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3.86/5 (sur 6889 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Martigues , le 08/12/1964
Biographie :

Mireille Calmel, née Mireille Claire Rouchon, est une écrivaine française.

Sa mère, divorça de son époux Louis Rouchon lorsque Mireille avait 3 mois et se remaria peu de temps après avec Émile Calmel. Son père biologique ne donna signe de vie que lorsque Mireille atteignit ses 18 ans, lorsqu’il lut un article dans un journal local vantant ses talents d’écrivain. Son beau-père, devint donc, dès le plus jeune âge de Mireille, "son seul et unique papa". Son grand-père, Jean Calmel, contribua lui aussi avec tendresse à son apprentissage. Il s’éteindra d’un cancer en 1981, au moment où Mireille obtiendra son premier contrat d’édition, dans une maison à compte d’auteur, pour publier "Angéline". Son grand-père lui demandera alors de le signer du nom de Calmel, car il la considère comme sa petite-fille et en est très fier. Le nom de Calmel devient donc son nom d’auteure et son héritage.
A l'âge de huit ans, elle tombe gravement malade. Elle profite de ses moments à l'hôpital pour écrire des chansons, des pièces de théâtre et chante dans les bals. C’est durant cette période qu’elle écrivit "Angéline", elle avait alors 15 ans. Vers 1989, elle écrivit diverses pièces de théâtre pour les enfants. Malheureusement, son travail ne sera pas reconnu. Mireille décida alors d’accepter la proposition du Maire de Saint Martin et fonda sa propre association de théâtre :"Les Tréteaux de l’Enfance", qui accueillit des enfants de 6 à 18 ans. En 1995, divorcée du père de ses enfants, elle dépose un dossier d’insertion et obtiens le RMI pour écrire un roman historique autour d’Aliénor d’Aquitaine. Cinq ans plus tard, elle envoie son manuscrit aux Éditions XO : Bernard Fixot est conquis. Le livre est vendu à plus d'un million d'exemplaires et traduit dans dix pays. Sa carrière d'écrivain est désormais lancée : en 2003 paraît avec le même succès "Le Bal des louves" (Éditions XO) puis, en 2005, "Lady Pirate" (Éditions XO). Aujourd'hui, ses livres sont publiés dans une quinzaine de pays européens et elle compte plus de 11 millions de lecteurs.
Mireille Calmel est mère de deux enfants, dont l'auteur Anaël Train.
site officiel : http://mireillecalmel.com/
Facebook : https://www.facebook.com/mireillecalmelofficiel/
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Source : Amazon
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Le Templier de l'ombre, tome 2 - Mireille Calmel


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Le respect, Read, c'est comme la confiance, ça se mérite et ça doit se gagner.
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- J'ai besoin que vous viviez longtemps, Aliénor, pour tenir nos fils sous ma coupe. Mais sachez que, désormais, pour moi vous êtes morte, ainsi que le sont toutes feuilles qui, par trop de soleil, ont fini piétinées par l'automne.
Elle redressa le menton. Si tu l'avais pu voir, Anne, à cet instant ! Cette fierté ! Ce panache !
- Rendues à la terre, les feuilles nourrissent le pied des chênes qu'elles ont embellis, Henri. Au soir de votre mort, des bourgeons seront verts...Et je les regarderai pousser.
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Le lendemain mit Louis au supplice. Il bouillait. Écartelé entre son désir d'être agréable à Bernard de Clervaux et celui de lancer à l'orée du bois de Vincennes une horde de soldats qui ne laisseraient sur leur passage que cadavres.
D'un côté Dieu, de l'autre le diable ; encore cette incessante balance entre le bien et le mal, entre la raison et le charnel, entre le châtiment et le crime, qui meurtrissait depuis toujours son âme.
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Le plus beau visage de l'amour est celui que l'on porte au fond de soi, comme un secret.
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— Non, j’ai dit NON ! s’insurgea Algonde en repoussant les mains un peu trop empressées de Mathieu vers sa taille. — Juste un petit baiser, alors. Un tout petit baiser, insista le fils du panetier en arrondissant la bouche.

— Suffit ou mon genou calmera tes ardeurs ! menaça la jouvencelle.

Elle ne plaisantait pas. Mathieu s’écarta d’elle, inquiet pour son entrejambe. Ils se chamaillaient depuis le berceau et il savait bien de quoi sa belle était capable. Choisissant une autre approche, il s’installa en tailleur sur la litière de la vache qui meugla de désapprobation, tandis qu’Algonde glissait un tabouret sous ses flancs.
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Et lorsque dans un cri elle le reçut en elle,
Oubliant sous son joug tous ses amants passés,
Elle s'offrit enfin aux danses éternelles
Qui de deux corps défunts, en font un qui renaît.
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Les coutumes sont parfois cruelles au coeur d'une mère, mais elles forgent le caractère des dames et je veux parier que vos filles l'ont assez bien trempé pour d'une contrainte faire une destinée.
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S'abandonner. Entre les mains de l'espoir. Se mettre en danger. Vraiment. Elle en valait la peine. Plus qu'aucune autre. Oui, elle valait la peine qu'il en perde la tête, le cœur, l'âme.
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Elle voulait le sel sur la peau de Corneille et partager pleinement ce qu'elle avait trahi tant de fois.
"Tu ne seras jamais une lady", lui avait-il dit un jour.
Il se trompait. Ses titres de noblesse, elle les gagnerait le sabre au poing.
Oui, Mary Read était en train de renaître. Ou plutôt de naître enfin, au-delà des lois, de la vengeance et de la foi.
Elle serait lady pirate.
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Il fixa, imperturbable, tout au moins en apparence, les grands yeux fulminants jusqu’à ce qu’ils perdent de leur intensité. Aliénor sentit un sanglot lui nouer la gorge. Raymond se moquait d’elle. Il aimait la soumettre, la dominer du haut de sa vingtaine superbe.

— Lâche-moi, gémit-elle, des larmes dans la voix.

Il obtempéra. Elle se détourna, glacée, et lâcha d’une voix éteinte :

— Je sais ce qu’il me reste à faire. Puisque personne ne veut de moi, je n’ai plus qu’à disparaître. Adieu !

Raymond se retint de rire. Il hasarda :

— Où vas-tu ?

— Mourir, messire, lança-t-elle, très digne, en sortant de la pièce.
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