Citations sur Le Lit d'Aliénor, tome 1 (13)
Laisse-toi guider par ton instinct, mais que jamais il ne devienne ton maître. Sache où bat ton cœur et pourquoi tu agis.
Quoi que tu fasses, ton être t'appartient et tu es seule juge, au regard de tes actes, tant qu'ils n'entravent pas ce pour quoi tu es sur cette terre.
- Plutôt mourir qu'épouser ce falot !
" - Le bien, le mal sont des notions qui varient selon l'interprétation qu'on en fait. Il est normal que tu éprouves tendresse et amour pour elle, normal aussi que ton corps cherche la caresse. Laisse-toi guider par ton instinct, mais que jamais il ne devienne ton maître. Sache où bat ton cœur et pourquoi tu agis. (...) Quoique tu fasses, ton être t'appartient et tu es seul juge, au regard de tes actes, tant, encore une fois, qu'ils n'entravent pas ce pour quoi tu es sur cette terre."
L'Aquitaine ! On la disait belle, lumineuse, ensoleillée, chaleureuse par sa musique, ses vins et ses arts. J'appréciais les belles choses, tout ce qui, disait-on, coulait là-bas, comme coulait le fleuve en écartant les terres pour s'y frayer un passage et les enrichir. Ainsi, c'était l'Aquitaine, cet endroit dont j'avais prédit en songe l'importance !
...complice de ce Dieu d mensonge qui associait l'amour à la boucherie, la punition à la Rédemption, le martyre à la vérité du Christ.
J' avais toujours exécré ces prélats trop riches qui priaient pour la miséricorde d'un peuple mourant de faim, entre deux bouchées de mets surabondants dont un seul eût suffit pour nourrir une famille.
Laisse-toi guider par ton instinct, mais que jamais il ne devienne ton maître. Sache où bat ton coeur et pourquoi tu agis.
Quoi que tu fasses, ton être t'appartient et tu es seule juge, au regard de tes actes, tant qu'ils n'entravent pas ce pour quoi tu es sur cette terre.
C’était comme un murmure, une sorte d e liturgie à peine audible mêlée de chants d’oiseaux.
C’était agréable. Je me sentais légère telle une brise de mai.
Devant moi s’ouvrait une vallée superbe pavée de sable fin et brûlant.
Un soleil au zénith répandait des vagues de chaleur sur une ville blanche aux toits en forme de coupole.
En fond d’image, des montagnes se découpaient, ocre sur un ciel azur extrême, sans nuage.
Tout autour de la ville, des palmiers ployaient leurs feuilles de dentelle sous la caresse du vent, et, en m’approchant, je reconnus une orangerie gorgée de fruits dotés
Jamais je n'ai vu visage plus noble et plus beau que le vôtre, comte , lorsque la musique tout entière le caresse et l'enivre. Quant à votre voix, elle est digne d'un chant d'oiseau, lorsque l'aurore point et que le ciel s'embrase à son hymne. Si vous partez maintenant, vous condamneriez ce printemps qui vient à mourir avant de naître. Si je vous ai fui, ce n'est pas par dégoût de vous, mais par peur de moi.
Jamais je n'ai vu visage plus noble et plus beau que le vôtre, comte , lorsque la musique tout entière le caresse et l'enivre. Quant à votre voix, elle est digne d'un chant d'oiseau, lorsque l'aurore point et que le ciel s'embrase à son hymne. Si vous partez maintenant, vous condamneriez ce printemps qui vient à mourir avant de naître. Si je vous ai fui, ce n'est pas par dégoût de vous, mais par peur de moi.