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3,93

sur 799 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Tout démarre avec l'histoire d'amour de Bo et Hama. Une belle histoire d'amour fusionnel, une fuite, puis un basculement dans un monde fantastique, chez de petits hommes qui les recueillent, eux et leur bébé (qui est en fait la narratrice devenue grande). Ensuite, la vie continue, leur fille grandit, leur voyage reprend, puis la boucle sera finalement bouclée.
On retrouve le ton du conte, mais aussi du roman initiatique, on penche un peu vers la dystopie, l'anticipation, du fantastique et de l'onirique, un peu roman d'amour aussi... Et je pense que c'est là que le bât a blessé pour moi, je n'ai pas vraiment su m'y retrouver dans le ton de cette histoire, je me suis égarée dans tous ces univers, hésitant entre l'admiration (waouh c'est un chef d'oeuvre c'est beau !) puis l'agacement (bon ça y est je vois où on veut en venir, pourquoi toutes ces complications ?).
Une déception certaine, sans doute aussi parce que j'attendais beaucoup de ce roman qui remporte la presque unanimité.
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Ce livre m'est arrivée dans les mains par hasard et la couverture peu commune et le résumé m'ont intriguée.

Dans un monde imaginaire deux amoureux sont obligés de fuir leur ville sous la colère des ses habitants. Ils doivent alors trouver un endroit où vivre et traversent pour cela pas mal d'épreuves.

J'étais vraiment curieuse de découvrir ce livre présenté comme une fable moderne mais dès les premières lignes j'ai eu du mal à accrocher. le début du livre est écrit à la troisième personne du singulier et à la première personne du pluriel, c'est cette distance mise dans la narration qui m'a donnée du mal à m'attacher aux personnages. Tout le long du récit je suis restée extérieure à l'histoire, je n'ai pas frémis lorsque la situation était difficile et j'ai eu du mal à me réjouir quand tout s'arrangeait. Ne vous y trompez pas, l'histoire est bien, joliment écrite mais je suis passée totalement à côté. L'idée est originale, le monde imaginée par l'auteure aussi, mais j'ai eu du mal à m'immerger dedans. Ce qui m'a le plus génée c'est que je n'arrivais pas à situer l'univers dans le temps et géographiquement. On ne sait pas si c'est notre monde dans le futur ou un univers totalement extérieur au notre… J'étais un peu déstabilisée.
À côté ça j'ai lu le livre rapidement et j'étais curieuse de connaître la fin de l'histoire, même si là aussi, je ne suis pas sure d'avoir compris le but de l'auteure. J'ai bien compris la fin, mais je n'avais pas l'impression que s'en était une, comme s'il me manquait quelque chose, ou alors il y a un message caché que je n'ai pas compris du tout…
En bref cette lecture n'est pas inintéressante, mais je suis restée dubitative, comme sur ma faim, j'en attendais peut être trop…
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L’histoire débute dans un pays sans nom, autrefois riche et prospère, aujourd’hui pauvre et sans avenir. Dans ce pays inconnu, une ville : triste et froide, elle est à l’image de son Usine d’armement, poumon artificiel qui continue à faire vivre la communauté. Vivre ? Plutôt survivre. Pour les habitants, chaque jour se ressemble : prendre son poste à l’Usine, faire ses heures de travail, rentrer chez soi le soir. Seuls les cafés sur la Grand-Place offrent un semblant de vie : la plupart des ouvriers s’y retrouvent le dimanche pour lancer des fléchettes, jouer aux cartes, boire des canons et se réchauffer dans cette grisaille éternelle. Et puis un jour, Bo arrive. A l’usine, au moment du changement d’équipe entre celle du jour et celle de la nuit, il croise Hama pour la première fois. Leurs mains se frôlent… instant unique où le feu renaît en chacun.
Dès lors, Bo et Hama, lorsqu’ils ne travaillent pas à l’usine, sont ensemble. Leur amour dénote au milieu de cette communauté triste qui n’a plus d’espoir ni de rêve depuis bien longtemps. Leur union est si belle à voir qu’elle redonne même envie à ceux qui autrefois animaient la ville dans le cabaret du Castor Blagueur. Désormais, après la routine usante de l’Usine, on peut ainsi retrouver un peu de joie et de fantaisie auprès de la patronne Titine-Grosses-Pattes. Mais toute chose à son revers – surtout le bonheur – et un jour, une catastrophe se produit dans la ville. La si belle destinée qui se dessinait pour Bo et Hama va s’en trouver bouleversée, ainsi que celle de beaucoup d’autres.

