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sur 702 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Résumé éditeur
Mi-juillet, Sixtine, dix ans, disparaît sur une plage de l'île d'Oléron. Pour Jeanne, sa mère, c'est tout son monde qui s'écroule. Elle s'en veut d'avoir été trop accaparée par son métier. Elle en veut à son mari, qui aurait dû surveiller leur petite brune aux yeux bleus, mais qui a failli, trop occupé à donner un énième coup de canif dans leur contrat de mariage.
Lorsque les recherches conduisent finalement à un multirécidiviste connu par la justice pour le viol de quatre fillettes, Jeanne comprend que rien ne sera jamais plus comme avant. Et son travail de résilience s'annonce d'autant plus long que le corps de Sixtine n'a jamais été retrouvé.
Une absence qui laisse planer comme une incertitude… Et si la vérité s'avérait plus sordide et glaciale encore que la mort d'un enfant ?

L'intrigue était séduisante, tout ce qu'il faut pour un bon thriller glaçant. Mais. il m'est tombé des mains dix fois et je l'ai terminé à grand-peine hier. La mère, qui est la narratrice pratiquement tout le temps, se raconte victime, de son mari puis des autres etc. Rien ne lui va. Un poste élevé dans la pub à Paris, elle s'inscrit dans une association de parents d'enfants disparus, ne comptant quasiment que des hommes, et cette mère, Jeanne, semble ne survivre qu'en s'appuyant sur « ses hommes » comme elle dit. Ses collègues masculins, les pères d'enfants disparus, et même la belle gendarmette qu'elle met dans son lit.
La petite Sixtine, on la voit au début, est enlevée et sequestrée dans le noir, affamée, assoiffée, sale, et n'obtient de la nourriture que lorsqu'elle ne bouge pas. On ne sait pas ce qui se passe. Elle n'identifie personne. Et elle est retrouvée vivante au tiers du livre.

Alors moi, au milieu du récit, j'en ai déjà marre. le suspense est constamment cassé à force de personnages dans la vie de Jeanne : son enquêtrice spéciale, ses « hommes », les pays où on lui dit qu'il y a les suspects, la Croatie, etc. Je me suis maintes fois trouvée perdue dans les entrelacs des suppositions et des aléas de la vie de Jeanne… Franchement très désagréable pour un livre à suspense. Les personnages sont désagréables, ou fades. Impossible de s'identifier à cette mère évaporée. Je ne conseille pas ce livre. du tout.
Lien : https://melieetleslivres.fr/..
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D comme décevant. J'ai été au bout de ce livre juste pour connaître la fin mais ce fut un vrai calvaire. Je n'ai accroché ni au style ni à l'intrigue. La seule chose qui m'a interpellé c'est pourquoi ce livre avait de si bons commentaires ? Mystère. Peut-être n'aurais-je pas dû lire l'excellent "Les brumes de Capelans" avant celui-ci ?
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Sixtine, une petite fille de dix ans, disparaît brusquement sur une plage de l'île d'Oléron. Pour ses parents le cauchemar ne fait que commencer d'autant que l'enquête piétine, les recherches ne mènent à rien, la petite fille reste introuvable.
Si le récit s'ouvre sur une affaire de kidnapping classique, le duo Jérôme Camut, Nathalie Hug, va graduellement au fil des chapitres basculer vers une intrigue diabolique et plus complexe qu'il n'y parait. Par petites touches on découvre le calvaire incessant de Sixtine tout en suivant en parallèle le quotidien pathétique que vit Jeanne sa mère. Une première partie plutôt conventionnelle, plus dans la psychologie que dans l'action. Jeanne, tout en se lamentant en permanence sur son sort, s'avère plus tourmentée par ses pulsions sexuelles que par la disparition de sa fille. Les auteurs semblent du reste s'attacher plus au sexe sous toutes les formes qu'au martyre de Sixtine qui, au final, n'est que très peu détaillé. La seconde partie de l'histoire prend une direction aussi surprenante qu'invraisemblable. Jérôme Camut et Nathalie Hug usent d'artifices scénaristiques faciles avec une enquête officieuse improbable, des raccourcis simplistes, des imbroglios stériles et des protagonistes aux agissements tendancieux. Nos âmes au diable questionne sur la part d'ombre de la nature humaine, les déviances, la détresse psychique dans une ambiance sombre et délétère avec des rebondissements saisissants mais, l'ensemble manque d'émotion comme de crédibilité. La conclusion qui se veut intense et renversante ne convainc pas vraiment, les auteurs sombrant dans un mélo navrant qui privilégie la noirceur et un contexte glauque juste pour émouvoir et choquer. Un roman convenable dans sa forme mais peu captivant et décevant dans sa concrétisation.
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