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J'ai passé un excellent moment avec ce roman passant des années 1990 aux États-Unis aux années 1938 en Autriche un peu avant qu'Hitler décide d'envahir ce beau pays et d'y faire les atrocités que nous connaissons.
Donc Katie Nelson, jeune femme en instance de divorce, trouve en faisant du rangement dans la maison de son père, une lettre jaunie adressée à une inconnue, une certaine Héléna Faber. Souffrant d'un début d'alzheimer, son père ne peut rien lui dire sur cette lettre. Elle va donc, se mettre en quête d'en savoir plus sur le timbre et sur la destinataire de cette lettre non lue et fera au cours de son enquête, de belles rencontres.
En 1938, Kristoff, entre comme apprenti chez Frédérick Faber, graveur et créateur de timbres et va tomber amoureux de sa fille aînée. Puis, Hitler va envahir son pays et Kristoff va se retrouver avec Héléna dans la résistance autrichienne bien malgré lui.

J'ai beaucoup aimé ce roman m'imaginant que peut-être, l'auteur s'était inspiré d'une histoire vraie. Cela aurait pu être le cas, mais il n'en fut rien. cela n'a pas gâché mon plaisir. L'histoire est romantique bien sûr mais juste ce qu'il faut.

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il y a des romans qui dès les premières lignes me procurent comme une sorte d'envoûtement avec un sentiment de bien-être, avec pour seule envie de me blottir dans un plaid et d'en poursuivre la lecture.
Incontestablement "la vie secrète d'Elena Faber" en fait partie.
Avant de parcourir ce roman, je ne savais rien sur les timbres ou la philatélie en général, je ne m'étais jamais questionnée sur leurs créations ou leurs dessins.
Malgré cela lorsque j'ai lu le 4e de couverture je ressentais toujours le besoin de lire ce roman..
Je ne vais pas vous en faire le résumé, de nombreux babéliotes l'ont déjà retracé dans leurs critiques, je vais juste vous avouer que j'ai encore appris de nouvelles choses sur ce pan de l'histoire qui va de la Nuit de Cristal à la chute du Mur de Berlin. Mais aussi sur ces femmes pour la paix, et sur les graveurs autrichiens qui ont pris part à la résistance.
A travers cette critique je n'ai qu'une envie irrépressible ! vous suscitez la convoitise de tenir ce roman entre vos mains et de ne plus le lâcher.
Pour moi, ce premier roman déchirant de JILLIAN CANTOR est un hymne à l'amour, une ode à l'histoire, une belle réussite que je vous recommande vivement.
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Voici le troisième titre que je lis de la sélection 2018 du Prix Relay des voyageurs lecteurs…. et cette fois-ci nous sommes transportés à la fois dans l'Autriche de 1938, à l'aube de la seconde guerre mondiale, et en parallèle dans le Los Angeles de la fin des années 80. Dans cette dernière époque, Katie Nielson, journaliste en plein divorce, est interpellée par Benjamin, marchand de timbres. Elle lui a confié la collection de son père pour évaluation, et un timbre particulier a attiré son attention. Collé sur une enveloppe adressée à Fraulein Faber, non affranchi, il contient le dessin d'un Edelweiss, subtilement inséré dans la représentation plus large d'un monument autrichien. Tout cela est inhabituel, mystérieux, et intrigue Katie qui décide de mener l'enquête, aidée par le marchand de timbres, qui se révèle de très bonne compagnie. En 1938, nous suivons Kristoff, jeune orphelin, devenu l'apprenti de Frédérick Faber, graveur et créateur de timbres, alors que les troupes d'Hitler sont sur le point d'envahir l'Autriche. Kristoff est amoureux d'Elena, la fille de son maître, et fera tout pour protéger cette famille juive. Si vous avez aimé le roman Il était une lettre de Kathryn Hughes, vous allez soit apprécier ce roman-ci de la même façon soit, comme moi, être un peu désappointé d'y retrouver le même procédé narratif, avec une psychologie des personnages beaucoup moins poussée que dans le roman de Kathryn Hughes, que j'ai personnellement préféré. Et pourtant, je dois avouer que malgré cela La Vie secrète d'Elena Faber est d'une lecture extrêmement agréable, fluide et prenante. Même si on se doute assez vite des ressorts de l'histoire et des liens qui existent entre les protagonistes, il est plutôt agréable de suivre la romance discrète qui se noue peu à peu entre Katie et Benjamin, et de côtoyer l'Histoire avec un grand H.


