Même seul, Gursk ne pouvait s'empêcher de mettre en scène sa gigantesque personne. Le sommet de son crâne dépassait les deux mètres et, ainsi coiffé des cornes de son malheureux adversaire d'un jour, il culminait à deux mètres cinquante. Son torse énorme foisonnait d'une pilosité incroyable, ses bras étaient aussi épais que des cuisses de porc, son cou de buffle portait les marques de plis fonctionnels et ses cuisses... ses cuisses étaient aussi larges que des abdomens d'adolescents en pleine santé. Plantée au milieu de ces membres démesurés, sa verge pourtant de belle taille paraissait perdue, misérable.