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Citations sur Miss la gaffe, tome 1 : Un été de choc (7)

C'est alors que je me rends compte, avec un pincement au coeur , que je viens de commettre une gaffe .
Une fois de plus .
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-Je n'ai jamais vu pareille jalousie sororale, chuchote mon amie à mon oreille .Incroyable ce qu'elles t'en veulent parce que, contrairement à elles, tu n'as pas été forcée de laisser tomber tes études et de rester à la maison avec le polichinelle qu'un pauvre débile t'avait fourré dans le tiroir dès ta première année de fac .
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- Oh pour ca je suis courageuse, je répond d'une vois faible.
-Un peu mon neveu ! renchérit mamie. Elle part après-demain en Angleterre s'envoyer en l'air avec un julot qu'elle connaît à peine .
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Oh, puis zut ! Je l’avoue – il faut que je mette mon grain de sel partout, je suis une bavarde insensée et une crétine de première. Et, par conséquent, miss la gaffe.
Raison pour laquelle je l’ai perdu…même si, en vérité, il ne m’a jamais appartenu. Certes, il y a eu un instant ce matin où il m’a offert du Coca light…Mais non. J’ai évidemment pris mes désirs pour la réalité. Aucun doute. Je suis destinée à vivre et à mourir seule. L’amour et Lizzie Nichols ne sont tout simplement pas faits pour s’entendre.
Et c’est aussi bien ainsi. Après tout, des tas de gens ont eu des vies heureuses et fort remplies sans pour autant la partager avec un être cher. Aucun exemple ne me vient à l’esprit là, maintenant, mais je suis sûre qu’il y en a. Je serai comme eux. Je serai Lizzie…la solitaire.

Source : difunkychronicles.com
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Ce n'est pas parce qu'un mec parle comme James Bond qu'il se conduit nécessairement comme lui
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– […] N’empêche… qu’est-ce que je vais faire, maintenant ? Il serait complètement cinglé de partir à New York sans un boulot ni un endroit où vivre, non ?
– Pas du tout ! Ce serait juste courageux. Et vous m’avez l’air d’une fille sacrément courageuse.
Pardon ? Je manque d’avaler mon vin de travers. Personne ne m’a encore dit que j’étais courageuse.
Dehors, le soleil continue à baisser à l’horizon – qu’est-ce qu’il se couche tard, l’été, en France ! – baignant le ciel derrière les collines et les forêts vertes d’un rose appétissant et voluptueux. Autour de nous, le personnel apporte des assiettes contenant des assortiments de fromages, des truffes au chocolat et de minuscules verres de digestif. Dans la section fumeur, les convives s’en grillent une, savourant paresseusement la cigarette d’après-dîner, et l’odeur de leur tabac, dans cet environnement romantique, ne sent pas aussi mauvais, si je puis me permettre, que celle qui sortait des narines de mon ex-petit copain. J’ai l’impression d’être dans un film.
Disparue, la Lizzie Nichols, benjamine du professeur Harry Nichols, récemment sortie de l’université sans diplôme, qui a passé toute son existence à Ann Arbor et n’est sortie qu’avec trois garçons (quatre, si on compte Andy). Je vous présente Elizabeth Nichols la courageuse (!), voyageuse cosmopolite et sophistiquée, dînant dans un wagon-restaurant en compagnie d’d’un étranger sublime (et je le pense !), se délectant d’un assortiment de fromages (du fromage !) et sirotant une boisson appelée Pernod, tendit que le crépuscule envahit lentement la campagne française que nous traversons…

Source : difunkychronicles.com
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Si je pleure, maintenant, c’est de rire. Et quand enfin j’ai réussi à retrouver mon souffle, je proteste :
– Hé ! Vous aviez prétendu être nul en blagues.
– C’est vrai, répond-il d’un ton grave. Celle-là était très mauvaise. Votre hilarité m’étonne.
Je ris encore quand je m’affale sur le siège à côté du sien, agréablement rassasiée et un peu endormie. Je m’efforce cependant de rester éveillée en fixant la fenêtre de l’autre côté de l’allée centrale, juste derrière la tête de Jean-Luc, ou le soleil auréole un nouvel édifice imposant.
– C’est bizarre, mais on dirait un château, là-bas, dis-je en tendant le doigt.
– Parce que c’en est effectivement un, répond Jean-Luc après avoir tourné le cou.
Je m’étonne d’une voix ensommeillée :
– Non !
– Bien sûr que si, s’esclaffe-t-il. Vous êtes en FRANCE, Lizzie. À quoi vous attendiez-vous ?
Pas à des châteaux exposée au su et vu de tout le monde. Pas à ce crépuscule merveilleux qui emplit le wagon d’une lueur rosâtre. Pas à cet homme parfaitement gentil et adorable qui est assis près de moi.
– Pas à ça, lui réponds-je en chuchotant. Pas à ça.
Puis je ferme les yeux.
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