La Maison aux lumières

Le troisième tome sur l'endormeur d'enfants Pietro Gerber. J'avais lu et aimé le premier, pas lu le second. Cela ne m'a pas handicapé pour suivre celui-ci, les allusions au deuxième tome étant beaucoup moins nombreuses et moins sujet à suite que celles au premier. On sait dès le début que cette deuxième histoire a laissé l'hypnotiseur dans un état personnel et professionnel dégradé. Même si j'aurais aimé en savoir plus, cela ne gêne en rien la compréhension de ce tome.

Encore un policier que j'ai écouté. J'aurais cru avant d'apprécier la lecture audio que ce type de découverte d'un texte ne serait pas adaptée à la tension et au désir de savoir la suite d'un policier, surtout comme dans celui-ci la tension est grandissante et les questions se multiplient. Et pourtant cela fonctionne. Bien sur il ne faut pas laisser s'écouler trop de temps entre les séances d'écoute. Mais, surtout, je dirais que le narrateur et sa voix sont des éléments clés pour cela. Il doit rendre sa lecture suffisamment vivante pour que l'histoire s'inscrive dans notre esprit jusqu'à la prochaine lecture. Et c'est le cas ici. Une voix parfaitement dosée, sans en rajouter, interprétant à merveille les différents personnages et traduisant les climats des différentes scènes.

Une intrigue principale tortueuse à souhait, où Pietro Gerber, pas au mieux de sa forme, se laisse parfois déborder par les évènements et sa petite patiente qui semble capable de communiquer avec un ami invisible. le doute est instillé dans l'esprit de Gerber et le notre.
Et cette enquête renvoie bizarrement à des éléments du passé de Gerber, un été de son enfance où il est mort pendant trente secondes et où l'un de ses amis a disparu.

Une ambiance prenante, une maison isolée dans la campagne florentine, des coïncidences étonnantes, des personnages ambigus, des retours dans le passé angoissants, tout cela crée une tension grandissante et attise notre intérêt. J'ai vraiment beaucoup apprécié ce roman et lirai surement le suivant de la série, car certaines réponses en relation avec les évènements du premier tome ne sont toujours pas données.

Merci à NetGalley et aux éditions Audiolib pour ce partage #LaMaisonauxlumières #NetGalleyFrance

Lorsque j'ai vu que la maison aux lumières était enfin sortie en France.
Je me suis précipité dessus.
J'ai aimé retrouver Pietro Gerber, Monsieur B et le passé, l'enfance dirais-je de Pietro…

Mais j'ai l'impression de ne pas avoir eu toutes les réponses que j'attendais… J'aurais voulu en savoir plus sur Hanna Hall… elle hante le livre, mais…

J'ai lu (puisque je suis cet auteur sur les réseaux sociaux…) que son dernier livre sortait en Italie « l'educazione delle farfalle = l'éducation des papillons ».. Rien à voir, enfin je suppose…
Peut-être que dans quelques années j'aurais enfin les réponses…

Sinon le récit est au-delà de ce que j'imaginais.
Une histoire prenante et passionnante.
Mr Carrisi m'a emmené dans un autre monde, un univers inconscient submergé de peur, et de question…

Et je reste encore une grande fan… vivement le prochain roman !

Bonne lecture !

Pas de surprise, ce troisième volume avec l'endormeur d'enfants est aussi bon, si ce n'est meilleur que les précédents. Dans cet opus, 2 histoires s'entremêlent : l'enquête sur la disparition, durant l'enfance de Pietro, de Zeno, un de ses compagnons de jeu et la thérapie d'Eva, une petite fille de 10 ans, qui converse apparemment avec un ami imaginaire menaçant, et qui ne veut pas quitter sa maison.
2 histoires au rythme effréné et au suspense incroyable : une fois commencé, impossible de poser le livre. La plume de l'auteur, très fluide, est vraiment addictive. Et ce nouveau voyage dans les méandres du cerveau et de la mémoire absolument palpitant.
C'est tout ce que j'aime dans un polar, porté par un maître en la matière.
Vivement la suite !

Pietro Gerber, le célèbre psychologue spécialisé dans l'hypnose pour enfants comme son défunt père « Monsieur B. », est désormais en chute libre.
Solitaire et déprimé, sa réputation à l'instar de son moral, a perdu de sa superbe suite à des affaires éprouvantes dont il peine à se remettre.
Quand le célèbre « Endormeur d'enfants » est sollicité par Maja, une jeune fille au pair inquiète pour la fillette de 10 ans dont elle a la charge, Pietro y voit une occasion de redorer son blason.

