Associons
John Fanté et
Charles Bukowski et nous avons
Louis Calaferte. Une première partie très sexe qui, d'ailleurs, lui a valu d'être censuré. Dans la deuxième, il nous confronte à sa galère alors qu'il lui faut trouver à manger et surtout à dormir. le travail, pas trop puisqu'il pense qu'il deviendra écrivain. Un livre cul et culte dont j'ai toujours entendu parler et dont je suis heureuse de l'avoir enfin lu parce que j'en ai aimé les idées et la liberté d'écriture qu'il se donne. Je laisse la parole à
Philippe Sollers : « On n'a jamais, je dis bien jamais, écrit quelque chose d'aussi fort, d'aussi cru et violent. Et drôle. Et horrible. Et peut-être prophétique. Ne pas avoir lu ou ne pas lire sur-le-champ
Septentrion est foncièrement immoral. »
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