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EAN : 9781859953365
192 pages
Parkstone (01/01/2000)
2.25/5   2 notes
Résumé :
L’art naïf connaît ses premiers succès à la fin du XIXe siècle. Des « peintres du dimanche » développent avec spontanéité et simplicité une forme d’expression qui, jusqu’alors, avait peu intéressé les artistes et les critiques d’art. Influencée par les arts primitifs, la peinture naïve se distingue par la précision de ses traits, la vivacité et la gaieté de ses couleurs, ainsi que ses formes brutes, souvent élémentaires.
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Un livre présentant très peu d'intérêt. Je pensais en apprendre, grâce à ce livre, un peu plus sur les naïfs, mais je me suis lourdement trompée. Un fatras de copiés-collés des uns et des autres sur le sujet. Heureusement, la version papier étant très chère, autour de 150 euros, je me suis procurée la version kindle... heureusement ! En revanche on peut se rattraper sur les visuels. A éviter malgré tout.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Dans les dictionnaires spécialisés, le terme « primitif » est défini comme « peintre ou sculpteur, qui précède les maîtres de la Renaissance ». Cette définition apparue au 19ème siècle, a vieilli : la notion d’art primitif au 20ème a inclus l’art des autres civilisations ainsi que celui des artistes naïfs. On a ainsi élargi la définition pour y introduire des courants très différents les uns des autres. C’est pourquoi le terme « primitif », employé pour déterminer un art d’amateurs ne semble pas suffisamment précis.
Le mot « naïf » et ses synonymes –naturel, ingénu, rustre, inexpérimenté, crédule, simple- reflètent tous une certaine caractéristique émotionnelle, qui correspond parfaitement à l’esprit de ces peintres. Cependant, reprenant une formule d’Aragon, on pourrait dire « qu’il serait naïf de croire cette peinture naïve ».
… Le nom que leur attribua René Huyghes, « les peintres instinctifs », se réfère plutôt à leurs œuvres.
Le terme de « néo primitif » fut créé pour les distinguer des artistes « primitifs du XIXe, en réalité les peintres médiévaux. On a introduit par la suite, le terme de « peintre du dimanche » pour désigner la situation sociale de ceux qui se consacraient à la peinture le dimanche, comme distraction.

Ce fut finalement le terme de naïf qui l’emporta.
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