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3,71

sur 264 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Toujours dans le soucis d'épuiser un peu ma PAL, je suis tombée sur cet ouvrage qui m'avait été offert par mon libraire. Je le remercie et lui en veut un peu car m'ayant offert un premier tome, auquel j'ai beaucoup accroché, je serais obligée de retourner chez lui pour acquérir la suite. Ah, il sait s'y prendre, la mouise...mais en même temps, ce premier tome se terminant sans grand suspense et avec une fin acceptable, je me dis que les prochains tomes pourront attendre un peu...reste à savoir si je pourrai tenir jusque là !

Sophrina (je vous épargnerai tous les noms de famille car sinon, vous risquez de très vite vous décourager à la lecture de cette critique) est une jeune fille de quatorze ans assez rebelle et surtout très curieuse,, un peu trop selon les goûts de sa mère et qui a le don de se retrouver dans les situations les plus grotesques pour une jeune fille de bonne famille. Aussi, sur ordre de sa génitrice, Sophrina intègre-t-elle le pensionnat de Mlle Géraldine, soit-disant réservée aux jeunes filles de bonnes familles et dans lequel elle est sensée apprendre à devenir une véritable lady. Cependant, en plus des apparences extravagantes de ce dit pensionnat (imaginez une sorte de château volant avec toutes sortes de pièces et au sous-sol, des machines et des gens dits de classe inférieure qui y travaillent appelés soutiers), il est loin d'être ce qu'il est réellement. Aussi, si Sophrina a été recrutée pour l'intégrer, c'est justement en raison de son espièglerie qui va pour une fois jouer en sa faveur car dans cette endroit, ce n'est pas de simples jeunes femmes qui y sont formées mais de véritables...ah, je ne ne peux pas vous révéler ce que les enseignants apprennent à leurs élèves car cela gâcherait complètement l'intrigue et ce serait bien dommage. Sachez cependant (cela, je peux vous le révéler) que n'y enseignent pas seulement des dames mais aussi notamment un loup-garou et un vampire. Dans quel but ? Je suis désolée de vous laisser sur votre faim mais il est de mon devoir de ne pas vous le révéler afin de vous encourager à découvrir cet ouvrage par vous-mêmes !

Un ouvrage extrêmement bien écrit, rempli d'intrigues et de duperie avec des personnages extrêmement attachants. Seule critique : les noms des personnages à rallonge et qui plus est, un peu difficiles à mémoriser mais une fois que vous avez compris qui est qui, la suite coule de source !
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Je ne sais pas pour quelles raisons j'ai attendu aussi longtemps pour lire ce roman et pour enfin découvrir le style très agréable de Gail Carriger mais grâce à la critique récente de Yunali, il est remonté du fond de ma PAL. J'ai tout simplement adoré ce premier tome et il me tarde de pouvoir en lire la suite.

Dès les premières pages, j'ai apprécié le personnage créé ; Sophronia, une jeune fille un peu rebelle en ces débuts du 19ème siècle en Angleterre où le corset et les bonnes manières sont de rigueur pour une jeune femme. Elle est, bien entendu, bien loin de ça, préférant monter aux arbres ou dans les montes-plats pour écouter aux portes, ou encore démonter tout ce qui attise sa curiosité. Sa mère décide donc de l'envoyer dans un pensionnat pour jeunes filles pour y parfaire son éducation. Sophronia va vite découvrir que ce pensionnat est bien différent de celui auquel elle s'attendait. Elle va y apprendre les bonnes manières dues à sa condition sociale et bien d'autres choses encore, plus liées à des techniques d'espionnage qu'à des histoires de mises en plis, quoique... Malgré l'intéressante personnalité de Sophronia et la particularité de ce pensionnat, l'auteur nous tient en haleine par une petite enquête policière où Sophronia essaye de démêler le vrai du faux tout en suivant les cours délivrés par des professeurs atypiques et de mettre un peu plus de piquant dans leur temps libre en se faisant de nouveaux amis en plus de ses collègues de chambrée.

Malgré quelques coquilles laissées par Orbit (dont une erreur entre 2 verbes, « chercher » pour « trouver »), l'écriture et le style de l'auteur sont très agréables. Elle a créé un personnage comme je les aime, qui a du peps à revendre, curieuse et inventive, et surtout qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et n'ayant pas la langue dans sa poche, malgré les bonnes manières qu'elle est sensée apprendre. le pensionnat inventé est très intéressant et semble receler encore bien des surprises. L'auteur nous distille donc son monde à petites doses au gré des vagabondages et découvertes de Sophronia. Un monde que j'ai hâte de découvrir un peu plus surtout en continuant à suivre les aventures et enquêtes de Sophronia.