Eva, agoraphobe et en proie à des phénomènes étranges, s'est inventé un ami imaginaire.
Les séances d'hypnose durant lesquelles l'ami imaginaire se manifeste replonge Pieter dans une période sombre de son enfance.
Le récit présente d'étranges synchronicités avec la disparition du petit Zeno il y a 25 ans, lors d'une partie de cache-cache un beau dimanche de juillet.
Le jeu des statuettes de cire que Pietro a observé de son balcon, la jambe plâtrée, suite à une chute qui aurait pu lui être fatale. Une EMI de 30 secondes à peine mais qui l'a marqué à jamais.
Confronté à des faits inexplicables, Pietro voit ses certitudes basculer.
Et si la fillette n'était pas atteinte de schizophrénie infantile mais était réellement possédée par le fantôme de Zéno ?
Entre parapsychologie et superstition, le psychologue saisit l'opportunité d'exorciser son passé en découvrant la vérité sur le destin de Zeno.

Je remercie Babelio et la masse critique pour la découverte de ce thriller addictif dont les chapitres courts rythment le suspense jusqu'au dénouement.
Donato Carrisi fait voler en éclats les certitudes de notre rationalisme en nous entraînant dans les domaines sombres de la parapsychologie et de l'hypnose.
Le roman met également en exergue les dérives de l'hypnose et la puissance de la manipulation mentale.

L'histoire s'ouvre sur l'été 1997, à Porto Ercole. Pietro Gerber a 11 ans. Les enfants jouent au jeu des statuettes. Lors d'une partie, Zeno, 5 ans, le plus jeune d'entre eux, disparaît.

Aujourd'hui, 25 ans plus tard, Pietro Gerber, célèbre hypnotiseur d'enfants, est abordé par Maja, une jeune femme venue de Finlande pour s'occuper d'une fillette de 10 ans, Eva. Eva est agoraphobe et communique avec un ami imaginaire. Ses parents sont absents. Elle est livrée à cette jeune femme et à une gouvernante. Maja, très inquiète du comportement de la fillette, sollicite l'aide de Pietro.

L'hypnose, la parapsychologie, le paranormal, si vous n'aimez pas ces domaines, passez votre chemin.

Ce roman fourmille de choses étranges, bizarres, qui surviennent sans prévenir. Mais des explications rationnelles à certaines choses ne sont pas très loin. Dommage car j'aurais apprécié que l'auteur aille plus loin et me surprenne davantage.

Deux intrigues qui se chevauchent, se percutent, un thriller psychologique prenant, envoûtant, captivant, même si je ne peux me détacher d'une légère frustration, comme un arrière goût d'inachevé.

En Toscane, en Italie, Pietro Gerber, le célèbre hypnotiseur d'enfants est appelé pour une petite fille de dix ans qui semble possédée par un ami imaginaire. Ce qui étonne le plus Pietro c'est qu'elle connaisse un épisode traumatisant de son enfance, la disparition du petit Zeno, 5 ans alors qu'ils jouaient au jeu des statuettes.
Je découvre Donato Carrisi avec ce titre qui est la troisième enquête de Pietro Gerber, il y a un fil rouge avec une certaine Hanna Hall mais je n'ai pas éprouvé de difficultés à suivre cette histoire sans avoir lu les précédents mais je vais essayer de trouver rapidement les deux premiers tomes pour compléter les mystères évoqués.
J'ai été tout de suite embarquée dans cette étrange histoire de possession, par le passé de Pietro Gerber et étonnée par le lien entre les deux, je me suis posée beaucoup de questions sur la voie que prenait ce thriller, Donato Carrisi mène parfaitement son histoire, les noeuds se démèlent à la fin même s'il reste encore des mystères à la fin, dans la continuité de la série.
J'ai beaucoup aimé la voix de Sylvain Agaësse, calme et posée et s'adaptant bien à Pietro Gerber et aux autres personnages avec les bonnes intonations. J'ai vu que les deux tomes précédents étaient également lu par Sylvain Agaësse, je ne serai pas dépaysée.
#LaMaisonauxlumières #NetGalleyFrance

