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3,71

sur 264 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Mais où ai-je donc mis les pieds ????

Cela faisait longtemps que j'avais envie de découvrir cette série parce que la couverture me faisait vraiment craquer (ça fait fille superficielle dit comme ça hein?)

Bref. Je passe en librairie. Chouette la couverture. La 4ème de couverture: bien. Espionnage. Ok. Des demoiselles qui ne se laissent pas faire. OK.

MAIS... ce que ne disait pas la 4ème de couverture: c'est l'univers steampunk. Je connaissais un peu après avoir lu la bande dessinée princesse sara.

Voilà. Ca m'a quand même grandement perturbée. Même si les loups garous et vampires c'est ma came. La technologie bof bof. Les automates et Cie pas trop mon truc.

Alors est ce que j'ai détesté? Non. Même si j'ai du franchement m'accrocher. (et en plus j'avais trouvé le tome 2 et le tome 3 à un vide grenier trois jours avant l'achat du tome 1).

L'écriture est vraiment agréable. Même si l'univers m'a déboussolée (une école qui vole ! ou une machine chien qui rote de la fumée...) ou amusée, l'histoire se lit assez facilement. C'est parfois bien loufoque.

Les personnages sont intéressants. J'aime bien Sophronia l'héroïne, et ses copines. Je déteste la peste de service. Les professeurs m'ont bien plu. J'ai adoré les soutiers et en particulier Savon.

En fait c'est un livre bizarre.

Après je pense que j'étais été très déçue parce que j'avais déjà plus ou moins inventé l'histoire dans ma tête et que l'univers steampunk m'a vraiment prise au dépourvu. J'apprécierai peut être davantage le tome 2 maintenant que je suis préparée.
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L'étiquette exige au xixe siècle qu'une jeune fille soit une jolie chose bien jolie, polie, bien proprette sur elle, et qui ne prenne pas de place, tout occupée qu'elle est à servir de faire-valoir. Soit tout ce que n'est pas Sophronia Temminick, au gram dam de sa mère qui se désespère de voir sa plus jeune fille courir, escalader tout ce qui bouge, être en permanence échevelée et risquer à chaque minute de déchirer sa robe. C'est pourquoi aux grands maux les grands remèdes, à quatorze ans Sophronia est envoyée du jour au lendemain au pensionnat de Mademoiselle Géraldine, pour soigner ses manières et se préparer à entrer dans le monde. Mais c'est en réalité un drôle d'établissement qui va lui ouvrir ses portes… Pour le meilleur ou pour le pire ? Tout dépend de quelle manière on envisage l'apprentissage du bon dosage de poison, du meilleur choix d'arme pour quelle défense (puisque voyons, une dame n'attaque jamais !) contre des loups-garous, des vampires, ou des bandits aériens, ou du meilleur subterfuge pour obtenir des renseignements. le tout avec grâce, évidemment.

Bienvenue donc dans cet univers steampunk (ou plutôt gaslamp fantasy ?) taillé sur mesure par Gail Carriger pour son héroïne plutôt super, Sophronia Temminick. Elle est jeune, elle est intrépide, et tous les défauts qui lui ont été reprochés pendant sa vie deviendront des avantages indéniables pour résoudre les nombreux mystères du pensionnat de Mademoiselle Géraldine, en devenant au passage la coqueluche de l'établissement. Mais une vedette s'attire indéniablement des ennemis, ici en la personne de Monique de Pelouse, une autre élève du collège qui n'appréciera pas d'être sauvée par Sophronia lors du voyage aller de cette dernière pour le pensionnat.