Comme vous l'aurez compris, le coup de coeur a été au rendez-vous pour ce roman grâce à Sophronia et à son caractère hors norme au sein de la bonne bourgeoisie anglaise du début du 19ème siècle. Elle me donne ainsi envie de rencontrer sous peu sa grande soeur, Alexia Tarabotti. Si vous aimez le mélange policier et steampunk sur fond de bonnes manières en Angleterre en compagnie d'une jeune fille rebelle et effrontée, je vous conseille donc de découvrir ce roman à l'écriture si agréable et remplie de si bonnes surprises. Pour ma part, dès que je finis quelques séries en cours, j'enchaîne avec celle-ci et sa grande soeur.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Sophronia Angelina Temminick a seulement 14 ans. Ces nombreux frères et soeurs font d'elle la plus jeune fille de la famille, mais pas de la fratrie. Alors elle tente de s'illustrer, tout en évitant les diversions de ses frères. Lors de ces recherches, elle doit faire extrêmement attention aux mécanismes – aux robots aux services de ces parents pour les aider dans les diverses tâches ingrates. Sinon ils iront cafter auprès de sa mère et elle est sûre d'être punie.

Une étrangère visite la famille Temminick. L'entretien entre la mère et l'étrangère est d'ordre privé. Sophronia n'a pas d'autres choix que de passer par le monte-charge afin de suivre la conversation. Lorsqu'elle essaye de faire travailler le mécanisme de l'intérieur, le monte-charge descend précipitamment et elle se retrouve deux étages plus bas, la tête dans ses jupes et le dessert renversé sur cette grande dame. Négocier avec sa mère afin de ne pas aller dans ce pensionnat ne va pas être facile après cette échauffourée.

Gail Carriger a obtenu ses diplômes en archéologie et en anthropologie, respectivement à Nottingham et à Santa Cruz. Preuve en est que l'auteure maitrise parfaitement les voyages de ces personnages. La connaissance des lieux lui donne un avantage incontestable pour générer auprès de son lecteur les sensations et les émotions qu'elle souhaite. Sa première série le protectorat de l'ombrelle est également un best-seller.
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Mignardise surprenante à prendre à l'heure du thé, le pensionnat de Mell Géraldine est un cheese-cake aux saveurs étonnantes et hautement divertissantes. Transformant les napperons en armes du crime et les éventails en dispositifs à la James Bond, Gail Carriger risque bien de vous prendre dans son réticule !

Dans un écrin drôle et faussement maniéré Gail Carriger livre un récit intéressant et distrayant, avec un message moderne en son sein pour les femmes et jeunes-filles ; quelle que soit votre naturel vous pouvez en faire une force, girl power assumé et proposé avec suffisamment d'humour pour que cela en reste divertissant.
Lien : http://unlivresurmeslevres.b..
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Le livre se dévore quasi d'une traite et les chapitres s'enchaînent. Lecture jouissive donc, du pur Carriger. Peut-être un peu moins surprenant que le protectorat, quoique ... Pour ma part, je me suis vraiment régalée de bout en bout et il me tarde déjà d'en découvrir la suite. Sophronia est une héroïne dans la droite lignée d'Alexia et si elle arrive à maîtriser ses battements de cils et les papillotes pour boucler ses cheveux raides, nul doute qu'elle fera une grande espionne !

(lire la chronique complète sur le blog)
Lien : http://bookenstock.blogspot...
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[Extrait]
Après la fantastique série livresque « le protectorat de l'ombrelle », Gail Carriger nous fait découvrir son préquel steampunk qui mêle tout autant la féminité à l'art des complots : « le pensionnat de Mlle Géraldine » est une école pour jeunes filles… une école qui les forme à devenir des espionnes de haut vol !
Lien : http://www.apologie-d-une-sh..
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Tout d'abord qu'est ce que j'aime cette autrice, c'est mon septième livre que je lis de Gail Carriger.
Dans ce roman nous suivons Sophronia, quatorze ans qui est un vrai garçon manqué au grand désespoir de sa mère. Un jour on propose a sa mère de l'envoyer dans le pensionnat de Mlle Geraldine, pour en faire une vrai lady. Mais il s'avère que c'est un pensionnat pour apprendre a être une espionne dans la bonne société du XIXe siècle en Angleterre. Sophronia devra déjoué un complot. tout en devant une vrai lady.
J'ai adoré ma lecture, il n'y a pas de temps mort, nous apprenons au rythme de Sophronia.
Tellement hâte de continuer la saga. (suite au prochain épisode)
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Je connaissais déjà l'auteure avec sa série le protectorat de l'ombrelle qui a été un vrai coup de coeur. Ce premier tome de cette nouvelle série ne fait pas exception à la règle. Je l'ai adoré, dévoré. Un vrai moment de dépaysement.

Tout d'abord ce que j'ai aimé et ce que j'aime ici est l'univers développé. Un dix-neuvième siècle avec quelques traces ici et là de steampunk. J'ai adoré découvrir de nouvelles inventions, retrouver certains personnages dans leurs jeunesses avant leur rencontre avec Alexia.

Au départ , je me suis demandé où allait bien me mener cette histoire, comment l'auteure allait mettre en branle tout ce petit monde. J'avoue qu'au début j'ai eu peur de ne pas aimé car cela m'est déjà arrivé. Mais dès les premières pages j'ai été rassuré.

Quant aux personnages principaux de cette histoires, que vous dire ils sont géniaux. Ce n'est pas un argument me direz-vous , mais c'est la vérité. J'aime l'humour sarcastique de Sophronia, la passion pour la mode de Dimity et son penchant à s'évanouir pour la moindre goutte de sang. Des situations cocasses et captivantes. Tout ça fait de cette histoire un cocktail détonant et passionnant.