Pietro Garber ne s'est pas vraiment remis de l'affaire de l'affabulateur, tant personnellement que professionnellement. Quand on vient le voir pour s'occuper d'Eva et de son ami imaginaire, il sent que quelque chose cloche mais ne peut se résoudre à laisser la fillette se battre seule avec ses démons.
J'ai une nouvelle fois beaucoup apprécié mon écoute de ce roman de Donato Carrisi. le récit est prenant, plein de rebondissements avec une histoire tortueuse à souhait qui nous plonge dans le passe de Garber. de nouveaux personnages font leur apparition et vont avoir de l'importance pour l'endormeur d'enfants. L'ambiance distillée est sombre.
Pourtant, une fois finie l'histoire, je me suis sentie frustrée. Comme dans son précédent opus, une partie des questions ne trouvent pas de réponse, laissant le mystère en place.
Le narrateur de ce roman, déjà présent sur La maison sans souvenir, offre une nouvelle fois toit son talent à cette interprétation, modulant sa voix selon les personnages et le contexte. Un vrai plaisir de l'écouter et de se laisser porter par sa narration.
J'ai apprécié ce roman et attend le suivant avec impatience, espérant que certains des mystères posés dans les précédents tomes vont trouver leur résolution.

Depuis la découverte fracassante du « chuchoteur », je suis devenu un fervent lecteur de Donato Carrisi. J'adore cet auteur et je lis quasiment tous ces livres. Seulement ces dernières années, je restais un peu sur ma faim avec des opus un peu décevants. Heureusement, je ne me suis pas découragé pour autant !

J'avais lu uniquement le premier épisode de cette nouvelle série, mais je n'ai pas été perdu dans la lecture. L'histoire peut sans problème se lire indépendamment. le psychologue Pietro Geber est confronté à une fillette qui bouleverse son pragmatisme. Pendant l'analyse, elle le remet face à un drame de son passé. Dès lors, déstabilisé, il met tout en oeuvre pour essayer de comprendre l'incroyable.

L'écrivain a toujours été un maître dans l'art de nous manipuler. Avec le métier de son personnage principal et les techniques d'hypnose qu'il utilise, il peut s'en donner encore plus à coeur joie. Il joue avec le subconscient de ses protagonistes afin de faire dériver son aventure entre réalité et imagination. Tout au long de l'intrigue, on ne sait jamais si on a affaire à du surnaturel ou à des manoeuvres psychiques. L'auteur insinue des détails troublants qui accentue notre confusion.

Moins rocambolesque que le premier tome, « La maison aux lumières » est un modèle de construction efficace. le narrateur est au diapason et j'ai écouté frénétiquement en recherche de la vérité. Mais c'était sans compter sur le conteur italien qui m'a tenu sous tension jusqu'à la fin. L'habileté de son scénario m'a réservé de belles surprises et l'emprise a fonctionné sur moi. Mon cerveau cartésien a été mis à rude épreuve !

Si vous ne connaissiez pas Donato Carrisi, cette histoire peut être, à l'instar du « chuchoteur », une bonne porte d'entrée dans son univers. Si vous êtes déjà un adepte, foncez, c'est un bon cru !
Lien : https://youtu.be/K1pNtTNkQZk..

Un troisième thriller parapsychologique très envoûtant sur les enquêtes de l'hypnotiseur d'enfant Pietro Gerber !

A découvrir dès le 25 octobre chez @audiolib grâce à l'interprétation très réussie du narrateur Sylvain Agaesse dont la voix vous donnera des frissons dans le dos !

Pour garder le fil conducteur, je vous conseille de le découvrir de préférence dans l'ordre chronologique après le tome 1 "La Maison des voix" et le tome 2 "La Maison sans souvenirs", même si chaque tome peut être lu séparément sans problème de compréhension.

Dans une vieille bâtisse isolée en Toscane, une fillette souffre de maux bien étranges… Lors de phases de transe, Eva semble habitée par le mal et obéit aux ordres d'un ami imaginaire inquiétant.

C'est en tout cas ce que rapporte Maja, sa jeune fille au pair, à Pietro Gerber, illustre hypnotiseur pour enfants. Ce dernier, traumatisé par sa précédente affaire, hésite à prendre en charge cette patiente.

Mais, au cours de leurs séances, elle dissémine des indices sur une histoire qui ronge Gerber depuis 25 ans : la disparition brutale de son ami Zeno, alors âgé de cinq ans, survenue dans son enfance quand il avait 11 ans lors d'une partie de cache-cache appelée "jeu des statuettes".

