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sur 105 notes
Wikipedia nous dit que le buzz, anglicisme de « bourdonnement » d'insecte, est une technique marketing consistant à faire du bruit autour d'un événement, un nouveau produit ou une offre. le moins que l'on puisse dire, c'est que les éditions Bragelonne ont, l'an dernier, fait le buzz autour de la sortie de ce roman. Col Buchanan était le nouveau prodige du moment, et Farlander un ouvrage digne des plus grands… Forcément, quand on est lecteur, ou lectrice en l'occurrence, l'anticipation générée par ce genre de buzz a tendance à rendre exigeant. Et quand le plaisir obtenu n'est pas à la hauteur de nos espérances, c'est compliqué !

Autant le dire tout de suite, Farlander m'a énormément déçue. L'idée de base était pourtant bien trouvée : Ash le personnage principal – car ne vous y trompez pas, c'est bien son histoire qu'on nous conte, pas celle de Nico, son apprenti – est un Rõshun, membre d'une caste d'assassins mandatés pour tuer lors d'une vendetta. Chacun de leur client porte un sceau, dont le jumeau vit au temple des Rõshuns. Si le client décède, son sceau meurt avec lui, et son double également. Il est alors possible de retracer, grâce à ce dernier, les derniers instants de la vie du porteur, et de lancer une vendetta en cas d'assassinat. Une idée originale qui me plaisait bien.

Là où le bât blesse, c'est dans le texte. Col Buchanan sait écrire, aucun doute là-dessus. Sa plume est soignée, travaillée, un peu trop justement car c'est au dépend de la dynamique de son histoire. Sans âme, son récit se traîne en longueur pendant toute la première partie du roman. Les personnages sont en noir et blanc, ils manquent de nuance jusque dans leur évolution, et par là même, de crédibilité. L'univers lui-même laisse l'impression de n'être pas très abouti, en particulier quand il s'agit du culte de Mann dont on ne sait au final pas grand-chose en dehors du fait qu'ils sont les grands méchants de l'histoire !

Si la dernière partie se révèle plus dynamique et savoureuse, le chemin qui y mène m'a paru réellement ardu. Sans être inintéressant, c'est un roman qui manque de magie, et je n'ai malheureusement pas ressenti la moindre empathie pour les personnages. Un bon point quand même : Col Buchanan va au bout de ses ambitions. Ce qu'il advient de Nico est cohérent, bien amené et courageux de la part de l'auteur, c'est assez rare pour être signalé. J'enchaîne avec le tome 2, Entre chien et loup, en espérant ne pas être déçue à nouveau.
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Malgré cette grosse déception, je tiens à remercier Babelio pour m'avoir envoyé ce livre, ainsi que les EditionsBragelonne pour l'avoir proposé à Masse Critique.

Résumé : Ash est un farlander, un « homme du lointain » venu d'une île où les hommes ont la peau noire. Il appartient à un ordre d'assassins d'élite, les Roshuns, dont l'arme est la vendetta : quiconque menace leurs clients devient leur cible. Nul ne s'y risque, car nul n'échappe aux Roshuns.
Mais Ash est vieux et malade. le temps est venu pour lui de prendre un apprenti. Il choisit Nico, un gamin de la cité de Bar-Khos, assiégée depuis dix ans, dernière à résister à un empire d'une atroce cruauté. Affamé, désespéré, Nico n'a pas d'autre choix que de suivre le vieil homme au monastère des Roshuns où il apprendra le meurtre, mais aussi l'amitié et l'amour...
Le jour où l'héritier de l'Empire égorge délibérément une jeune fille portant le sceau des Roshuns, l'ordre exige d'assassiner l'homme le mieux protégé du monde.
Jusqu'ici, tous ont échoué. Ash se propose, il n'a plus rien à perdre.