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Jillian Cantor prend prétexte d'une vieille lettre pour nous entraîner à la suite de ses protagonistes de la Californie de 1989 à l'Autriche de 1938.

Dans un petit village d'Autriche, Kristoff est apprenti chez Frederick Faber, un graveur de timbres reconnu par ses pairs. Pour cet orphelin tout juste arrivé de Vienne, les Faber sont une véritable famille, les parents, mais aussi les filles, l'espiègle Miriam et la belle et intrépide Elena, dont il est secrètement amoureux. Mais en 1938, la nuit de Cristal étend son manteau d'horreur sur l'Autriche annexée par l'Allemagne d'Hitler, les nazis envahissent le pays et les juifs sont persécutés, déportés, assassinés. Plus de bougies ni de shabbat, plus de paix pour les Faber ni pour les juifs du petit village de Grostburg. Aussi, lorsque le père, puis la mère, disparaissent, Elena et Kristoff entrent à leur façon en résistance.

A Los Angeles, le père de Katie Nelson est atteint de la maladie d'Alzheimer. Toute sa vie il a collectionné les timbres, et demandé à sa fille de prendre soin de cette collection le jour où il disparaîtra. Comme elle sent que le fil de la mémoire paternelle va en s'amenuisant, et qu'elle ne veut pas risquer de passer à côté d'un trésor, Kate décide de faire examiner cette collection de timbres à Benjamin, un philatéliste. Il fait une découverte étrange, un timbre autrichien qui ressemble étrangement à ces timbres créés par des résistants pour faire passer des messages sous les yeux des nazis. Benjamin et Katie mènent l'enquête, qui les entraîne des USA à l'Allemagne de l'Est au moment symbolique de la chute du mur de Berlin, puis en Autriche ou au Pays de Galles, à la recherche de cet inconnu qui a écrit ce courrier jamais parvenu à son destinataire, Elena Faber.

Prétexte à nous faire découvrir des pans de l'Histoire de l'Autriche, de cette nuit de Cristal, de ces hommes et de ces femmes entrés en résistance avec les moyens qu'ils avaient à leur disposition, faisant fi de leur liberté pour tenter de sauver les autres, même un seul, au péril de leur vie.