Étiquette & Espionnage est un bon divertissement : Gail Carriger réussit à créer un univers cohérent (et surtout crédible !) qui mêle société du xixe siècle et avancées technologiques robotiques, avec une dose de fantastique puisqu'elle y mêle aussi vampires et loups-garous. Les personnages, Sophronia au premier rang, mais également ses amis Dimity Plumleigh-Teignmott, Vieve ou Savon, ont chacun leur personnalité et deviennent assez rapidement attachants, en tout cas suffisamment pour m'avoir donné envie d'en savoir plus sur ce qui va leur arriver. L'histoire est un peu convenue, et comporte quelques longueurs, mais l'autrice a eu l'intelligence de la scinder entre les différents tomes, pour titiller la curiosité du lecteur avec une fin de roman qui n'en est pas vraiment une… Rendez-vous est donc pris pour le deuxième tome !
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Ce roman propose un monde vraiment intéressant dont le pensionnat est le coeur. Tous les passages de descriptions sont très bien amenées et nous plonge dans des lieux que j'ai eu très envie de pouvoir visiter ! On y découvre donc un pensionnat particulier puisque les jeunes filles qui y sont envoyées apprennent aussi bien à se tenir en société qu'à lancer un couteau. Mais justement. Si on suit Sophronia, nous n'assistons pas vraiment à des cours en particulier puisque l'intrigue se base surtout à tenter de mettre la main sur un prototype que tout le monde veut.

Si on ne s'ennuie pas, j'ai trouvé qu'on ne rentrait malgré tout pas assez en profondeur dans l'histoire. le roman fait bien plus jeunesse que ce à quoi je m'étais attendu de part la couverture finalement. Ce qui s'explique facilement par l'âge des personnages qui oscille entre treize et dix-ans pour la majorité.

Leur jeunesse ne les rend pas moins inintéressants et j'ai adoré Sophronia. Elle est courageuse, grimpe effectivement partout, est naturelle et pleine de vie. Ceux qui l'entourent sont aussi tous sympathiques et ont un vécu qui permet de les rendre tangibles. Mais, comme pour le pensionnat, si on en sait assez sur eux pour pouvoir s'en faire une idée assez nette, rien n'est vraiment poussé et on reste selon moi en surface.

Le pensionnat a beaucoup d'atouts pour devenir un lieu passionnant mais il n'est finalement utilisé que pour que Sophronia s'émancipe un peu et réussisse à retrouver le fameux prototype. Au niveau de l'intrigue justement, celle-ci est bien ficelée, bien amenée et les réactions des enfants à chaque évènements sont amusantes. J'ai beaucoup apprécié Nieve et Savon d'ailleurs et au final, j'aurai bien aimé suivre ces gamins dans leur quête.

Même si je reste un peu sur ma faim.

Un roman sympathique donc mais qui aurait gagné à avoir des personnages plus vieux pour gagner en profondeur.

Lien : https://tempsdemots.wordpres..
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Auteure découverte l'an passé avec sa série précédente : le protectorat de l'ombrelle et que j'avais adoré.
Que dire de cette nouvelle série ? Autant le Protectorat de l'Ombrelle m'a tenu en haleine pendant 5 tomes... autant là, je n'accroche pas autant (cela fait près de 5 semaines que je l'ai commencé... cela veut tout dire ) . J'ai l'impression que ce livre s'adresse beaucoup plus à un public d'adolescent avec encore une enième histoire à la Harry Potter .. une jeune fille arrive dans un Pensionnat "volant" où l'on apprend en plus des bonnes manières, à devenir des espions digne de ce nom. Ce concept commence à être éculé....

Hormis cela, le livre est bon avec cette humour décalée que Gail Carriger arrive à apporter dans ses romans. le cadre du récit est un Londres où vampires, loup garou ont leur place (comme dans ses précédents romans) et où la technologie est à la fois moderne et très 19ème siècle .
Côté personnages, Sophronia est l'archétype de la cadette d'une famille "légèrement" garçon manqué et faisant fie de toutes les règles. Elle va très vite avoir avec elle une petite bande d'amis.

