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Un livre que l'on m'a prêté. Très rapidement j'ai eu envie de cocher des passages. Et plus j'avançais, plus il y en avait. Si bien qu'à un moment, je n'ai pas pu résister, j'ai coché, encore et encore. Et du coup, j'ai acheté le livre pour en rendre un intact à la personne qui me l'avait prêté.
Bravo monsieur Caron !
Une mine d'informations, de références, de Montesquieu à Marx, jusqu'à des économistes, des philosophes contemporains.
Aymeric Caron aborde tous les sujets politiques, sociaux et économiques, d'une manière si limpide que, malgré des sujets aussi complexes, on comprend tout.
C'est bourré d'évidences, de solutions simples et justes. Utopiques, pas tant que ça, mais difficilement réalisables dans le sens où les puissances financières ne sont pas prêtes à lâcher le morceau, si lucratif.
Pratiquement tous les sujets d'actualité sont abordés et traités d'une manière très objective et pertinente.
512 pages, sans que ce soit lassant ou hermétique.
L'auteur a mis en mots pratiquement tous mes ressentis et mes impressions sur la société actuelle.
Mais le plus, c'est qu'il propose des solutions qui, dans l'absolu, sont réalisables.
Je rêve d'un monde comme il le propose.
Le plus rageant, c'est que c'est possible, c'est faisable.
C'est un ouvrage extrêmement complet qui représente un travail colossal.
CA… RON ….PRE…SI…DENT…..
Et la France, et le monde, seraient tellement plus justes
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Attention, ce billet pourrait sembler violent et partisan à certains d'entre nous. Si violence il y a, elle n'est que dans la remise en cause de notre mode de vie, de nos formatages et de nos lâchetés. Si parti pris il y a, il est assumé.

Utopia XXI, d'Aymeric Caron. Pas facile de commencer un billet car l'utopie prête à sourire dans le meilleur des cas, voir à la moquerie allant jusqu'au dénigrement. Quand à ça on ajoute Aymeric Caron que la plupart d'entre nous définissent comme un bobo arrogant, méprisant et donneur de leçons, ça n'aide pas.
J'hésite à adopter la méthode de Notre Dame de Babélio qui avait fait de son billet sur « Antispécisme » un réquisitoire contre l'homme Caron sans avoir lu le livre, en me faisant « avocat » d'un homme de conviction dont j'ai lu le bouquin. J'avoue avoir été très tenté de répondre ici puisqu'on m'a interdit l'accès là bas (il y a longtemps) mais le si agressif Caron a par sa pensée imprimée sur papier, réussit à me faire adopter un angle plus modéré et de laisser de coté l'ironie qui me titille.

Avec Utopia XXI, Aymeric Caron continue de prouver qu'il est un homme de convictions. C'est probablement ce qui nuit à son image. C'est vrai qu'aujourd'hui mettre en accord ses actes et sa pensée devient un bien de plus en plus rare (perso, j'ai souvent du mal dans certains domaines) surtout quand il s'agit de la vie de la cité pour ne pas dire de la planète.
Utopia XXI à première vue c'est de l'enfonçage de portes ouvertes, des évidences. Mais…

— Quand il pleut, ça mouille.
— Oui merci t'es gentil mais te vexe pas, c'est pas un scoop. Et puis fais pas chier, je suis trempé.
— ???
— Ben il pleut...
— Et t'avais oublié que la pluie ça mouille.
— Euh… ta gueule.

Voilà, après quelques pages, bien trempé, on s'enrhume et on se dit que oui tout est évident, que tout n'est que bon sens et pourtant nos sociétés sont en rade en panne des sens.

