Le code de Jill

Jill a vécu recluse chez elle jusqu'à ses 12 ans, paralysée par une maladie. Lorsque ses parents décèdent dans un accident, elle se remet subitement à marcher et c'est chez Mr. Molineux, un voisin anthropologue, qu'elle trouve refuge. Il l'initie patiemment à son art, aux outils qu'il a inventé et à ses méthodes et elle se découvre une passion et même un don particulier. Mais lorsque celui-ci meurt à son tour 4 ans plus tard, Jill n'a d'autre choix que de travailler pour Anthropolab et de reconstruire le visage et le corps d'une jeune fille cathare morte lors du siège de la forteresse de Montségur en 1244. Mais elle est loin d'imaginer ce que les ossements vont lui révéler...
Au vu de la couverture très gothique et de la quatrième de couverture, je pensais lire un roman plutôt gore ou fantasy mais ce n'est pas le cas ! J'ai cependant beaucoup aimé le récit qui m'a fait penser à la série Bones.
Il a un côté fantastique avec le lien entre Jill et Marie (nom donné au squelette trouvé) et j'ai aimé que la narration alterne entre l'histoire ces deux héroïnes, ces deux époques.
Jill est une jeune fille assez étrange, qui ne connait rien au monde actuel qui l'entoure. Elle est franche et naïve mais elle a le don de "lire" les ossements qu'elle a entre les mains et de "voir" à quoi ils ressemblaient de leur vivant. Marie, quant à elle, vit dans une époque trouble au sein d'une communauté cathare mais ne rêve que de liberté et de nature. Leurs deux destins sont liés par delà le temps.
J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman plutôt même si la fin est, à mon goût, un peu trop rapide. !

Le code de Jill est pour le moins un livre atypique. Je n'avais encore jamais lu un livre de ce genre. Court, alternant entre deux protagonistes féminins, j'ai le sentiment qu'on est à deux époques différentes sans pour autant en avoir la confirmation tout de suite. Mais ça semble pourtant évident… Non?

Car Jill est une jeune fille de 16 ans atypique, différente, qui est plus à l'aise avec les ossements qu'avec les humains. Qui n'a pas eu une vie normal, qui a grandi de manière différente, la rendant elle même différente et donc unique. Elle a une sorte d'handicape social qui ne la perturbe pas du tout car à côté de ça elle a une maturité incroyable. Elle sait ce qu'elle veut et ce qu'elle veut faire. Point. Puis on a Marie, qui est très naturel, simple. Qui est en osmose avec la nature et qui voit la magie dans les plantes. Une dénuée d'empathie. Et une pourvue d'une grande empathie. Deux histoires. Deux mondes. Deux jeunes femmes touchantes à leur façon.

Ce livre incroyablement court (135 pages) est… Différent. Intriguant. Et un peu déroutant. le début m'a laissée pantoise. Mais on accroche bien. Les chapitres sont court et on ne se perd pas dans un brouhaha inutile. Au final on est pris dedans, captivé par l'évolution du récit, par son aspect poétique et spécial.

📖 En bref : Je ne sais que penser de ma lecture. Elle m'a fait quelque chose mais je ne sais pas quoi. Il y a quelque chose qui prend aux tripe dans ce livre, qui nous fait nous plonger dans ce récit particulier. le plus important est que j'ai passé un bon moment à la lire et que ça pourrait intéresser ceux qui veulent découvrir quelque chose d'un peu différent.

Heureusement que ce roman est très court (à peine plus de 150 pages), car il m'a donné du fil à retordre. Quelle étrange histoire ! Je ne peux pas vraiment dire si je l'ai aimée, son originalité m'ayant pas mal chamboulée. J'ai ressenti un certain malaise par moments, quelques éléments ont également dépassé mon entendement, mais à l'inverse, divers passages m'ont touchée. Dans tous les cas, on peut dire que ce titre ne m'aura pas laissé indifférente...

Voici un roman plutôt déroutant...
Jill a vécu jusqu'à 12 ans coupée du monde, clouée au lit par une maladie qui l'empêchait de marcher. Ses parents l'ont laissée grandir sans ouverture aucune, sans que cela gêne la fillette: son univers intérieur suffisait à son bonheur.
Lorsque ses parents meurent brutalement, c'est son voisin qui prend sa tutelle et qui lui apprend son métier: il reconstitue les visages de personnes à partir des os de celles-ci grâce à des logiciels informatiques, puis il les modèle en silicone. Cela convient tout à fait à Jill qui semble posséder un étrange pouvoir: celui d'accéder, en touchant les os d'une personne, à des bribes de sa vie...
Mais quand Jill atteint 16 ans, son tuteur meurt à son tour. Elle décide de ne plus dépendre de quiconque et de gérer sa vie. L'opportunité lui en est donnée grâce à l'offre d'emploi d'une société spécialisée. Jill est chargée de reconstituer, à partir de ses os, la tête et le corps d'une jeune fille. Elle se lance dans le travail et ce qu'elle va découvrir changera sa vie.
Dans ce récit, l'onirique et le fantastique se côtoient, au même titre que deux périodes temporelles: le 21ème siècle et le Moyen Age. Toutefois, le format plutôt court du livre ne permet pas d'exploiter au mieux les personnages ni l'intrigue: on reste sur sa faim, et le dénouement arrive trop rapidement; c'est frustrant. le personnage de Jill est tellement original qu'on a du mal à s'y attacher: elle est tellement "hors du monde", tellement hermétique qu'elle repousse toute empathie.
En bref, je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire. Même le style adopté, le vocabulaire, m'ont souvent perdue ou obligée à relire certains passages pour mieux les comprendre. Ce livre n'est pas pour moi...

Pas facile de définir cette histoire qui n'est que de 176 pages , jill est atteinte d'un purpura rhumatoïde qui l'empêche de marcher elle vit avec ses parents et ne sort que pour les visites médicales elle ne connaît rien du monde extérieur et ne veut pas utiliser un fauteuil roulant, le jour où ses parents meurent dans un accident elle se lève et marche,rencontre le voisin et décide de travailler pour lui à 12 ans , en parallèle on apprend aussi l'histoire de Marie,j'ai trouvé le début bâclé beaucoup de situation dans l'histoire sont impossibles,les personnages sont froids et plats, la relation entre Hermann et Jill est gênante ça m'a même mit mal à l'aise.