Dans ces cas-là, Carl Gustav Jung parlait de "synchronicité".
"Le jour où tu décides de te mettre au régime, il y a toujours quelqu'un pour t'offrir une boîte de chocolats, disait toujours Monsieur B. La vie est pleine de pirouettes du destin, mais nous ne nous en apercevons que quand nous sommes contraints d'y prêter attention."
-Vous essayez de la soigner. C'est peut-être là votre erreur : vous devriez faire autre chose. -Quoi donc ?
- Écouter, affirma l'homme avec un grand sourire plein d'espoir. Il y a dans le monde des personnes magiques. Nous ne les voyons pas pour ce qu'elles sont réellement, souvent nous ne nous apercevons même pas de leur existence, ou alors nous les considérons comme inférieures. Alors nous nous adressons à elles avec compassion. Mais nous devrions être reconnaissants envers elles d'être parmi nous... Souvent, il s'agit d'enfants.
À ce moment-là, l'hypnotiseur fut heureux d'avoir remis l'affaire sur des rails sains. Il lui avait rendu sa rationalité en la débarrassant de ses stupides superstitions. Il avait donné un sens à sa propre journée, et maintenant il allait rentrer chez lui et s'accorder une bonne nuit de sommeil bien méritée.
Pour guérir des obsessions, il faut refuser d’y céder.
La vie est pleine de pirouettes du destin,mais nous ne nous en apercevons que quand nous sommes contraints d'y prêter attention.
Il faut craindre les idiots plus que les monstres, parce qu’ils ne savent pas qu’ils sont dangereux.
Le jour où tu décides de mettre au régime,il y'a toujours quelqu'un pour t'offrir une boîte de chocolats,disait toujours Monsieur B.
Les amis imaginaires des enfants émergent d'un puits de solitude. Ils asphyxient tout, avec leur présence nauséa-bonde. Ce sont des despotes, ils sont possessifs et exigent l'exclusivité, voire même refusent de s'en aller.
Les témoins tardifs de crimes ne sont pas un phénomène rare. Il leur faut du temps pour relier une bizarrerie ou une anomalie à laquelle ils ont assisté dans le passé à un fait divers irrésolu. Il faut des années à leur inconscient pour élaborer l'évidence, même la plus banale.
La grande bâtisse blanche de la fin du XVIIIe siècle était logée entre deux collines, dans les vignes et les oliveraies. Entourée d'austères cyprès qui semblaient la protéger, on l'apercevait à quelques kilomètres de distance.