Maintenant , je n'ai qu'une hâte me plonger dans le tome deux.
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J'ai découvert Gail Carriger avec sa saga le Protectorat de l'Ombrelle et dès lors, j'ai été conquise par son univers. J'avais eu en parallèle connaissance d'une autre de ses séries, à savoir le Pensionnat de Mlle Géraldine. C'est donc avec enthousiasme que je me suis lancée dans la lecture du premier tome. Ce dernier n'a pas été un coup de coeur comme le fût celui du Protectorat de l'Ombrelle mais j'ai tout de même passé un très bon moment de lecture !

Qu'en est-il donc de l'histoire?…Dans l'Angleterre Victorienne où les bonnes manières et les moeurs sociales sont de rigueur, Sophronia, une jeune fille de 14 ans, est loin d'être un modèle en la matière. Sa mère, exaspérée de la voir adopter un comportement indigne d'une lady, va l'envoyer dans un pensionnat pour parfaire son éducation. Toutefois, Sophronia va très vite découvrir que cet établissement n'a rien d'un pensionnat ordinaire. Ainsi, les cours de maintien et de savoir vivre côtoient ceux, moins conventionnels, d'espionnage. Ce séjour en pensionnat risque d'être plus intéressant que prévu pour cette chère Sophronia !

Gail Carriger nous entraîne dans un univers similaire à celui du Protectorat, où se mêlent steampunk et bit-lit. L'action semble même se dérouler ultérieurement aux événements qui ont marqués cette saga. J'ai d'ailleurs été agréablement surprise de retrouver certains personnages dans leur jeunesse. Ceci m'a permis d'en apprendre un peu plus sur eux et ainsi mieux cerner leur personnalité. Pour ce qui est de l'intrigue, elle est aussi prenante que décalée. L'univers créé par l'auteur est riche et fascinant. On s'émerveille devant le contraste qui résulte entre une époque qui se veut traditionnelle et conservatrice et la complexité, voire l'excentricité des technologies et autres inventions décrites. Gail Carriger ne manque pas d'imagination lorsqu'il s'agit de nous en mettre plein les yeux entre un pensionnat volant, des domestiques mécaniques et autres bidules.

Outre le fait de suivre Sophronia et ses amies dans leur apprentissage de l'étiquette et des diverses pratiques d'espionnage, le roman offre en parallèle une enquête qui apporte un surplus de mystère et de suspense. On n'a pas le temps de s'ennuyer même si quelques éléments sont prévisibles. Je regrette juste que le dénouement ait été un peu expéditif à mon gout et n'apporte pas les réponses que j'attendais. Après, il ne s'agit que du premier tome et j'imagine que la suite apportera plus d'informations. La plume de l'auteur est toujours aussi agréable à lire. Son écriture est fluide, maîtrisée et entraînante. Quelques touches d'humour viennent ponctuer le récit et rendent la lecture d'autant plus légère.

On retrouve dans ce roman une palette de personnages aux personnalités multiples, parfois fantasques, parfois plus discrets mais toujours bien construits et développés. L'une des particularités de ces personnages reste, selon moi, leurs noms à la fois atypiques et imprononçables. A croire que l'auteur s'est amusée à choisir des noms à la hauteur de son inventivité. Ainsi, il m'arrive encore de lire Saphronia au lieu de Sophronia et je ne vous parle même pas de son nom de famille que j'ai renoncé à épeler ! Parenthèse à part, j'ai bien aimé le personnage de Sophronia qui est une jeune fille vive d'esprit, curieuse et légèrement casse-cou et intrépide. Toutefois, il lui manque ce côté piquant que j'avais adoré chez Alexia dans le Protectorat de l'Ombrelle. Pour ce qui est des autres personnages, ils sont pour la plupart attachants et apportent un petit plus au récit mais je vous laisse les découvrir en temps et en heure.

En bref, ce premier tome pose les bases d'une saga qui s'annonce prometteuse. Même si je trouve que pour le moment elle n'arrive pas encore à la hauteur du Protectorat de l'Ombrelle, tous les ingrédients sont là pour passer un agréable moment de lecture !
Lien : https://serialbookineuse.wor..
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Complots, pensionnat et époque victorienne rétrofuturiste.

Une ambiance entre époque victorienne et steampunk dans une Angleterre rétrofuturiste. Un humour décapant lié à l'étiquette et aux bonnes manières. Une intrigue qui n'est pas sans rappeler l'univers d'Harry Potter mais version féminine et sans un grand méchant démoniaque. Pour ceux qui ont lu la série du Protectorat de l'Ombrelle du même auteur, on retrouve aussi certains personnages comme Geneviève Lefoux et Sidheag Maccon alors qu'elles sont encore des jeunes filles.

Un premier tome rondement mené qui nous laisse sur notre faim et nous donne envie de lire la suite. Un univers de délicatesse, de mécanique et de courage. Une vision féministe pour une époque victorienne réinventée.
Lien : http://portdragon.fr/etiquet..
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