Citoyens !
Par ce tract nécessairement
anonyme nous voulons
vous poser une simple question.
Un fasciste tué par un autre
fasciste peut-il être appelé
"martyr"? Ou bien est-ce
une simple victime privée
de titre et donc inexistante
comme martyr? Pensez-y.
« la voci del Duce l'apparalizza :"Barone a che punto è Mussolinia?" Se Mussolini gli sparava un colpo di revorbaro in mezzo alle scapole, di certo faciva meno effetto. Giacomo Barone varìa, s'afferra alla maniglia. Mussolinia? E che minchia è Mussolinia? Tutto 'nzemmula la faccenda gli torna in mente e addiventa di colpo sudatizzo. "M'informerò e vi farò sapere Duce
Sur la mort de Gigino Gattuso, et justement sans aucun respect pour sa mort, on édifia une mystification solennelle, qui évacuait la réalité, la vraie, derrière une réalité virtuelle, inexistante. Exactement ce qui s'est passé avec la ville De Mussolinia. Sauf que Gigino Gattuso avait défunté pour de bon.
Depuis trois jours, il a la tête ailleurs et tout le monde, du sous-préfet au dernier des huissiers, pense que Son Excellence est dans ses dares à cause de la gravité de la situation en ville, mais ils se fourrent le doigt dans l’œil, car monsieur le préfet se contrefout de la gravité de la situation en ville; s'il ne sait plus à quel saint se vouer, c'est à cause de la gravité de sa situation à lui.
A la mi-avril 1941, maître Francesco Mormino, du Barreau de Giurgenti et professeur de culture militaire au lycée Empedocle, entreprit, dûment autorisé s’entend par monsieur le proviseur, une tournée des popotes, pour exposer dans chaque classe (j’étais alors en seconde), le pourquoi du comment du grand rassemblement des jeunesses fascistes à Caltanissetta, le 21 du mois.
Michele tenta un sourire qui ne fut qu’une grimace. « Tire pas peine, va, Libirtì. Dès que Mussolini n’aura plus besoin d’eux, c’est eux qui le prendront là où tu penses. Et ensuite, jour après jour, c’est l’Italie toute entière qui se fera enculer »