Après avoir entendu beaucoup de bien de ce premier tome, et étant une passionnée de fantasy, je n'ai pu que me réjouir de découvrir cette nouvelle série. Cependant, après 200 pages d'ennui, j'ai décidé d'abréger ma lecture pour découvrir que la suite ne m'aurait pas passionné davantage...

Col Buchanan signe ici le premier tome de sa trilogie Farlander, avec un premier livre de 600 pages du même nom. Publié aux Editions Bragelonne, puis passé en poche aux Editions Milady (version que j'ai reçu et qui fait donc 600 pages), ce livre a reçu de multiples éloges et ma chronique ne sera donc pas représentative des avis en général. Car au contraire, ce livre est décrit comme "un chef-d'oeuvre du genre" ou "un nouveau pilier de fantasy". Pourtant, la trame dressée par l'auteur n'a rien d'originale : si ici les assassins s'apparentent davantage à des "vengeurs", leur but reste le même : tuer une personne adressée par une autre. Mais ça aurait pu fonctionner, s'il n'y avait pas eu longueur, personnages fades et prévisibilité...

Au bout de 200 pages de lecture assidue, le bilan est rapide : il ne se passe rien. Certes, il faut poser les choses et cela prend du temps. Aussi, les 150 premières pages équivalent à un prologue et quatre chapitres, dans lesquels on découvre nos protagonistes qui sont Ash et Nico, ainsi que d'autres personnages secondaires. Bref, 150 pages versions milady, ces plusieurs heures de lectures et rien à se mettre sous la dent...
Ash est un Farlander, vieux, malade, et qui se retrouve forcé de choisir un apprenti. Son choix se porte sur la personne de Nico, voleur affamé qui a commis un geste malheureux. le pauvre garçon n'a d'autres choix que d'accepter et commence alors son apprentissage dans le monde des Roshuns. Remarquez, là encore, que l'auteur reprend un trait souvent retrouvé en fantasy : l'apprentissage. Mais cela aurait néanmoins pu marcher si le couple Ash/Nico avait été un tant soit peu attrayant et intéressant. Mais j'ai trouvé ces deux personnages fades et je ne m'y suis absolument pas attachée.
Parallèlement, il y a d'autres personnages secondaires bien plus intéressants dans ce livre, mais qui restent en retrait...

S'il y a une chose parmi les éloges reçues, sur laquelle je ne peux qu'être d'accord, c'est bien la plume de l'auteur : le roman est très bien écrit et pour un premier roman, on ne peut que féliciter l'auteur. Malheureusement, l'écriture est loin de faire tout... Bien écrit certes, mais trop long, trop de longueurs, trop de descriptions lourdes et ennuyeuses...
Le récit par sur une trame connue de la fantasy : de multiples destins qui se rejoindront en parallèle à un point prévisible et attendu. Mais ces histoires sont lentes, et malgré un récit et un univers aux abords intéressants, ces longueurs et la lenteur que met l'histoire à s'installer en aura découragé plus d'un, ce qui fut mon cas. Certes, il s'agit d'un roman de fantasy, le premier tome qui plus est, et qu'il faut aussi poser les bases et installer l'histoire... Mais il faut aussi savoir doser. Quand, au bout d'un tiers du roman, l'auteur ne nous donne rien à nous mettre sous la dent, il y a de quoi refermer le livre. de plus, l'histoire demeure prévisible et n'innove pas le genre. Nos héros sont loin d'être le point fort du livre mais les idées de l'auteur sont intéressantes.

Malheureusement, la sauce n'aura pas du tout pris avec moi et j'ai achevé ce roman en le lisant de travers pour arriver à une fin à la fois prévisible et étonnante, et qui a su en surprendre plus d'un. Néanmoins, l'aventure s'arrêtera là pour moi...

