Son espionne royale, tome 1 : Son Espionne royale mène l'enquête

1932. A vingt-et-un ans, la narratrice Georgiana, apparentée à la famille royale britannique et dotée du titre de Lady Glen Garry et Rannoch, sans profession et sans le sou, n'a d'autre perspective d'avenir qu'un mariage aristocratique arrangé. Ses velléités d'indépendance ne vont pas tarder à la placer au centre d'un imbroglio impliquant un meurtre et plusieurs tentatives d'assassinat. Pour défendre sa peau et celle de son frère arrêté à tort, elle va devoir débrouiller l'affaire.


Cette petite fantaisie espiègle et rafraîchissante sait maintenir la curiosité éveillée tout au long de péripéties aussi mouvementées que divertissantes. L'on ne s'ennuie pas une seconde, l'on sourit et éclate même de rire, bref l'on s'amuse de bon coeur, dans cette gentille intrigue menée avec vivacité à défaut de complexité. le ton, l'époque et le milieu aristocratique britannique suscitent quelques réminiscences de PG Wodehouse, dans une version plus moderne et plus féminine.


C'est frais, léger et amusant : une petite friandise à croquer en quelques coups de dent, un pétillant cocktail d'humour et de suspense, qui vous fait passer un très agréable moment et vous donne envie, pourquoi pas, de lire le prochain épisode.

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Sympathique comme tout.

Lady Georgianna, Trente-quatrième sur la liste de succession et fauchée comme les blés « s'enfuit » à Londres pour pour prendre sa vie en main. Retrouvée mêlée à une sordide affaire d'homicide, elle va devoir enquêter pour éviter la corde à son frère le Duc.

A mille lieux de ce à quoi je m'attendais, puisqu'il m'a été recommandé après une critique sur Cherub. (Son espionne royale quoi ? ). La mission d'espionnage n'en est absolument pas une, l'enquête ne présente que peu d'intérêt. Tout n'est qu'un prétexte à suivre notre gentille Lady dans ses tribulations londoniennes, fauchée mais débrouillarde.

Eh bien, j'ai passé un excellent moment. Et puis sincèrement, 1930 ou début 19ième façon « La chronique des Bridgerton », à part l'usage du téléphone, on s'y croirait (le sexe en moins, il n'y en a pas ici).
C'est frais, c'est mignon, c'est drôle, on suit avec plaisir notre petite futée dans ses aventures et on en redemande.

Lady Victoria Georgiana Charlotte Eugenie de Rannoch est une jeune héritière de la Couronne avec des titres honorifiques à rallonge mais pas un centime devant elle. Sa famille a tout perdu, il ne leur reste qu'un château glacial en Ecosse et un pied à terre à Londres et heureusement quelques amis et connaissances huppées.
Ses perspectives d'avenir sont assez limitées, elle devra forcément épouser un prince ou autre aristocrate qu'elle n'aura pas choisi car son frère et surtout sa belle-soeur ne veulent plus l'entretenir.
Mais un meurtre vient tout bousculer.
L'intrigue se passe à Londres en 1934, dans le milieu de la haute société, où les hommes passent leur temps dans leur club à lire le journal en buvant du whisky, alors que les femmes font des emplettes chez Harrods, boivent du thé accompagné de scones et vont essayer de nouvelles tenues chez leur couturière.
La quatrième de couverture a encore une fois été rédigée par quelqu'un qui n'a pas lu le livre, car la mission royale n'arrive que très tardivement dans l'histoire et ne fait l'objet que de quelques pages. L'intrigue est légère, c'est un roman qui se lit vite et qui n'est pas violent du tout, il a le mérite d'être distrayant et de nous faire découvrir le milieu des aristocrates désargentés dans les années 30.

Premier volume des enquêtes ou aventures de Lady Victoria Georgiana Charlotte Eugenie de Rannoch, trente-quatrième héritière du trône britannique, sans le sou et sans ressources ! Londres dans les années 30, elle doit trouver le moyen de gagner de quoi vivre, refusant un mariage alimentaire.

La reine Mary, la convie à Buckingham pour lui demander d'enquêter sur la relation amoureuse de son fils David dont elle voudrait le séparer.

Je ne peux pas dire que l'espionnage soit la plus grosse part du roman, l'enquête sur l'innocence de son frère, injustement impliqué dans un meurtre étant sa grand occupation et préoccupation !

Tous les prétextes sont bons pour que l'on participe à des thés et autres goûters aristocratiques avec une critique assez vive des habitudes de ce milieu qui se veut intouchable.

J'aime beaucoup la personnalité de Georgiana, rétive à toutes sortes d'entraves, désirant se réaliser autrement que dans le mariage et la représentation. Elle ose, n'hésite pas à se salir les mains et se débrouille plutôt bien.

Une lecture cosy mystery facile et agréable, une intrigue et un dénouement corrects qui ne donnent pas dans l'invraisemblable. Je vais continuer la lecture de la série jusqu'à ce que ça soit “trop” ou “plus assez” !

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En 1932, Lady Georgiana, apparentée à la famille royale, prend la poudre d'escampette de la demeure familiale écossaise, pour se réfugier à Londres : son frère lui coupe les vivres et projette même de la marier.
Oui, mais comment vivre, quand on n'a jamais rien fait (même allumer un feu dans une cheminée) ? Surprise ! La reine en personne convoque sa parente pour lui confier une mission : espionner son fils, qui fricotte avec une américaine...
Et notre héroïne a également une idée de génie : monter sa petite entreprise de ménage haut de gamme pour gagner sa vie.
C'est en rentrant chez elle qu'elle découvre un cadavre dans la baignoire...
Bien entendu, quiproquos et mésaventures seront au rendez-vous, le tout agrémenté d'une galerie de personnages attachants.

