Ne me remerciez pas !

Le prix quai des Orfevres est un peu comme le beaujolais nouveau. Ils sortent à la même periode de l'année, on s'en fait toujours une joie, on est impatient et il y a de bonnes cuvées. Hélas cette année quelle déception seul le beaujolais était bon !

Ne me remerciez pas de Martial Caroff est un roman avec un intrigue qui est lourde, le rythme est lent, les personnages sont nombreux et sans saveur.
Le seule mérite de ce roman est de nous ramener au 36 quand il etait au quai des Orfèvres et de nous faire evoluer dans le monde universitaire.

J'ai été déçue par ce livre. Je ne lis pas souvent des prix Quai des orfèvres mais en général je passe un bon moment. Là ce n'était pas le cas. J'ai trouvé l'histoire décousue. Il y avait des éléments comme rapportés pour que l'histoire colle. J'ai eu l'impression que l'auteur avait construit son histoire au fur et à mesure sans scénario réfléchi. Je ne suis pas arrivee à entrer dans l'histoire. Les différents policiers de l'enquête étaient caricaturaux. Aucun personnage vraiment attachant. le méchant trop méchant, l'assassin trop machiavélique pour y croire vraiment. Donc je ne remercie pas en effet l'auteur de ce livre. Mauvais jeu de mots !

Déçue par le cru de cette année .... l'auteur nous promène dans son scénario d'un suspect à l'autre mais je n'ai pas vraiment été emportée, tout cela m'a laissé un goût de trop peu, de manque de chair et d'épaisseur. Je n'ai pas été convaincue par certains personnages.

J'avoue ne pas être fan des romans policiers, mais comme cet ouvrage a reçu le prix Quai des Orfèvres, j'ai voulu le lire. Et je me suis ennuyé : l'enquête est complexe, le rythme est par moments extrêmement lent et le lecteur a quelques difficultés à se sentir concerné par les agissements de personnages inégalement dépeints pour lesquels on n'éprouve guère d'empathie. C'est dommage, seule la description des conflits universitaires de chercheurs à l'égo parfois surdimensionné présente quelque intérêt.

Fidèle lecteur du "Prix du Quai des Orfèvres", le lauréat 2024 m'a déçu sur bien des points. Les aspects scientifiques du sujet étaient de prime abord intéressants et bien maîtrisés. On sent la patte de quelqu'un qui connaît bien ce domaine. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant pour ce qui est de la description du groupe de policiers. Un caricature dont les traits ont été beaucoup trop forcés à mon goût. Et que dire de l'opposition police - gendarmerie ? Ridicule et superflu. Cela n'apporte strictement rien à 'histoire. Au final, une énigme tirée par les cheveux dont la résolution nous laisse sur la faim, tant elle est superficielle et peu consistante. En bref, un polar que l'on survole, sans jamais trouver la clé pour être emporté par l'intrigue et les personnages.

Certes il y a de l humour ,des jeux de mots, mais c'est pas suffisant pour être palpitant et c'est ce que j'attends d'un bon polar .
Je me suis forcée à le lire ,car très curieuse ,mais quelles furent dures ces lignes à parcourir ....J'ai quand même appris 2 ou 3 choses sur les diatomées.

C'est plat. L'intrigue est trop classique, trop convenue. Les personnages mal dessinés, sans épaisseur. Sans parler du style de l'auteur, avec des enfilades de clichés.
Je me suis fait avoir par le bandeau "Prix du quai des orfèvres 2024". À ranger et a ne plus l'ouvrir.

Grand fan du prix du quai des orfevres depuis des années je dois dire que là.....bah déçu, très déçu.
Trop de personnages, sans profondeur, une intrigue qui se déroule de la même vitesse du début à la fin, mêmes les rebondissements ne vous font pas rebondir.
Le point positif, ce sont certains moments d'écriture qui sortent du lot, mais cela ne suffit pas à sauver le livre..

J'ai trouvé l'intrigue plutôt bonne mais j'ai vraiment eu du mal à me mettre dans l'histoire. Vers la page 80 j'ai trouvé le rythme plus agréable et plus soutenu mais c'est vite retombé pour moi.
Peut être est ce tout simplement une plume qui ne me correspond pas