Conclusion

Malgré la multitude de coups de coeur, attention à ce roman qui possède un lourd handicap qui noie alors toutes les qualités qu'on aurait pu lui trouver : les longueurs. Un roman très long à s'installer, avec deux protagonistes très fades et des personnages secondaires plus intéressants mais peu développés. Un univers qui revisite le genre avec assassins et un apprentissage mais qui n'innove pas vraiment en la matière. de bonnes idées avec un univers qui aurait pu être intéressants mais le tout est noyé sous des longueurs et des descriptions lourdes. L'histoire met trop de temps à commencer et reste très prévisible...
Ce sera donc une grosse déception pour moi... Dommage !
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Quelques bons passages (spécialement la traversée en voilier montgolfière) mais je n'ai pas tenu sur la longueur et l'ai arrêté après les deux tiers, ce qui m'arrive rarement... Les ingrédients y sont pourtant: suspens, intrigue et au moins un personnage attachant: Ash. Mais il m'a manqué un je ne sais quoi qui donne de la saveur au tout.
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La base de ce roman est classique. Un empire dominant assiège un pays qui ne résiste que grâce à une formidable construction défensive (qui a dit Gemmell ?). Mais loin de ces considérations géopolitiques, nous suivons d'abord le destin d'Ash, le plus illustre des représentants d'une secte d'assassin bien connue : les Roshuns. L'activité de ces assassins consiste en une sorte d'assurance pour leurs clients car si l'un de ceux-ci est tué, ils s'engagent à supprimer le responsable. Mais Ash est vieux et malade, et il est temps pour lui de former son successeur. Cette paisible fin de carrière est malheureusement remise en question lorsque le fils de la dirigeante du Saint Empire de Mann assassine sauvagement un de leurs clients.

Un univers cohérent et des personnages attachants, même sans originalité ça pourrait déjà donner un très bon livre. Mais l'auteur a l'audace de nous réserver quelques surprises qui le font basculer dans l'excellence. Je suis d'ailleurs très curieux et impatient de lire là suite et je fais confiance à Bragelonne pour nous traduire ça vite mais bien à sa sortie.
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Une trame classique : un vieil homme, Ash, membre d'un ordre d'assassins, les Roshuns, prend un apprenti, Nico.

Là où les choses se compliquent est que leur prochaine cible est Kirkus, l'héritier du puissant empire de Mann.

Il y a quelques originalités pour un roman de Fantasy, comme de la poudre noire et des dirigeables, mais malgré une écriture agréable, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans cette histoire et surtout à y croire.

Comme s'il manquait un petit quelque chose…
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j'ai lu ce roman que les éditions Braguelonne désigne comme un de leur coup de coeur en 2011
que dire ? un héros que je visualisais sous les trait de Morgan Freeman (je sais pas pourquoi) une histoire qui tient la route malgré que ce ne soit pas le premier que je lis sur le même thème (un assassin un novice).
beaucoup de description qui ne gâche pas le déroulements de l'action et une fin en queue de poisson qui nous promet une suite a mon avis.

Je viens de le relire pour pouvoir lire la suite et je m’aperçois que j'ai été injuste car a sa relecture j'ai éprouvé beaucoup de plaisir.
En fait, je l'ai lu a sa sortie en 2011 et j'avoue que je l'avais complètement oublié, du coup se fut une découverte.
Je m'en vais dés cet instant découvrir la suite dans les deux tome qu'il me reste a lire en espérant en prendre autant.
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En Résumé : Voilà un livre qui m'a énormément déçu, j'en attendais peut être trop. L'intrigue est du copié collé sans vie d'autres histoires et les personnages ne sont pas du tout attachants et trop manichéens. Dommage car l'auteur possède une plume qui n'est pas si mauvaise que ça, soignée et travaillée. Ce livre plaira peut être a une personne voulant découvrir de la fantasy; pour moi qui ai déjà un bagage assez important dans ce genre je n'ai pas accroché du tout à ce livre.

Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Pour tout vous avouer, j'avais à la fois hâte de lire ce roman et en même temps j'avais peur d'être déçue, tellement le "buzz" produit par Bragelonne autour de la sortie de Farlander était énorme.