En résumé... livre sympathique à livre qui s'adresse à tout public. Cependant, de mon point de vue, moins fort que la précédente saga de Gail Carriger.
Mais bon, ce n'est que le premier tome... peut-être que la saga va s'étoffer dès le prochain tome qui sort en septembre de cette année.
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Roman jeune adulte/jeunesse steampunk au rythme soutenu : on ne s'ennuie pas en suivant les aventures de Sophronia, Dimity, Savon et de l'horrible peste Monique de Pelouse !
Sophronia est une jeune fille de la bonne société anglaise d'une époque qui ressemble beaucoup au XIXe siècle. Mais voilà, elle cause beaucoup d'inquiétudes à sa mère, qui ne voit vraiment pas ce qu'elle pourrait en faire... Cela tombe bien ! La jeune fille, qui préfère démonter les monte-plats qu'apprendre à danser le quadrille, a été repérée pour être admise au pensionnat de Mlle Géraldine, apparemment école pour faire des jeunes filles convenables avec les cas désespérés comme ceux de Sophronia, en réalité école d'un tout autre genre, avec même des professeurs vampire ou loup-garou. Sophronia y apprendra effectivement à danser impeccablement le quadrille, tout en mettant judicieusement à profit ses compétences de démonteuse de monte-plats...
C'est un roman bien construit, avec beaucoup d'action et de suspense. Sophronia et ses aventures m'ont un peu rappelé celles d'un autre élève atypique, avec une cicatrice en forme d'éclair sur le front, repéré lui aussi par une école secrète, mais la comparaison s'arrête là : personne n'a encore fait aussi bien que J. K. Rowling.
C'est un roman qui se lit rapidement et facilement, les personnages secondaires valent le détour et la scène finale est simplement géniale.
Je reste cependant sur ma faim car beaucoup d'éléments auraient pu être approfondis : la description du quotidien à l'école est par exemple très succincte, les différents cours sont peu ou pas décrits et certains personnages, notamment les professeurs, manquent de relief et de profondeur, même le loup-garou et le vampire. J'aurais aimé aussi trouver plus de passages avec Mlle Géraldine.
Je ne pense pas que je lirai la suite de la série.
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Etiquette & Espionnage est le premier tome de la nouvelle série de Gail Carriger : le pensionnat de Mlle Géraldine, publié sous format broché aux Editions Orbit et coûtant 16,90, mais aussi publié en format poche aux Editions le livre de poche et en vente à 6,90€ pour 374 pages. Ce roman steampunk à destiné Young Adult m'a fait passer un agréable moment lecture et m'a plutôt convaincu.

Tout d'abord, laissez-moi vous présenter Sophronia, notre jeune héroïne de 14 ans qui cause tant de malheurs à sa mère. Sophronia est une jeune adolescente qui ne tient pas sa place dans cette société anglaise du 19ème siècle. Issue d'une famille noble et refusant de se plier aux convenances de son rang, Sophronia se retrouve exilée dans un pensionnat… pas comme les autres ! J'ai beaucoup apprécié l'héroïne, son caractère et sa vive intelligence.
Les autres personnages ne sont pas en reste. le personnage de Monique m'a agacé, ainsi que celui de Presha mais j'ai beaucoup apprécié les autres et j'ai hâte de les retrouver dans le prochain tome !

L'une des premières choses qui m'a convaincue dans ce premier tome est l'ambiance installée par l'auteure. Il y a pas mal de pointes d'humour et il y a quelque-chose de décalé qui a su me plaire. J'ai aussi beaucoup apprécié le côté steampunk, ce mélange d'ancien et de futuriste.
L'aventure proposée par l'auteure est passionnante et démarre rapidement. Je ne me suis pas du tout ennuyée pendant ma lecture. le seul bémol que j'ai trouvé est qu'on n'assiste pas beaucoup aux cours de Sophronia. On nous en présente quelques-uns mais la plupart sont juste évoqués.
Le côté pensionnat de l'histoire m'a beaucoup plu, ainsi que les mystères tout autour. On découvre tout juste quelques secrets et j'ai hâte de voir ce que la suite nous réserve ! de plus, j'ai beaucoup apprécié l'intégration d'éléments d'urban fantasy : je ne m'y attendais pas du tout mais la manière dont les amène l'auteure m'a beaucoup plu !