Le livre est construit en trois parties. Songe, Mensonges, Rêves.
On commence le Songe par une interview imaginaire d'un habitant (descendant de Thomas More, auteur d'Utopia il y a cinq siècles déjà…) de l'île Utopie qui évoque la vie chez lui et met le doigt sur les aberrations de notre système. Caron se met dans la position de l'intervieweur contradicteur en opposant à l'utopiste les objections les plus courantes faites en général par la bien pensance ambiante dans nos pays soit disant développés…
Quelques claques plus loin (j'avais prévenu que ça allait être violent) avec des sujets comme l'argent, le logement, l'écologie, le droit des animaux, le travail, la justice, la liberté, le temps libre, le communisme, le religion et quelques autres réjouissances, les deux hommes se séparent d'accord sur la conclusion à tirer de ce choc des consciences et inconsciences de l'homme. C'est pas gagné mais ça vaut le coup d'essayer d'aller à contre courant.

Cette petite introduction de 120 pages nous amène naturellement au constat à charge (comment pourrait-il en être autrement) sur notre société, sur notre quotidien, notre soumission, notre passivité, en un mot sur notre responsabilité.
Les Mensonges que sont les concepts de la démocratie, du travail, de l'argent, du terrorisme, de la nation, de la liberté, de l'égalité, de la fraternité pour ne citer que les grandes lignes, sont disséqués un à un par l'auteur avec nombre d'exemples (avec références) venant appuyer une plaidoirie sans faille contre notre système sclérosé par l'argent, le pouvoir, la bêtise et la peur.
A la fin de chaque sujet, des propositions « utopiques » bien argumentées qui feraient grincer des dents bon nombre de « non futurs lecteurs » s'ils se plongeaient dans ce livre. Des propositions qui tiennent la route bien mieux que ce qu'on nous explique à longueurs d'éditoriaux, de discours politiques, de journaux télévisés et autres instruments de lobotomisation.
Quelques exemples en vrac :
Un permis de voter après petit questionnaire au sujet du vote parce qu'il est vrai qu'on a tous un avis sur tout mais qu'on ne maitrise pas tous les sujets et que de s'en remettre à une traduction faite par un homme politique ce n'est même plus de l'irresponsabilité, ça relève de la connerie chronique aigue.
Plus aucun élu ne sera professionnel de la politique, semaine de quinze heures, revenu universel, salaire maximal, frontières abolies tout comme le scrutin majoritaire à deux tours, … oui j'entends quelques rires, quelques sarcasmes. Dit comme ça, je comprends mais ayez un peu de curiosité et lisez UtopiaXXI, seule une mauvaise foi de compétition peut trouver des objections valables aux arguments de Caron. On peut ne pas adhérer à tout (moi le premier, sur le mariage ou la justice par exemple) mais au moins y réfléchir même si on a pris l'habitude qu'on réfléchisse pour nous depuis toujours.

La dernière partie, Rêve, est une petite conclusion où Aymeric Caron explique un peu le cheminement de sa pensée et de son militantisme à travers son parcours. Je précise que ça ne fait qu'à peine vingt pages, ça évitera peut être à certains de parler de son égo…

Ce livre est à la fois déprimant et rassurant. Déprimant parce que malgré les évidences nous continuons à baisser la tête en allant droit dans le mur et rassurant parce que certains continuent malgré les embûches à croire qu'on peut changer les choses et à apporter sa contribution à un monde juste loin des considérations économicomerdicopolluantes.

J'ai fait long alors je vais terminer comme se termine le livre.
« Imaginons. Proposons. Risquons. Tant pis s'il nous faut pour cela sacrifier un morceau de carrière et quelques relations sociales. A quoi servent nos pas sur Terre, si nous passons pour nous taire ?
Réveillez vous, rêvez.
Début »
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Cet essai est une mine dans les deux sens du terme. D'une part il renferme des idées et des concepts explosifs et inflammables, d'autre part il est un puits d'information sans fond et une source de discussions intarissable. le lire c'est l'assurance de faire émerger des débats passionnants avec son entourage au cours des six prochains mois ! Voici un essai qui va vous secouer, vous agacer parfois, mais qui va surtout élargir les champs du possible.

