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Critique de MRL
J'ai découvert le monde de Mireille Calmel pour la première fois à Noël, grâce à ma belle-soeur qui m'a offert la trilogie " le chant des sorcières" ainsi que les deux tomes qui lui font suite, de la saga " La reine de lumière".
Je me suis laissée entraîner très rapidement dans son monde fantastique, mêlant la légende de Mélusine, la sorcellerie, l'amour.
M.C nous entraine grâce à une plume enlevée, très évocatrice dans un Moyen-âge extêmement vivant. Elle nous ancre littéralement dans cette époque en suivant ses différents personnages dans leur quotidien.
Nous y abordons :
- les problèmes de la féodalité vécus fort différemments en fonction du rang social où ils se trouvent.Tout au long du livre, le rapport " dominant-dominé " est omniprésent, cru et violent comme à cette époque, teinté même d'un certain sadisme par moment, comme les seigneurs et maitres face à leurs vassaux ou à leurs larbins, les hommes face aux femmes, Les sorcières face aux simples humains.
- l'homosexualité, notamment féminine
- les différences de religion.
La sexualité aussi est omniprésente au fil des pages ! Pas toujours" courtois" l'amour à cette époque, souvent même cru, violent, physique !
C'est un roman bien écrit dans l'ensemble, un peu à l'eau de rose, il faut bien le dire, au style fluide, qui nous offre un bon moment d'évasion. IL se lit très vite et je le trouve divertissant, même si je regrette la simplicité de cette oeuvre.
Quel dommage qu'il n'y ait aucune réflexion un peu fouillée dans ce livre comme avec Anne Rice et sa saga des sorcières. Je trouve le roman un peu vide, rien qu'une succession de rebondissements multiples, une histoire qui coule et vous entraine certe mais qui ne vous amène sur aucune réflexion !
J'ai passé cependant un agréable moment et vais m'atteler au tome 2.
Je me suis laissée entraîner très rapidement dans son monde fantastique, mêlant la légende de Mélusine, la sorcellerie, l'amour.
M.C nous entraine grâce à une plume enlevée, très évocatrice dans un Moyen-âge extêmement vivant. Elle nous ancre littéralement dans cette époque en suivant ses différents personnages dans leur quotidien.
Nous y abordons :
- les problèmes de la féodalité vécus fort différemments en fonction du rang social où ils se trouvent.Tout au long du livre, le rapport " dominant-dominé " est omniprésent, cru et violent comme à cette époque, teinté même d'un certain sadisme par moment, comme les seigneurs et maitres face à leurs vassaux ou à leurs larbins, les hommes face aux femmes, Les sorcières face aux simples humains.
- l'homosexualité, notamment féminine
- les différences de religion.
La sexualité aussi est omniprésente au fil des pages ! Pas toujours" courtois" l'amour à cette époque, souvent même cru, violent, physique !
C'est un roman bien écrit dans l'ensemble, un peu à l'eau de rose, il faut bien le dire, au style fluide, qui nous offre un bon moment d'évasion. IL se lit très vite et je le trouve divertissant, même si je regrette la simplicité de cette oeuvre.
Quel dommage qu'il n'y ait aucune réflexion un peu fouillée dans ce livre comme avec Anne Rice et sa saga des sorcières. Je trouve le roman un peu vide, rien qu'une succession de rebondissements multiples, une histoire qui coule et vous entraine certe mais qui ne vous amène sur aucune réflexion !
J'ai passé cependant un agréable moment et vais m'atteler au tome 2.