ce que j'ai aimé ? à lire dans la suite de la chronique sur le blog Domi C Lirehttps://domiclire.wordpress.com/2018/05/17/la-vie-secrete-delena-faber-jillian-cantor/
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Je tenais tout d'abord à remercier chaleureusement NetGalley et les éditions Préludes pour l'envoi de ce service presse numérique !
J'avais repéré ce livre dans les sorties du mois de mai ! de ce fait, quand je l'ai vu dans le catalogue de NetGalley, j'ai directement envoyé une demande à la maison d'éditions qui l'a très gentiment acceptée ! Et je peux d'ors et déjà vous dire que j'ai passé un très agréable moment de lecture !
Le récit s'ouvre sur une jeune fille qui marche péniblement dans la neige, des lettres à la main. Lettres qu'il semble cruciale qu'elle poste. Elle est presque arrivée à destination lorsqu'elle sent soudain le canon froid d'une arme pointée sur sa tempe… Pour découvrir ce qu'il lui arrive ensuite et pourquoi elle se trouvait seule dehors par ce froid matin de l'hiver 1939, il faudra attendre de nombreuses pages. Personnellement, j'apprécie quand les romans proposent ce genre de prologue où d'entrée de jeux l'auteure nous révèle les bribes d'un événement dont la suite ou les conséquences ne seront dévoilées que bien plus tard. Jillian Cantor, ici, nous en dit juste assez pour nous mettre l'eau à la bouche et puis….entame son premier chapitre avec Katie en 1989.
Ce roman alterne, en effet, des chapitres qui se passent en 1989-90 aux côtés de Katie et d'autres qui remontent beaucoup plus loin dans le passé et retracent la vie d'Elena Faber et Kristoff en 1938-39. le lien qui unit ces deux histoires, c'est une lettre, fermée et non cachetée, retrouvée dans la collection de timbres du père de Katie. Cette lettre, et surtout son timbre, pourrait bien être la perle rare qu'il a toujours rêvé de posséder.
J'ai adoré tout autant ces deux récits parallèles bien que celui concernant Kristoff et Elena soit plus surprenant et stressant, vu le contexte de la seconde guerre mondiale. L'histoire de Katie a un côté plus convenu, qui m'a moins séduite même si ses recherches autour de la lettre restent très intéressantes à suivre. Surtout que l'auteure maitrise parfaitement ses fins de chapitre. Régulièrement, elle les termine sur des mini-cliffhangers qui donnent terriblement envie de sauter le chapitre suivant pour directement reprendre là où s'arrête le précédent ! Elle arrive, de cette manière, à tenir son lecteur en haleine tout au long du roman ! Son style est, de plus, fluide et travaillé. Elle insère juste ce qu'il faut de descriptions pour planter le décor. C'était un véritable plaisir à lire!
L'intrigue est bien menée même si j'ai cru jusqu'au bout qu'il y aurait encore d'autres rebondissements, une fois la « grosse » révélation faite. En effet, si celle-ci m'a surprise, j'ai ensuite trouvé le récit plus plat et couru d'avance. La fin est parfaite en soi mais pas assez mouvementée à mon goût. J'ai eu l'impression qu'une fois les principaux mystères dévoilés, le suspens retombait un peu trop et, surtout, ne remontait plus, ce que j'ai trouvé dommage,. D'autant qu'il restait encore pas mal de pages ! Toutefois, c'est un petit détail puisque que j'ai, malgré tout, accroché jusqu'au bout à ma lecture ! Ce livre ne révolutionne sans doute pas le genre mais reste très agréable à lire !
En ce qui concerne les personnages, j'ai beaucoup aimé Katie dont nous suivons le point de vue. Sa vie n'est pas au beau fixe, entre son divorce en cours et son père interné à cause de ses pertes de mémoire. Si, pour le moment, il peut encore parfaitement évoquer des événements qui se sont produits il y a des années, il a souvent du mal à se souvenir de ce qu'il a mangé le matin même… Katie a des origines juives allemandes. Elle-même est, cependant, née et a toujours vécu aux Etats-Unis, tout comme sa mère. Seuls son père et ses grand-parents maternels ont habité en Europe avant de venir s'installer aux USA. Grâce à la fameuse lettre, Katie va non seulement s'embarquer dans une aventure un peu folle qui la mènera jusque sur la terre de ses ancêtres mais aussi faire la connaissance de Benjamin. J'ai apprécié ce personnage, un peu distant au début, mais très doux et franc ! Il va droit au but et peut parfois paraître maladroit dans sa façon de s'exprimer. Il est très attachant et son vécu s'est révélé plus complexe et poignant que ce à quoi je m'attendais au départ !
J'ai grandement apprécié aussi les Faber (toute la famille) et Kristoff ! Ils ont été fortement touchés par la seconde guerre mondiale et ce, dès les premières actions anti-juives, dont la sanglante Nuit de Cristal. J'ai tremblé pour eux à maintes reprises et éprouvé de la joie ou encore du soulagement en suivant leur récit ! Je me suis réellement prise d'affection pour eux ce qui a rendu leur histoire d'autant plus prenante et émouvante ! Ces chapitres sont contés à la troisième personne et, pourtant, j'avais l'impression d'être plus proche d'eux que de Katie. D'un côté, tout est fait pour avoir cette sensation puisqu'une partie de l'histoire de Katie est tournée vers les Faber. Elle essaie, tout comme nous, de comprendre ce qu'il s'est passé et est tout aussi impatiente de découvrir enfin ce que contient cette fameuse lettre !
Elena m'a également plu malgré sa froideur et son détachement, qui cache, en réalité, une certaine retenue ! Elle sait que ce qu'elle fait est dangereux et, de ce fait, a peur de s'attacher. C'est une jeune femme très courageuse et prête à tout pour protéger ceux qu'elle aime ! Elle prouve, d'ailleurs, son amour davantage par ses actes que par ses paroles. Elle a des idéaux et agit en conséquence. Kristoff, quant à lui, est plus prudent et réservé. Sans Elena, sans sa dévotion pour elle et pour sa famille, il n'aurait sans doute pas osé faire le quart du tiers de ce qu'il a fait. J'ai apprécié que, dans cette histoire, la fille soit plus frondeuse que le garçon qui reste plus tempéré (sans être lâche pour autant).
Le récit se déroule donc, d'une part, durant la seconde guerre mondiale et, d'autre part, au moment de la chute du mur de Berlin (vécu en grande partie depuis les USA). Je trouve que l'auteure place bien son contexte tout en restant principalement du point de vue de la « petite histoire ». Elle ne relate pas tous les grands faits historiques en long et en large mais se contente d'évoquer ceux qui touchent de près ses protagonistes. La guerre est vécue à travers le quotidien de cette famille et de leurs proches. J'ai trouvé ce choix judicieux et très introspectif. J'ai, de plus, appris pas mal de choses sur la guerre, la résistance et les timbres ! Jillian Cantor s'est bien renseignée sur son sujet et cela se sent !
En bref, un récit touchant et bouleversant qui ne m'a pas laissée indifférente ! Les personnages sont attachants, le rythme de l'intrigue prenant et le style de l'auteure chapeaute parfaitement le tout ! Si vous aimez les histoires de lettres perdues et de secrets bien gardés sur fond de seconde guerre mondiale et de résistance, lancez-vous, ce roman devrait vous plaire !