Là, je viens de le refermer et je dis: WAOUHHHHH!!!

Oui waouhhh! et pour un peu je refermerais ma chronique là. Sur ce waouhhh qui exprime tout: ma satisfaction, mon étonnement, mon amour de ce livre, tout quoi.

Ce roman est tout simplement ÉNORME !
Énorme par son récit, énorme par son écriture, énorme par ses personnages, énorme par les émotions qu'il véhicule.

Un livre que j'ai dégusté comme on déguste un repas dans un restaurant étoilé. Pour une fois je ne l'ai pas dévoré. J'ai pris le temps d'en apprécier toutes les saveurs, de laisser éclater les parfums, les arômes et les émotions. Et je me suis délectée...vraiment!

(La suite de cette chronique en cliquant sur le lien ci-dessous)
Lien : http://bookenstock.blogspot...
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Farlander est le premier tome de la trilogie fantasy le Coeur du Monde. Ash, un homme du lointain, réchappe de justesse à une vendetta périlleuse et consent enfin à prendre un apprenti pour lui transmettre son savoir d'assassin. le hasard mène son choix à se porter sur Nico, un garçon affamé qu'il rencontre dans une ville assiégée.

La plupart des oeuvres de fantasy qui possèdent leur propre univers nécessitent toujours un bout de temps avant que je réussisse à prendre mes marques et à accrocher à l'intrigue, mais pas cette fois. À aucun moment, je ne suis entrée dans l'histoire.

Il y a beaucoup de termes, beaucoup de notions propres au monde médiévalo-fantasio-steampunk que l'auteur a voulu créer, et rien n'est vraiment expliqué. J'ai fini par me résigner et par poursuivre ma lecture en diagonale, en espérant avoir un déclic plus loin, déclic qui n'est jamais venu.

Je pensais que le récit allait devenir intéressant après la rencontre d'Ash et de Nico, mais non. La vie au monastère m'a juste moins ennuyée que le reste, grâce à Aléas, le seul personnage que j'ai véritablement apprécié. Les autres m'ont laissée de marbre.

Les méchants sont très très méchants, et les gentils plus ou moins gentils, avec le charisme d'une plante verte. Baracha et Ché s'en sortent un peu mieux que les autres, car ils sont plus nuancés, mais c'est tout. Quant à Bahn… Je crois que ce n'est qu'au deux tiers du livre que j'ai compris qu'il était l'oncle de Nico, ce qui m'a encore plus refroidie.

Nico en était réduit à mourir de faim, à voler et à manquer de se rompre le cou… quand il avait un oncle à deux pas ? Un oncle qui, de surcroît, partageait son opinion négative sur l'amant de sa mère ? Il n'y avait vraiment pas moyen de faire plus court et moins superficiel pour amener la route de Nico à croiser celle de Ash ?

Ce roman m'a désagréablement rappelé Idéalis (Christopher Paolini) et son enchaînement d'idées stériles et/ou avortées. Dans Farlander aussi, on retrouve beaucoup de pans d'intrigue qui ne mènent sensiblement nulle part, notamment… Eh bien, tout l'arc de Nico. Attention, spoilers dans le paragraphe suivant (et spoilers aussi sur la saga L'Épouvanteur).

Pourquoi L'Épouvanteur ? Parce que Nico connaît exactement le même traitement que Jenny. Deux apprentis sur lesquels on s'attarde (trop), mais qui ne servent concrètement à rien, et qui n'ont pas le temps de faire leurs preuves, puisque tout d'un coup, ils meurent. C'était bien la peine. La peine d'amorcer une romance avec Sérèse, la peine de passer autant de temps sur Nico, sur sa relation avec sa mère, sur son passé… Si encore ça l'avait rendu attachant, mais ce n'est même pas le cas, si bien que j'ai été indifférente à son sort. Et c'est dommage, parce que c'est vraiment le genre de coup de théâtre que j'aurais pu apprécier si tout avait été… mieux.