Toutefois, ce qui m'étonne, c'est qu'on n'en recense que cinq critiques (toutes positives) sur Babelio. Franchement, ce livre mérite davantage d'intérêt et d'égards. Pourquoi me direz-vous ? Eh bien simplement parce que chacun peut y trouver des réponses originales aux questions qu'il se pose un jour ou l'autre : vivons-nous bien dans une démocratie ? Travailler dur est-ce la garantie d'une vie réussie et pleine de satisfactions ? La manière dont nous gérons notre temps permet-elle un vrai épanouissement ? Etc.

Incontestablement, le questionnement le plus éclairant de cet ouvrage est : existe-t-il une alternative positive et réaliste à notre monde actuel ? Et là, à mon grand soulagement, la réponse est OUI !

A ce stade, je vois venir l'objection de certains fatalistes qui se prennent pour des réalistes : « Ça y est, encore un essai naïf qui promet le paradis sur terre au gogo de service... »

Détrompez-vous, vous n'y êtes pas du tout ! En s'appuyant sur un important travail de recherche documentaire, Aymeric Caron commence par mettre le doigt sur toutes les « petites choses » qui devraient nous surprendre par leur iniquité, mais auxquelles on a tous appris à s'habituer faute de mieux. Ces bénignes avaries de nos démocraties parlementaires, lorsqu'on les place bout à bout, débouchent en réalité sur d'énormes problèmes sociaux, une perte d'espoir profonde par rapport au sens de la vie et un sabotage programmé de notre environnement naturel, humain et finalement économique.

L'essai débute par un état des lieux cinglant de la société dans laquelle nous vivons : « En France, la liberté est toute relative, l'égalité n'existe pas, et la fraternité deviendra bientôt un gros mot, tant elle est attaquée et discréditée par nos représentants politiques. On pourrait en dire autant de la justice, de l'empathie, de la compassion, de la générosité, de la non-violence (...)
Le tour de force des dictateurs aux petits pieds qui nous dirigent est d'avoir instauré un régime à leur service sans que nous, citoyens anonymes et tranquilles, nous nous soyons aperçus du coup d'État : nous avons doucement basculé vers un totalitarisme soft, bon teint, une tyrannie 2.0 où le costume-cravate remplace l'uniforme militaire. L'oligarchie au pouvoir a réussi avec brio son hold-up sur nos vies, en imposant son modèle politique et économique unique et en persuadant une grande partie d'entre nous qu'aucun autre n'est possible. »

Une fois ce décor peu reluisant (mais assez réaliste) campé, l'essayiste entame un dialogue à bâtons rompus avec un habitant actuel d'Utopia, une île isolée au milieu de l'Atlantique dont l'existence avait été « révélée » par Thomas More au XVIe siècle. Installés dans une confortable brasserie parisienne, les deux protagonistes vont échanger durant des heures sur des sujets aussi variés que l'argent et la propriété privée, le travail et le salariat, le temps libre, la justice, la démographie et l'écologie. A chaque fois, il s'agit de comparer la vie dans les pays dits « développés » avec celle sur Utopia.

Et, rapidement, on s'aperçoit que les différences sont importantes et rarement en notre faveur ! Alors, fort de ces pistes de réflexion, l'auteur nous présente une série de situations emblématiques du monde dans lequel nous vivons pour les questionner sans craindre de se mettre certains lecteurs à dos. En voici un exemple. « Le peuple des classes modestes et moyennes constate et subit l'évident échec des politiques néolibérales à l'oeuvre depuis trente ans. Il voit le droit du travail qui rétrécit, les libertés individuelles qui sont grignotées, les difficultés grandissantes pour se loger, la pollution qui empoisonne, les salaires qui sont bloqués et l'emploi qui ne revient pas. Et en parallèle, il observe, médusé, les cadeaux consentis à ceux qui sont déjà plus riches que les autres. »

Fort heureusement, Caron ne s'arrête pas à ce type de discours qu'on pourrait qualifier de démagogique. A travers la bouche de son interlocuteur utopiste, il propose aussi des solutions parfois très innovantes. Un exemple parmi les dizaines dont ce livre regorge : la gestion du temps libre qui serait dégagé par une diminution conséquente de l'horaire de travail.