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D'un côté nous suivons Kristoff, un jeune orphelin dans l'Autriche de 1938.
Il a trouvé une place d'apprenti chez un maître graveur.
Plus qu'un travail, il y trouve une famille au sein de laquelle le jeune Kristoff est épanoui.

Mais le vent de l'histoire souffle et bientôt balaie tout sur son passage.
La famille du graveur est juive et la nuit de cristal va les obliger à fuir et se cacher.
C'est sans compter sur le caractère impétueux et rebelle de la fille du graveur, Elena Faber, qui entre en résistance malgré la danger.
Elle est accompagnée du jeune Kristoff qui est tombé amoureux d'elle et dont le statut de "non juif" le protège quelque peu.

De l'autre côté, nous suivons Katie en 1989 à Los Angeles.
Katie vit une période difficile. Non seulement elle divorce, mais elle doit également s'occuper de son père malade d'Alzeihmer .
En triant ses affaires, elle découvre que ce passionné de philatélie possède une mystérieuse enveloppe datant de la seconde guerre mondiale.
Intriguée, elle cherche à en apprendre davantage sur le curieux timbre collé sur cette enveloppe et qui ne ressemble à rien de ce que les philatélistes connaissent.
Commence alors une quête à travers plusieurs pays balayés par les vents de l'histoire.
Car en 1989, le mur de Berlin tombe, et avec lui, certains de ses secrets.

Un roman prenant et surprenant que j'ai beaucoup aimé mais pas pour les raisons auxquelles je m'attendais au départ.
Vous me connaissez, j'y suis allée au départ pour son thème autour de la seconde guerre mondiale. Pourtant ce n'est pas prépondérant dans ce roman, du moins je ne l'ai pas ressenti comme tel.