« Tant que nous sommes vivants » est difficilement qualifiable. Conte moderne, roman social mêlé de fantastique, voyage initiatique, quête identitaire… Le tout est très bien construit – la « boucle est bouclée » à la fin - et l’écriture belle… mais je n’ai pas du tout adhéré à cette histoire. J’avais l’impression d’avoir déjà croisé certains personnages dans d’autres livres et le mélange des genres ne m’a pas convaincue du tout : monde ouvrier et petits hommes des bois, village de pêcheur idyllique vivant en autarcie à la frontière de la guerre, une histoire d’ombres et un couple central qui disparaît d’un coup… En bref, je n’ai jamais trouvé les personnages attachants et je suis restée totalement à l'extérieur de cette histoire. Ni chaud ni froid. Alors effectivement, au milieu de ce monde réel/fantastique, peuplé de rêves et de métaphores, l'auteur cherche à faire passer un message. Pour ma part, j'en ai perçu plusieurs...sans en faire ressortir un en particulier.
Bien évidemment, cette critique exprime mon ressenti personnel et tant pis pour moi si j’ai été hermétique au style d’Anne-Laure Bondoux. Je referai une tentative avec un autre de ses livres.
Par contre, ce roman destiné aux jeunes lecteurs (sélection Prix des Incorruptibles 2015) risque d'en dérouter plus d'un...
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Un conte.

Un conte dans un monde noir, en guerre, où la tristesse a envahi le monde.

Un conte futuriste sans trop ni queue ni tête mais simplement une boucle où le début et la fin se retrouve.

Un conte où malgré mes efforts, j'ai eu beaucoup de mal à trouver un message sauf peut-être cette phrase qui jalonne le livre : "Tu crois qu'il faut toujours perdre une part de soi pour que la vie continue ?"

Et pourtant les premiers chapitres m'ont embarqués. Cette histoire d'amour entre Bo et Hama qui commence dès la première page, leur promesse de ne jamais se quitter, j'ai été projetée dans une valse à cent ans, à mille temps, je dansais avec ces personnages fragiles. Je voyais ce tourbillon s'envolait à mes côtés puis l'auteur a pris une direction que je n'ai malheureusement pas suivi. Bo et Hama se sont éloignés de moi, et j'ai suivi leur histoire de loin, jusqu'à la fin du roman.

Ce n'est pas une véritable déception, c'est juste un mirage qui va vite s'effacer et je suis déjà en train d'avancer vers une autre histoire, laissant ces personnages tels des fantômes dans leur vie imaginaire…

Je n'ai pas grand chose d'autre à ajouter malgré une fin qui se veut plein d'espoir.

Un roman dont la couverture reflète entièrement cette histoire, du noir et du blanc, les opposés qui s'attirent, qui se rejoignent et se répulsent, car tout n'est qu'équilibre.
Lien : https://exulire.blogspot.com..
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Ce roman dont j'ai entendu le plus grand bien, dont on m'a fait l'éloge, la passion et l'histoire, dont je trouve le titre magnifique, la couverture prometteuse… Ce roman, je suis passée à côté, je ne vois pas d'autre explication.

Comment le dire autrement, si ce n'est que je n'ai pas su rentrer dans l'histoire d'une vie, celle De Bo et Hama, de leur rencontre, de la naissance de leur amour à celle de leur fille, de l'abandon de tout une vie à un déchirement, une renonciation absolue...

Je suis restée sur le côté comme les vaches qui regardent passer les voitures. J'ai lu, j'ai contemplé la belle écriture d'Anne-Laure Bondoux sans qu'elle ne me procure une once de réelle émotion. J'ai marché dans les pas des héros sans cesser de me demander où voulait nous emmener l'auteure, qu'elles étaient ses intentions.