Cette lecture aura été vraiment pénible pour moi, et loin de me réjouir de l'avoir terminée, je soupire à la pensée du deuxième tome qui se trouve dans ma PAL. Car, maso comme je le suis, il est évident que je le lirai, mais certainement pas tout de suite ! Quant à vous, lecteurs, je vous conseille de passer votre chemin.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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Col Buchanan. le coeur du Monde tome 1. Farlander. 476 p. Editions Bragelonne. Collection 10 ans, 10 euros.
Voici ma critique par partie de roman, les points positifs et négatifs ainsi que ma conclusion.
p. 1 à 100 : 3,5/5
p 100 à 200 : 4,5 / 5
p 200 à 300 : 4,5/5
p 300 à la fin : 4,5/5.

Les points négatifs :
Les 100 premières pages présentent des « creux » càd des passages qui ne servent pas le récit et qui peuvent être passés afin d'éviter un désagrément de lecture… 😉.
A savoir : 10 pages à passer à partir de la page 45, 2 pages à passer à partir de la p.63.
Après ce passage à vide, l'intrigue et le suspense sont soutenus.
(J'observe que cela devient régulier avec des nouveaux/jeunes auteurs et je me demande si les (jeunes) éditeurs (dont l'esprit nourri aux réseaux sociaux à partir de 1996 est empreint aujourd'hui d'un crétinisme certain – lire le livre de Michel Desmurget : « La fabrique du crétin digital », prix femina 2020) sont encore à la hauteur…càd disponibles pour critiquer l'écrivain, l'amener à se dépasser, ou s'ils sont juste là pour encenser, et passer à la caisse. le pire ? Les éditions TOR (USA) qui se sont fait tourner en ridicule par l'écrivain John Scalzi…(j'y reviendrai – je n'ai pas encore trouvé assez d'énergie pour faire cette critique).
P.71 : une incohérence : Nico meurt de fin mais on voit que la maison de sa mère à la campagne est à moins d'une journée de route de la ville. Pourquoi ne pas retourner chez sa mère pour se refaire une santé ? Illogique quand on meurt de faim et qu'on est est aux dernières extrémités…

Les points positifs :
L'action démarre immédiatement dès les premières pages.
L'invention des « sceaux » et de la vendetta est originale.
Dans le second quart du récit : les dirigeables, la formation des apprentis, plus de détails et explication sur les sceaux, …
A la moitié : un brin d'amour ( 😊), une amitié qui s'installe, une rivalité peu ordinaire, la 1ère mission (impossible).
Puis tout s'enchaîne…il reste quelques incohérences dans le récit mais la plupart des auteurs en présentent. J'en repère dans chaque livre…(sauf les livres d'exception cotés 5/5).
Quand elles ne sont pas trop nombreuses et qu'elles de desservent pas trop le récit, cela me gêne moins.

Encore quelques éléments relevant : des tournures de phrases sympas et des pointes d'humour et de second degré émaillent le récit régulièrement qui amènent quelques sourires (ex. : le choix du nom des dieux : le Grand Bouffon, Mann,…).
Le suspense est maintenu jusqu'à la fin.

Les « méchants » sont vraiment immondes…mais ne sont que le reflet de la lie de certains dirigeants notre société.
Quelques introductions à l'importance de la conscience, de la méditation,…

La conclusion.
Une première oeuvre correcte d'un jeune auteur qui mérite d'être encouragé d'autant qu'il n'aurait apparemment pas connu une vie de tout repos.

De la cohérence, de l'action, du coeur, de l'humour, de l'amitié, de belles tournures de phrases…bref un roman qui fait partie de la littérature fantasy « européenne » et non un roman « de gare » 😉…

Espérons que la bonne impression se confirme et qu'il y aura moins de creux par la suite (4,5 / 5 pour l'encouragement).


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