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3,71

sur 264 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. Je pense que je n'étais pas le public adéquat pour lire ce mélange de steampunk, bit lit, urban fantasy mais surtout roman pré ado.
L'héroïne type James Bond girl en culotte courte, ce n'est vraiment pas ma tasse de thé.
Je n'ai pas accroché à l'univers de Gail Garriger. Je n'ai pas accroché à l'intrigue qui j'ai trouvé trop enfantine. Pourtant sur le papier cela partait bien. Une école d'espionnage pour filles de bonnes familles.
Pour moi, cette saga vise un public plus jeune. Pourtant la couverture annonçait pour un public Young adult voire adulte.
J'ai une héroïne Sophronia, 12 ans, va nous faire découvrir ses péripéties. Sophronia une sorte d'Alice aux pays des merveilles un peu casse-cou.
Je refuse de dire que c'était mauvais vu ma sale note. Je dit juste que je n'aurais pas du ouvrir ce livre car je ne suis pas le bon public. Je n'étais pas à ma place en tant que lectrice.
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Sophronia pose beaucoup de problèmes à sa mère. Au lieu de se comporter en jeune fille bien élevée, celle-ci préfère démonter des mécaniques et escalader tout ce qu’elle peut. Désespérée, elle confie Sophronia au Pensionnat de Melle Géraldine avec l’espoir de la voir enfin devenir une jeune fille convenable et présentable en société. Malheureusement, ce pensionnat est tout sauf une école des bonnes manières. Sous l’apparence d’un établissement de perfectionnement des jeunes filles, se cache en réalité une école d’espionnage au plus grand plaisir de Sophronia.
D’emblée, elle se trouve embarquée à la poursuite d’un mystérieux prototype convoité par des brigands de haut vol. Ses penchants pour l’aventure vont lui servir tout au long de sa scolarité hors normes.

Je n’irai pas par quatre chemins, je n’ai pas du tout aimé. Que ce soit sur le fond ou la forme, ce roman n’a aucun intérêt. L’intrigue est quasi-inexistante. Elle tourne pour l’essentiel autour d’un mystérieux prototype sans plus de détails que tout le monde cherche à obtenir. Tout le reste de l’histoire est concentrée sur Sophronia. Son personnage n’est vraiment pas crédible. Elle est toujours la meilleure et la plus douée alors qu’elle découvre à peine l’univers de l’école. Bien entendue, c’est elle qui résout le mystère du prototype, à peine assistée par ses amis. De plus, son évolution s’assimile plus à une dévolution car elle devient de plus en plus superficielle. De coriace, elle passe à Barbie. C’est vraiment décevant.

Le reste des personnages est au même niveau. Ils sont tous des caricatures d’eux-mêmes. On retrouve la peste, la cruche, la timide etc. Les personnages féminins, majoritaires, ne sont que des godiches frivoles loin de l’image que je m’’étais faite en lisant le résumé du roman. J’avais imaginé un univers plus trépidant, avec des femmes fortes et sûres d’elles et non pas des cruches qui ne parlent que de chiffons. On se demande même ce qu’elles font dans une école d’espionnage ! J’ai eu le sentiment qu’au lieu d’en faire un roman féministe, l’auteur est tombée complètement à côté et a produit l’effet inverse

Du côté du style, ce n’est guère reluisant. L’humour est lourd, pieds dans le plat, ça en devient même ridicule par moments. J’ai eu l’impression de lire un roman des aventures de Barbie tellement que c’était plat. L’univers steampunk et la présence de loups-garous et de vampires - ou plutôt au singulier puisqu’il n’y a en réalité qu’un de chaque - n’apporte strictement rien.
Cette lecture est destinée pour de jeunes adolescents, 12-13 ans maximum. C’est clair que je ne continuerai pas cette série.
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Dans un univers steampunk où être élégante est la seule raison de vivre de jeunes filles, au point où l'esthétique en devient synthétique...Où les bals sont le point culminant d'une vie bien réussi, lorsque devenir une parfaite lady à 14 ans est un défie permanent.
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Dans une école où l'on apprend non seulement les bonnes manières pour le perfectionnement des jeunes dames de qualité, mais aussi comment espionner dont les techniques reste frivole et fantasque, et bien d'autres matières d'études tout comme l'on étudie l'acte de donner la mort, tout en restant civilisé et dont l'apprentissage est très évasif.
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Des créatures surnaturel en guise de professeurs qui en ont juste l'apparence, sans jamais comprendre leur nature, ni leurs mécanismes et dont on ne découvre en rien de leurs personnalités.
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Une intrigue qui n'a plus de détails et sans étonnement, avec une enquête qui se déroule sans surprise avec des passages d'humour dont seul l'auteur à du trouver le sens du rire. Outch !
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