Une étoile, pour, comme on dit à l'école, l'encre et le temps.
Je n'ai pas fini ce…truc, à vrai dire je n'ai pas réussi à aller au-delà des 80 pages. Ce n'est pas dans mes habitudes, même une purge comme 50 nuances de Grey, je suis allé au bout - au moins, avec un peu de second degré, c'est relativement drôle.
Là, la Lisa
Bourbeau, si on ne pouvait voir sa photo sur le net, on l'imaginerait volontiers dans une arrière-salle à l'obscurité réfléchie, pleine de grigris aux origines industrielles plutôt que primales, en attente du prochain gloglo avec de vagues espérances ésotériques à combler, pour lui faire les poches.
Les 5 blessures… ressemblent à s'y méprendre à une vaste arnaque, impliquant une malhonnêteté confondante si la dame responsable de cet alignement de mots ne paraissait autant convaincu de ce qu'elle raconte. Soit des imbécilités qui auront un impact sur le pauvre hère confus.
Pour information, je me suis arrêté pile au moment où « l'autrice » assène cette vérité implacable : les agoraphobes souffrent d'hypoglycémie. Après vérification, rien, nada, wallou sur le sujet. En outre, dans le contexte, aucun intérêt.
Tout ce qui précède est à l'envi : des contre-vérités balancées, rabâchées, copiées collées d'une page à l'autre, d'un livre à l'autre.
Ce qui concerne l'ésotérisme, la théorie de la réincarnation dans un corps d'une âme blessée pour sa propre guérison, pourquoi pas : c'est affaire de sensibilité, et je ne jugerai pas là-dessus (mon avis étant que ce sont des billevesées incommensurables).
Pour tout le reste, le tutoiement (mais what ?!), l'appui appuyé aux théories freudiennes (largement dépassées par au moins les travaux de
Lacan, c'était il y a 100 ans ma bonne dame), la théorie du physique révélant la blessure (si tes gros t'as forcément été humilié), l'absence totale de sources, de littérature scientifique, sinon les propres expériences de M'ame
Bourbeau (jamais publiées nulle part), tout ça c'est poubelle. Recyclage interdit.