A travers cette histoire sur deux temporalité qui se répondent, l'autrice aborde surtout la question de la mémoire : mémoire d'un peuple, mémoire d'une famille, mémoire personnelle.

Que savons nous de ceux qui nous entourent ?
Que savons-nous réellement de nos parents, de nos grands parents ?
Comment parvenir à transmettre si on ne se parle pas ? Si on attend la fin pour poser les questions ?
Que reste t il de notre histoire quand la mémoire et la vie s'en vont ? Est ce qu'une odeur, un regard peut réveiller une mémoire ?

Autant de questions en filigrane de ce roman. Il les effleure, il ne faut pas y chercher un roman qui creuse réellement le sujet. Mais à travers des personnages attachants et une écriture simple et fluide, l'autrice est parvenue à m'accrocher à son histoire et à m'entraîner dans sa quête de vérité. Un roman que je qualifierais de "divertissant" plus qu'autre chose tout en effleurant des sujets importants.

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Un roman simple, prenant, à l'écriture fluide, dont la construction est très intéressante : le lecteur suit deux histoires, parallèles seulement en apparence et séparées d'un demi-siècle. Un roman émouvant et très tendre qui célèbre toutes les formes de l'amour : relation amoureuse, amour filial (formidable peinture de l'accompagnement d'un proche atteint d'Alzheimer), attachement à la culture juive, amour de la patrie. Un roman à valeur historique qui retrace l'annexion de l'Autriche par l'Allemagne nazie en 1938, l'organisation d'une résistance invisible via le timbre (passionnante à découvrir) et la chute du Mur de Berlin. Un détail m'a particulièrement touchée : Alors qu'il est caché dans une cabane, blessé, traqué, amaigri, Frederick puise sa force dans la lecture. Ce passage très court m'a fait penser à cette phrase de Pennac : "Chaque lecture est un acte de résistance".
La romance est assez prévisible. En revanche, j'ai été très touchée par les confidences de l'auteure sur la genèse de ce récit.
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Une belle histoire entre 2 continents et 2 périodes historiques: la 2ème guerre mondiale et les 2 années autour de la Chute du Mur de Berlin....
On suit la jeunesse d'Elena et Kristoff, 2 jeunes Autrichiens aux proies de la Guerre et des nazis..Le jeune homme est apprenti chez le père d'Elena et en tombe amoureux... Ils vont décider de s'allier pour former 1 résistance contre l'ennemi au péril de leur vie... mais vont être séparés..
Bien des années après, Kate va découvrir 1 timbre et remonter le fil de l'histoire de son père et d'un timbre....
Au final, ces 2 histoires vont se télescoper pour n'en former plus qu"une...
Un vibrant hommage à l'amour au delà des frontières du temps et de l'espace.
On passe d'une époque à une autre, d'une histoire d'amour et d'amitié à une autre dans un rythme viennois de Valse, agréable avec des personnages amicaux, courageux, forts et beaux.
J'ai adoré ce livre, cette histoire. Un vrai coup de coeur poignant, sincère et émouvant. Un roman qui se lit d'une traite tellement on est emporté par cette histoire...
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Quel roman et quelle histoire ! J'ai adoré cette lecture, c'est tellement bien écrit et tellement passionnant. La double temporalité donne un rythme qui ne faiblit pas au fil des pages, et on est totalement embarqué par ce récit. L'histoire d'Elena, de Kristoff mais aussi de Kate n'a pas fini de nous surprendre. Bref, une superbe lecture à découvrir sans hésiter !
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Un livre de plus sur la deuxieme guerre mondiale oui mais quel roman
Dans cette periode beaucoup de gens ont eu suivant l'expression "une vie digne d'un roman" c'est tout à fait le cas de cet histoire
Ce roman est l'histoire d'un timbre qui a beaucoup voyagé et qui est le debut d'une recherche familiale.
Un timbre et une lettre bien sur.
Et oui les lettres ceux sont des trésors des témoignages n oubliez pas le message de l auteur qui est aussi le mien "n oubliez pas d'écrire les sms c'est bien mais !!!

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