Conclusion

Ce premier tome m'a largement convaincu, entre son côté steampunk, l'humour, les personnages et les aventures proposées. L'ambiance du roman m'a tout de suite charmé et c'est pour moi l'atout fort du livre. L'héroïne est attachante et les personnages secondaires aussi. Je ne peux que vous recommander ce premier tome qui nous pose les bases d'une série qui saura convaincre ses lecteurs !
Lien : http://freelfe.blogspot.fr/2..
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« Étiquette et espionnage » de Gail Carriger est le premier tome de la quadrilogie « le pensionnat de Mlle Géraldine ». L'histoire se déroule au XIXe siècle, 25 ans après le « Protectorat de l'ombrelle ». Nous suivons Sophronia dans ses aventures : les cours dispensés à l'établissement ne sont pas de tout repos… surtout lorsqu'il faut mener l'enquête parallèlement. Dans un univers steampunk, la vivacité de la protagoniste saura vous charmer si vous n'attendez pas trop d'un récit simplifié pour le public jeunesse.
(chronique complète sur le blog : http://livrement.com/2015/03/07/le-pensionnat-de-mlle-geraldine-etiquette-espionnage-tome-1-gail-carriger/)
Lien : http://livrement.com/2015/03..
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Ici pas de comparaison possible avec la précédente trilogie de Gail Carriger, n effet l'intrigue se déroule 25 ans avant et l'héroïne n'a que 14 ans. En effet, l'atmosphère générale n'est pas du tout la même. Vous pouvez donc oublier l'humour grivois et autres scènes croustillantes ! Nous sommes plutôt face à un comique de situation et à une ambiance bon-enfant. Dès le début du roman l'auteure met en place beaucoup d'action. Comme vous l'aurais compris le récit est vif, rythmé et bien mené. Par contre la fin est très rapide. En seulement 25 pages le tout est plié. Elle m'a laissé comme un petit goût de trop peu. Il en va de même pour le fonctionnement de l'école. J'aurais adoré que l'auteure nous détaille davantage les cours et la vie du pensionnat.

Gail Carriger possède une belle plume pour le roman jeunesse. Son pari est donc réussi à mon avis. Une fois n'est pas coutume la traduction m'a quelque fois paru étrange sur certaines expressions. Loin de gâcher mon plaisir de lecture ces dernières ont tout de même manqué d'un peu de fluidité. Une romance se dessine entre Sophronia et un jeune homme. L'auteure nous a épargné le triangle amoureux. Au moins pour l'instant… J'ai beaucoup aimé l'hommage qu'a rendu Gail Carriger à sa première série, le protectorat de l'ombrelle,en faisant apparaitre quelques personnages. [Non non je ne vous dirais pas lesquels !] Nous les découvrons donc plus jeune. Mais ils possèdent déjà quelques singularités de caractère qui font leur charme dans le protectorat de l'ombrelle.

Grâce à ce premier tome, la nouvelle série de Gail Carriger est prometteuse. Nous ne sommes pas seulement face à une introduction où l'univers crée se met doucement en place mais bel et bien en pleine action. Cette lecture a été divertissante malgré quelques passages maladroits, une fin brusque et la vie du pensionnat et des cours pas suffisamment mis en avant à mon goût.
Lien : http://danslemanoirauxlivres..
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Très grande fan d'Alexia Tarabotti et du Protectorat de l'ombrelle, c'est donc logiquement que j'ai tenu à me faire une idée sur le premier tome de cette série dérivée qui se déroule dans le même univers, vingt-cinq ans plus tôt. J'avais bien compris qu'il s'agissait d'une série (très) jeunesse, mais je m'attendais quand même à retrouver tout le piquant et le cocasse de l'auteure, ainsi que la succession de péripéties rocambolesques qui fait sa marque de fabrique. Or, au fur et à mesure de mon avancée, mon intérêt, d'abord titillé par les retrouvailles avec cet univers steampunk et victorien à nul autre pareil, s'est littéralement évaporé, au point que j'ai poursuivi ma lecture sans enthousiasme. Disons-le, je me suis ennuyée pendant la moitié de ma lecture malgré les éléments appréciables qu'elle offre.