Au final, la seule chose que j'aurai réellement aimé dans ce roman, ce sont les titres de chapitres, un détail me direz vous. Surement mais j'ai apprécié la dualité de la vie qu'ils n'ont eu de cesse de me rappeler : l'ombre et la lumière, le passé et le futur, l'intérieur et l'extérieur…

Mon ressenti face à ce livre est incertain. J'ai trouvé belle, imagée et lyrique l'écriture d'Anne-Laure Bondoux. Il y a de la réelle poésie dans sa manière de décrire la dureté de la vie de ses personnages. Je suis capable de le reconnaître mais pourtant, j'y suis restée insensible.
Lien : http://boumabib.fr/2015/12/1..
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Je remercie vivement les éditions Gallimard Jeunesse pour ce nouveau partenariat dans le cadre de la promo chroniqueurs pour On lit plus fort. Malheureusement, je n'ai pas adhéré, tout au long de ma lecture, je suis restée sur le côté et je n'ai pas (ou peu) compris ce qui m'entourait. C'est dommage, parce que je comprends l'enthousiasme qu'il suscite et c'est vrai qu'il exploite de très bonnes idées. En fait, je suis mitigée sur ce roman.

En lisant la quatrième de couverture, je voyais s'étaler « aventure », « conte moderne », on m'évoquait un grand voyage, un monde particulier... Bref, je m'imaginais le Hobbit, Big Fish de Burton, Alice au pays des merveilles et tout retombe comme un soufflé. L'aventure est inexistante, le conte se fait la malle – sauf dans sa dimension psychologique, philosophique et morale –, le voyage est peu attrayant – quoique bien fait tout de même –, et le monde, il n'y en a pas. En fait si, on voit s'animer un univers, sauf qu'il n'est pas exploité, on ne sait rien dessus, est-on dans le passé, dans le futur, à notre époque, dans un univers parallèle ? Pourquoi ce curieux et intéressant mélange entre réalisme et fantastique. L'Usine et ce qui l'entoure, les personnages sont dotés d'un fort degré de réalité ; cependant, la communauté aux noms de chiffres et l'ombre de Tsell se modifiant étrangement laisse à penser que nous évoluons dans une réalité fantastique. L'univers n'est pas assez fourni pour me captiver, et du coup, bon nombre de faits se retrouvent inexpliqués et inexplicables.

La dimension psychologique, philosophique est très présente et ce qui m'aura le plus enchantée. La plume est très belle, puissante et hypnotique, je l'applaudis. Ce voyage est très métaphorique, il est là pour nous apprendre la vie, l'amour, l'amitié. le voyage fait office de boucle, les parents empruntent un trajet, les enfants le refont en sens inverse pour comprendre. C'est très captivant de lire toutes ces phrases poétiques. Comme chaque chapitre est intitulé d'après deux termes opposés, comme « le bruit et le silence » ou « la perte et le gain », nous sommes plongés dans d'importantes réflexions qui nous font voyager à l'intérieur de nous-mêmes. En somme, le voyage est assuré, mais de manière philosophique et de ce fait, le conte est lui aussi présent pour la dimension morale. La plume de l'auteure est très belle, fluide, soignée, ça se laisse lire, on se sent bercé par les mots, c'est très joli et enchanteur. Je l'ai lu très rapidement en raison de ce style atypique et beau.

L'histoire nous emmène auprès de Bo et de Hama, deux amoureux fuyant leur village après l'explosion de l'Usine dans laquelle il travaillait. La première partie est consacrée à l'implantation du décor, des protagonistes principaux, de la force de leur amour, c'est un peu long, mais on apprécie ce mélange de calme et de tempête. Dès la deuxième partie et ce jusqu'à la fin (quatrième partie) nous abandonnons le style « il/elle » pour se tourner vers le « je ». Nous ne savons pas vraiment qui parle, même si nous finissons très vite par le comprendre. Dès là, les choses s'accélèrent, le voyage débute, les rencontres aussi, mais ça, je vous laisse le soin de le découvrir. Personnellement, mon intérêt fut piqué par la communauté où iront vivre Hama et Bo, puis par l'histoire de Tsell et Vigg. Excepté ces deux moments, je me suis un peu ennuyée et comme je l'ai dit, trop occupée à comprendre l'univers, je n'ai pas vivre pleinement cette histoire. Et je pense que pour apprécier ce roman, il faut le vivre, s'en imprégner et se laisser aller, malheureusement, je n'y suis pas parvenue. Sinon, l'histoire demeure attachante et sympathique à lire.