Un sympathique roman policier, rocambolesque et rigolo.

Bienvenue en Angleterre en 1932. Certes nous sommes dans une période pas si ancienne et pourtant le statut des femmes est toujours bien fragile : prenons l'exemple de l'héroïne de cette série, Lady Victoria Georgiana Charlotte Eugénie, ou Georgie pour faire court. Appartenant à la famille royale, bien qu'éloignée, sa vie a toujours été simple, entourée de serviteurs, Georgie ne s'est jamais posé de beaucoup de questions quant à son avenir au château de Rannoch en Ecosse. Mais lorsque son frère lui coupe les vivres et lui annonce qu'il lui faut trouver un mari pour assurer sa subsistance, elle s'enfuit à Londres, prête à trouver n'importe quel emploi pour échapper à une union avec le prince Siegfried de Roumanie, "un type froid et morose, doté d'un regard fixe, d'une poignée de main molle et d'une mine qui laissait entendre qu'une odeur nauséabonde planait en permanence sous son nez".
Mais heureusement Londres lui réserve des surprises, notamment la mission de la reine : surveiller son fils qui fricote avec une femme mariée!
Petite remarque en passant, en 1932, en réalité c'est Georges V qui était sur le trône mais bon! A part ce détail, ce roman est plutôt sympathique, j'aime beaucoup l'héroïne qui est pleine de courage et d'adaptabilité face à sa nouvelle situation, beaucoup moins son frère totalement inconsistant, et je me suis retrouvée à éclater de rire à plusieurs moments lors de ma lecture ... C'est bon signe, non? Je ne tarderai donc pas à lire le tome 2!

Je resors ravie de ce roman qui m'a apporté exactement ce que j'en attendais avec un titre, une couverture et un résumé pareils.
Bon moments, situations cocasses, personnages troubles, quiproquos et le tout baigné dans une ambiance à la Downton Abbey (la richesse en moins).
Les personnages sont plaisants même si ils manquent, pour la plupart, un brin d'originalité dont ne manque pourtant pas le personnage principal.
Je pensais toutefois partir dans un roman d'espionnage et ce n'est pas vraiment ça. La jeune aristocrate mêne effectivement une enquête mais est loin d'être une espionne. Dans les tomes suivants peut-être?
Mais bon, le constat est tout de même très bon. C'est frai, c'est rafraichissant et on a envie de se plonger dans le tome 2...que demander de plus?

Une lecture très rafraîchissante à l'image du personnage principal.

Georgiana est une fille de Duc, mais complètement fauchée et qui doit donc faire certains efforts pour survivre dans ce monde de brutes (travailler quoi, l'horreur!) mais en gardant le secret, tu comprends.

J'ai vraiment bien aimé ce personnage, elle est rigolote, et pleine de ressources effectivement.


Un cosy mystery sympathique, j'ai globalement passé un bon moment, par contre le résumé de la 4e de couverture est à mon sens un peu éloigné du récit. L'enquête principale s'est avérée toute autre, et celle sur Le Prince de Galles au troisième plan.

1932
Georgie, vingt-et-un an et membre lointaine de la famille royale décide de quitter l'Ecosse et le chateau de son frère pour essayer de faire son chemin à Londres.
Si la reine lui propose d'espionner la nouvelle maîtresse américaine de son fils aîné, elle ne lui propose aucune rétribution et la pousse à se fiancer avec un prince roumain en exil.

Georgie est bien décidée à travailler, mais que faire quand on n'a appris qu'un peu de français et les bonnes manières dans un pensionnat suisse ? D'autant plus qu'en 1932, le contrecoup du krach de 1929 se fait sentir.

Quand elle apprend que son père avait perdu au jeu la maison de Londres et même le manoir écossais avant de se suicider, elle se rapproche de son demi-frère pour essayer de sauver le peu qu'il leur reste tout en essayant de trouver et de garder un emploi.

Pas beaucoup d'espionnage, mais un véritable meurtre dans ce premier roman d'une série qui mêle personnages bien réels et fiction.

Encore une série du genre cosy mystery, il en existe déjà neuf aventures, me semble-t-il. La découverte de lady Georgiana m'a beaucoup plu. Déjà par ses origines écossaises et la radinerie crasse de son demi-frère et de sa belle-soeur : certes c'est un cliché mais cela m'a fait rire. Dans cette famille, Georgiana est sans doute la plus futée et il lui faudra toute son intelligence pour se débrouiller seule à Londres (sans chaperon, sans bonne, rappelez-vous, nous sommes en 1932) et pour tenter de comprendre pourquoi un cadavre a atterri dans sa baignoire et disculper le demi-frère pas très courageux que tout accuse. En même temps, Georgiana est une lady de sang royal jusqu'au bout des ongles et c'est parfois un léger handicap pour vivre et travailler comme tout le monde sans se faire remarquer.

Comme le précise l'autrice au début du roman, elle s'est « assurée que les personnages royaux ne font rien qui ne leur ressemble pas et qu'ils jouent leur propre rôle avec exactitude ». C'était donc assez jubilatoire aussi de voir la reine Mary manoeuvrer pour envoyer Georgiana espionner son fils aîné David et sa « copine » américaine, une certaine Mrs Simpson…

De l'humour, de la légèreté, un cadre historique prometteur, mais aussi une héroïne attachante, une intrigue qui se tient, voilà de bons ingrédients pour me donner envie de découvrir la suite des aventures de lady de Rannoch !
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