« Nous nous occuperons de nous, de nos proches et des inconnus qui ont besoin d'aide. Nous essaierons d'être heureux en choisissant enfin les activités dont nous souhaitons remplir notre existence. En multipliant les occasions de sociabilité, nous briserons la solitude qui s'abat sur des millions de personnes isolées. Nous ferons du sport ce qui nous permettra de réduire les coûts de la santé. Nous lirons ces livres laissés fermés sur la table de nuit. Nous apprendrons. Sans cesse. Et surtout, nous nous informerons afin de faire de la politique en lieu et place des professionnels qui nous gouvernent depuis des décennies en toute incompétence.
Ne voyez-vous pas qu'un emploi à plein temps nous empêche d'être de véritables citoyens ? Épuisés à la tâche, nous préférons déléguer la prise de décision à d'autres personnes qui, elles, bizarrement, ne travaillent pas. Certes, elles nous dirigent, mais elles ne produisent rien... »

Le grand mérite de cet essai c'est ainsi de mettre en relief les dysfonctionnements de la société dans laquelle nous vivons, puis de proposer des solutions parfois radicales pour en venir à bout. On peut y adhérer ou pas, là n'est pas l'essentiel. Par contre, ce qui est sûr c'est que cet ouvrage est « bon pour la tête », car il stimule notre capacité de réflexion et favorise le débat en couple, en famille ou en société de thèmes qui nous touchent tous, quel que soit notre obédience politique ou notre niveau social.

Pour conclure, je vais citer encore une fois Aymeric Caron : « L'histoire nous enseigne que les rêveurs sont ceux qui ont permis à l'espèce humaine de tendre vers le meilleur d'elle-même, en gommant certaines de ses laideurs. Et, contrairement à l'idée reçue, celui que l'on désigne comme un utopiste appréhende très souvent la société avec plus de clairvoyance que ses contemporains. Il identifie avant les autres un dysfonctionnement profond et s'évertue ensuite à le faire comprendre à la majorité. L'utopiste s'autorise à voir le monde tel qu'il est vraiment, afin de pouvoir le changer (...) A quoi servent nos pas sur Terre, si nous passons pour nous taire ? Réveillez-vous, rêvez. »
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Un livre providentiel, en avance sur son temps. Très en avance sur ses contemporains. Un livre courageux, solide et ambitieux, qui se penche sur notre humanité et respire la sincérité.
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Alors, là, c'est du très lourd, il n'est que de lire les critiques ou regarder les émission de télé sur le sujet. Ce livre, qui n'en est pas un, dixit Caron, déchaine les passions et c'est bien compréhensif tant il provoque sur tous les sujets. Mais c'est justement ce que j'ai adoré, c'est que rien n'est tabou, tout est analysé et amène à la réflexion, même si on n'adhère évidemment pas à toutes les propositions
, ni même à tous les constats. le livre commence par une interview, fausse, on le découvre au fur et à mesure, celle d'un habitant d'UTOPIA interrogé par l'auteur. Les réponses et la description de la vie en Utopie font rêver parce que tout est fait pour le bonheur de ses habitants. Et ensuite tout y passe : la liberté, le travail, la justice, la religion, le terrorisme, l'argent, les animaux, etc., etc... Et les "Propositions utopiques" fusent : le permis de voter, le choix de l'utilisation de ses impôts, la semaine de 15 heures, la richesse plafonnée, le quotient de bonheur à la place du PIB, et tant d'autres ! C'est un livre qui fourmille d'idée, utopistes pour la plupart, mais parfois pas tant que ça. Quel déferlement d'incitations à réfléchir sur ce qui nous parait, dans bien des cas, la normalité. J'ai adoré.
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Une mine d'informations. Un texte à réfléchir et à penser. Une critique acerbe comme notre société la mérite.
Dommage que Caron en profite pour vendre sa soupe...
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Utopia XXI patientait depuis trop longtemps dans ma bibliothèque. Je crois qu'il m'intimidait !
Je profitais alors du confinement, de ce que notre planète méditait, pour me jeter à l'eau, faisant fi de me préjugés sur Aymeric Caron.