Pour terminer la chronique, j'arrive aux personnages. Une fois de plus, je suis mitigée, ou plutôt réservée. Ils sont humains, ni blancs, ni noirs ; ils ont leurs qualités, leurs défauts, ils sont aussi sympathiques que haïssables, mais pour mieux appréhender ce que je viens d'écrire, il vous faudra lire le roman, je gâcherais la surprise en dévoilant tout. Néanmoins, je suis ultra fan de Un, Deux, Sept, Douze, Quatre et les autres, ce sont de très beaux protagonistes, mystérieux, solidaires, bienveillants, ils représentent l'apprentissage de la vie ainsi qu'une compétence particulière comme la forge, le tannage, le tressage de panier, l'agriculture et l'élevage, la chasse. C'est une communauté super intéressante à voir, ils sont géniaux ! Après, j'adore Tsell, je me suis très vite attachée à elle, à sa manière de voir les choses, à son histoire, son don, c'est une petite fille très adorable et courageuse. Bo et Hama sont sympathiques, mais sans plus, j'ai bien aime leur amour, leur voyage intérieur et extérieur, mais leurs défauts les ont rendus agaçants. J'ai bien aimé la Tsarine, Vigg et d'autres, ces protagonistes secondaires sont très captivants et ils apportent réellement un plus à l'histoire.

En conclusion, malgré des points positifs, je reste mitigée sur ce roman, j'en attendais autre chose et surtout j'attendais le grand voyage, l'aventure avec un grand A. Il a déçu mes attentes, mais il n'en demeure pas moins agréable à lire, il plaira certainement à d'autres lecteurs, j'en suis convaincue. Pour ma part, l'absence d'univers et d'explication d'univers m'aura déboussolée ; le conte n'est pas vraiment présent et l'aventure n'est pas assez présente pour rythmée davantage le récit qui reste d'un calme olympien. La dimension psychologique, morale et philosophique, la plume de l'auteure et la communauté aux noms de chiffres, voilà ce que je retiens de très positif et qui m'aura transportée, je suis émerveillée même par ces aspects. Il comporte d'excellents ingrédients, mais je demeure à côté, dommage. Je remercie les éditions Gallimard pour ce partenariat.
Lien : http://la-citadelle-des-livr..
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note: 2,5 étoiles.

Ce roman de réalisme magique est très poétique. La plume mélodieuse de Bondoux fait vivre des métaphores : Bo et Hama vivent dans une société sombre dirigée par des autorités sans visage qui partent en guerre contre des pays sans nom. Au cœur de cette noirceur, le couple devient la représentation de ceux qui continuent de vivre, de rire, la résistance non armée. On retrouve l’archétype manichéen: « L’Ombre et la Lumière »; pourtant, en se concentrant ainsi autours des tourtereaux, Bondoux évite le cliché. Elle amplifie même l’impuissance de la population, du quidam, dans ce contexte abscons et donne à son histoire une dimension intemporelle, universelle et presque prophétique. La voix du narrateur, elle, est à la fois omnisciente et intime. Elle appartient à cette masse innocente et ignorante, à la mémoire commune et conte les drames humains et l’espoir d’une très jolie façon.

Sans adorer du plus profond de mon cœur, je me suis laissée emporter par le récit. Sans m’attacher vraiment aux personnages non plus, j’avais envie de connaître la suite, de comprendre leur destin. Mais même si la dimension fantastique du récit est très présente et que la magie vibre dans ces pages (bon, les rêves chamaniques c’est pas vraiment mon truc), je n’ai pas ressenti beaucoup d’alchimie entre cette lecture et moi. De plus, l’effet « boucle » du scénario ne m’a pas vraiment emballée: je trouve qu’il alourdit toujours l’histoire et rend la fin prévisible.