Quand on lit du Gail Carriger, on s'attend à retrouver son style d'écriture très ironique, plein de réflexions malicieuses et de comparaisons animalières en tout genre. Ici, la patte de l'auteure est là, mais seulement en surface. On peut excuser cela par le fait que nous sommes en jeunesse, que la plume se doit d'être diluée, mais hélas les vrais fans déplorent de ne pas retrouver le panache que ce style unique confère aux personnages qui gravitent autour de l'héroïne comme c'était le cas dans le Protectorat de l'Ombrelle. Et c'est bien là que le bât blesse en général ; on reste dans le superficiel à tous les niveaux, que ce soit dans les convenances avec un langage qui fait souvent tiquer, ou encore dans les rapports entre personnages juste mignons et utiles à l'histoire mais c'est tout.

Côté intrigue, elle s'annonce prometteuse, mais elle est oubliée en cours de route au profit de la présentation du Pensionnat et lorsqu'on y revient, c'est pour un dénouement rapide et peu palpitant.

La seule chose qui a finalement sauvé l'ensemble, c'est l'univers semblable et différent à la fois. Semblable, car nous sommes toujours dans une uchronie où loups-garous et vampires sont intégrés dans la bonne société londonienne. Différent, car beaucoup plus mécanique avec quantité de références steampunks (dirigeables, valets robotisés humanisés dans leurs réactions…) et beaucoup de descriptions scientifico-techniques.

Outre cela, la voix du personnage principal, Sophronia, est agréable, elle porte bien la narration, et son côté téméraire apporte de la fraîcheur dans cette société guindée à laquelle elle doit s'acclimater. C'est une jeune femme à l'esprit aiguisé et une meneuse née, ce qui est forcément une recette qui marche.

Autre point appréciable, nous retrouvons certains personnages croisés dans la série d'origine. A noter également qu'on aura tous envie d'adopter un Bumbersnoot, le mechanimal au physique de teckel.

Étiquette & Espionnage est le premier tome d'une série jeunesse, vraiment jeunesse, qui offre un univers mécaniquement dense. le concept de l'école pour espionnes était bon, il est d'ailleurs sympathiquement exploité au regard des leçons dispensées, même si elles deviennent vite indigestes. Globalement, à cause d'un manque de profondeur des personnages et d'une évolution assez plate de l'histoire, on finit par s'enliser en cours de route jusqu'à un dénouement qui nous laisse stoïque.
Lien : http://place-to-be.net/index..
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C'est un avis un peu mitigé que je vous propose ici. L'univers est plutôt sympathique, le style steampunk est présent et exploité à fond, on a tout un tas de machineries passionnantes, des loups-garous et des vampires, un ton et des dialogues très enjoués, mais l'histoire peine à convaincre. L'intrigue de base, la quête d'un prototype que tout le monde cherche, est assez mince et laisse souvent place aux anecdotes de la vie quotidienne des pensionnaires. C'est très jeunesse : séances de maquillage, jolies robes, manigances et complots entre copines... Bon, j'ai un peu passé l'âge quoi !

Pourtant, l'autrice nous entraîne dans de magnifiques décors, des machines incroyables et nous guide dans ce fascinant pensionnat volant, ses nombreuses salles, ses archives, ses sous-sols... Cela donne un petit côté école d'Harry Potter (très léger) mais version steampunk ! Mais ni cela ni la fraîcheur de l'héroïne ne suffisent à captiver pleinement, et bien que les rebondissements soient réguliers, la véritable intrigue passe clairement au second plan.

Je ne pense pas lire la suite, ça manque de profondeur et c'est trop jeunesse à mon goût.
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