J'ai trouvé le livre fort bien construit, même s'il est de plus en plus sombre.
L'auteur y démontre pourquoi nous ne pouvons plus nous contenter de ce mode de vie intenable et refonde des perspectives pour l'avenir. Il nous dévoile ses propositions (son programme ?) dans de nombreux domaines : exercice de la démocratie, économie, argent, travail et bien sûr condition animale.
A vous de juger de leur pertinence. Je ne souhaite ni en dévoiler plus, ni donner un avis dont -légitimement- tout le monde se moquerait. Mon avis se résumera à cinq étoiles.

L'ensemble est riche en enseignements et à la portée de tout le monde. On est loin des intellectuels qui s'écoutent parler.

A propos, les philosophes bonimenteurs comme les politiciens véreux de tous bords, les économistes et analystes de comptoir, les menteurs et incompétents, aucun parasite n'est oublié et est au contraire habillé pour l'hiver.
Caron dynamite, disperse, ventile, n'hésitant pas parfois à cracher dans la soupe (médiatique).

Un conseil, oubliez le procureur Caron, ex-chroniqueur télévisuel détestable sur le service public. Et lisez-moi ce savoureux « petit » traité de résistance !
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Utopia XXI est le fruit d'un constat accablant, celui d'un auteur informé qui comprend, sur la base de recherches étayées, que ce monde (footu?), sorte de miroir aux alouettes, ne tourne pas rond, au point d'en donner le tournis jusqu'à la nausée!
Les chiffres qu'il mentionne, tout au long de l'ouvrage, corroborent sa pensée; ces quantités colossales de laissés pour compte, de sacrifiés (humains et non-humains), ce terreau fertile dont se repaissent quelques nantis dénués de moralité, a pour toile de fond une économie déshumanisée à la solde de leurs appétits voraces!
L'auteur propose alors, avec force et conviction, un véritable changement de cap, pour quiconque aspirerait encore à s'émanciper.
Il nous invite à repousser l'horizon de nos certitudes (servitudes?), vers ce havre aux contours de moins en moins flous (fous?) à mesure que nous nous rapprochons de cette terre, qu'un certain Thomas More a jadis déjà nommée Utopia!
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Très déçu par ce livre au nom racoleur.
En effet, seul le premier quart parle d'utopie. Ensuite, le livre se transforme en journal intime où l'auteur crache sa fiente sur tout un tas de sujets (et ça empire au fil des pages) : des politiciens français aux amendes pour excès de vitesse de quelques km/h (pitoyable).
L'utopie doit être une lueur d'espoir à suivre mais l'auteur m'a plus plombé le moral qu'autre chose.

Loin d'être universel, il est très franco-français et intéressera peu la francophonie hors france.

Point positif : il y a quand même de bonnes idées concernant l'utopie mais... il y a surtout tout le reste
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un auteur assumant sa position , mais qui est bien seul.

Meme si je ne verrai pas s'accomplir un debut de changement en ce sens, j'espere que l'humain y viendra petit à petit , vers cette UTOPIE loin du Business.
Il est temps que l'homme se reveille sur ses choix de vie
et du respect de la nature ..

Un PDG qui gagne 50 à 500 fois le salaire d'une infirmiere
et toujours pas de Salaire Maximum à opposer au SMIC !
Ce n'est pas de la politique .. c'est de l'Utopie
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