela tourne vite au ridicule et à l'insupportable. Et durant la lecture, on ne peut s'empêcher de se dire que la vie est trop courte pour perdre son temps avec ce roman... je suis pourtant allée jusqu'au bout car je n'aime pas laisser un livre en plan mais il n'était définitivement pas pour moi.
Dommage car cela fait longtemps que je n'ai pas lu un roman policier qui me laisse un souvenir marquant.

Ce livre m a beaucoup déçu. Si , le début dans le monastère est prometteur jusqu' à la moitié du livre, , ensuite, on tombe dans de la science fiction ridicule avec cette grotte souterraine d Ecosse qui renferme une base digne de certains films de James Bond. Quant aux "explications" de l auteur sur la naissance de l'Univers.... Histoire abracadabrante On n'y croit pas un seul instant !!!

Bof, bof, bof….Je ne trouve pas mieux que ces interjections pour qualifier ce livre qui bénéficie pourtant de critiques très positives. Très vite l'histoire devient incohérente, limite grotesque. L'intrigue n'a ni queue ni tête, l'humanité signerait sa fin par une baisse de QI, ce qui après avoir fait sourire n'est finalement pas dénué de sens mais rapporté à l'enquête de l'inspectrice Grâce c'est juste n'importe quoi. On passe d'un monastère en pleine tempête à une grotte transformée en bunkers, puis on revient en ville, le tout à une vitesse phénoménale et sans véritable raison. L'auteur m'a perdue assez vite. La personnalité et les capacités physiques du personnage principale sont à l'image du livre, plus qu'étranges presque surnaturelles. Je ne suis pas allée au bout du livre, j'ai réussi à lire les 3/4 mais j'ai abandonné devant tant d'inepties. Déçue par l'auteur du Complot et de l'île du Diable…

Tout commence comme un polard classique. Grace, inspectrice Ecossaise , reléguée aux tâches administratives dans son commissariat, se voit confier, faute d'effectifs, l'enquête sur le meurtre d'un pensionnaire du monastère de l'Ile de Iona. Grace essaie de domestiquer son corps qui a été alourdi à cause de la boulimie. Elle doit aussi retrouver une confiance en elle qu'elle a perdu. de plus, elle cache, dans son appartement, une pièce fermée par une porte blindée dans laquelle se trouve un lourd secret. Elle doit donc réussir cette enquête, retrouver sa place au commissariat et maintenir son corps en forme sans cesser à la tentation.
Donc, décor écossais pluvieux et rocailleux, meurtre un peu horrible, enquêtrice mal dans sa peau et organisation tentaculaire derrière tout ça.
Il faut du temps pour que tout se mette en route dans ce livre. le thème est particulièrement d'actualité. En fin de livre des références et livres auxquels on peut se reporter. Sinon, je dirai comme souvent que les personnages sont caricaturaux et le fil de l'intrigue très léger.

J'aurais du me douter qu'une référence de Télé 7 jours en 4e de couverture n'était pas un bon signe…
Autant la trilogie du « cri » m'avait transporté, autant je suis resté sur le quai avec ce premier opus. le scénario est peu crédible, les incohérences sautent aux yeux et les astuces du page Turner trop visibles. Ça va trop vite : on ne peut pas suivre les héroïnes caricaturées et caricaturales dans leurs péripéties improbables. Et que dire de l'épilogue inutile qui tombe comme un poil sur la soupe alors que son absence nous aurait naturellement conduit vers le 2e volet ?
N.Beuglé cite Mo Malø, et bien oui foncez sans hésiter !!