Il ne m'en reste pas grand-chose, une vague farandole d'alcool et de sexe interrompue par de surprenants voyages tout frais payés aux quatre coins des Etats-Unis pour lire son oeuvre devant un parterre ébahi d'intellectuels majoritairement alcooliques et drogués.
Un seul souvenir concret, la sensation que
Philippe Djian l'avait trop lu.
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