Cela dit, j’ai tout de même rencontré un bon écrivain et cela m’a donné envie de pénétrer un peu plus son œuvre.
Lien : https://thebmuffin.wordpress..
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Pas de doute je suis totalement passée à côté de ce roman. Si j'ai adoré le début du roman, l'histoire d'amour, l'écriture, les blessures de nos personnages principaux, j'ai complètement décroché sur la seconde partie. J'avais l'impression de ne pas lire le même roman. Je ne voyais plus du tout le fil rouge. Il y avait pour moi aussi un changement de style. La totale. L'ennuie me gagne et je finis ce roman en étant soulagée de l'avoir fini.

Grosse déception
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On m'avait dit beaucoup de bien d'Anne-Laure Bondoux, alors quand j'ai eu l'occasion de lire un de ses livres, je n'ai pas vraiment hésité. Malheureusement, le récit c'est rapidement révélé obscur et je suis complètement passée à côté de l'histoire.

Pourtant, l'écriture de l'auteur est simple et agréable. J'ai même senti une certaine poésie dans sa façon de conter, mais le problème c'est que je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages et à l'histoire.

Dès le départ, on ne sait pas trop où on se trouve, si c'est un lieu réel ou un univers différent ; pas plus qu'on ne sait qui est le narrateur. le problème c'est que si on parvient, à peu près, à répondre à la première question, la seconde reste mystérieuse, même une fois qu'on a terminé le livre. Et je ne suis pas très emballée par ce genre de livre mystérieux, où j'ai plus le sentiment d'avoir été menée bateau qu'autre chose.

Quant à Bo et Hama, je les ai trouvé ennuyeux et désagréables. J'irai plus loin, à un moment donné, je les ai même trouvé irresponsables et égoïstes, mais il m'a semblé que c'était de mise dans cet univers, alors peut-on vraiment leur en vouloir ?

En fait, mon plus gros problème dans ce récit, c'est que je n'ai pas réussi à comprendre le message que l'auteur voulait faire passer. Enfin si, il est rabâché à plusieurs reprises tout au long de l'histoire, mais il passe mal. C'est juste une phrase perdue au milieu d'événements invraisemblables sans queue ni tête. Et en y réfléchissant, je ne suis pas certaine que cela ait été le but de l'auteur…

Bref, une histoire destinée à de jeunes lecteurs, mais qui traîne en longueur et qui est parfaitement obscure. Pas vraiment très adaptée à son public, donc, je ne vous la conseille pas.

C'est dommage parce que la couverture est très belle et très réussie.
Lien : https://belykhalilcriticizes..
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Le seul mot qui me vient à l'esprit pour décrire ce roman est « particulier ». Celui-ci prend la forme d'un conte philosophique, ce qui rend l'atmosphère et le rythme singuliers. J'ai l'impression de n'avoir jamais rien lu de pareil.

Il y a plusieurs passages étranges, qui oscillent avec le merveilleux, tandis que d'autres sont imprégnés de violence et d'une atmosphère étouffante. Si je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages, je restais curieuse de connaître la suite de leurs aventures. Tant et si bien que je ne suis pas parvenue à le lâcher ; je pense l'avoir fini en une journée. le choix fait au niveau de la narration ne fait que rendre ce livre plus particulier encore. L'auteur parvient à aborder plusieurs thèmes en faisant des choix, dans son histoire, qui peuvent nous surprendre. Au-delà de ça, l'auteur réussit à dépeindre la condition de vie des ouvriers – chose que j'ai rarement survolé dans mes lectures.

J'ai apprécié le fait que le livre pousse à la réflexion, une fois terminé. Si je ne l'ai pas apprécié autant que je l'avais pensé (sûrement à cause de toutes les critiques élogieuses que je voyais), j'ai tout de même apprécié cette découverte. Il reste plutôt particulier : on peut l'apprécier ou non. Il ne ressemble pas aux lectures qu'on a l'habitude d'avoir. Si vous êtes curieux de découvrir cette histoire, je ne peux que vous inviter à faire cette découverte.
Lien : https://le-blog-d-eleanara.b..
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