Comment peut-elle être au courant de détails que même Gerber a enfouis en lui ? En sondant les affres de la mémoire d'Eva, Pietro Gerber va être victime d'un jeu de piste dangereux, une manipulation qui l'obligera à se confronter à ses pires démons... L'endormeur d'enfant est-il prêt à réveiller les fantômes du passé ?

L'intrigue est vraiment prenante entre hypnose, manipulation mentale et expérience de mort imminente. Dès les premières lignes, l'histoire du jeu des statuettes qui ne s'est jamais terminée à cause de la disparition de Zeno, âgé de cinq ans, crée une atmosphère pesante très anxiogène. Son corps n'a jamais été retrouvé, ce qui ne permet pas de faire le deuil de cette sombre affaire de disparition inquiétante qui vire à l'obsession pour Pietro.

Une sorte de malédiction plane depuis ce jour funeste où le mot libérateur "Arimo" qui aurait dû mettre fin au jeu n'a jamais pu être prononcé par Zeno. Jusqu'à ce que l'endormeur d'enfant découvre la petite Eva qui semble atteinte d'hallucinations auditives, s'inventant un ami imaginaire qui la maltraite. le suspense atteint alors son paroxysme et l'ambiance devient diablement flippante quand Maja, sa jeune fille au pair, donne une enveloppe à Pietro de la part d'Eva : seul le mot "Arimo" y est inscrit... Mystère !

Je remercie @audiolib et @NetGalleyFrance qui m'ont permis de découvrir ce thriller psychologique en version audio grâce à Sylvain Agaesse qui prête sa voix aux différents personnages avec brio. Il parvient à capter notre attention du début du récit à la fin en changeant son timbre de voix en fonction de l'âge ou du sexe des personnages, ce qui facilite la compréhension. J'ai bien aimé sa voix posée qui laisse planer le mystère et qui contribue à créer un climat de plus en plus anxiogène au fil des pages. Son flux narratif ni trop lent, ni trop rapide permet de suivre facilement l'intrigue assez simple, ce qui permet de pouvoir faire autre chose tout en écoutant l'histoire sans difficulté.

Je recommande ce thriller psychologique à celles et ceux qui s'intéressent à la parapsychologie, à la manipulation mentale et aux dérives sectaires. J'ai hâte de découvrir la suite car le dénouement inattendu laisse encore beaucoup de questions en suspens. A suivre !

Quelque chose me dit que la série consacrée à l'hypnothérapeute Pietro Gerber est loin d'être terminée. Je suis ravie d'avoir pu jusqu'à présent la suivre dans l'ordre, et La maison aux lumières, suite de la maison des voix et de la Maison sans souvenirs est sans conteste mon préféré. J'ai suivi avec passion ce thriller psychologique glaçant sans en perdre une miette!

Dans ce nouvel opus, Pietro Gerber est convié par une jeune fille pair à examiner le cas d'une fillette recluse dans une vieille bâtisse isolée de Toscane, qui souffre de l'influence négative d'un ami imaginaire… Réticent en raison du fiasco de sa précédente affaire, l'hypnotiseur accepte finalement de suivre la petite Eva dans ses élucubrations. Mais Pietro va découvrir que l'enfant lui livre des indices sur la disparition du petit Zeno Zanucci, un petit garçon qui s'est volatilisé lors d'une partie de cache-cache alors que Pietro était âgé de onze ans. L'affaire avait à l'époque traumatisé la bande d'amis avec laquelle il partageait ses vacances. Comment la petite fille peut-être être au courant de détails que Pietro n'a jamais révélé à personne? Parvient-elle à communiquer avec les morts ? Autant de questions fantasmagoriques qui vont obliger Pietro à une quête obsédante mêlant passé et présent, dans une ambiance sinistre et inquiétante.

Impossible de ne pas être saisi par l'atmosphère ténèbreuse du récit : je précise que j'ai écouté ce livre, de nouveau interprêté par Sylvain Agaësse qui réussit brillamment à nous envoûter. Un manoir isolé de Toscane, dans lequel vit recluse une petite fille agoraphobe, délaissée par ses propres parents qui visiblement la craignent comme le Diable. Une gouvernante aigrie dont l'ombre erre dans les couloirs et une jeune fille au pair d'origine suédoise qui est la seule à s'inquiéter du sort de l'enfant. Lorsque Pietro débarque pour sa première consultation, il ressent l'atmosphère étrange du lieu et l'aura inquiétante qui émane de l'enfant. D'étranges phénomènes ne tardent pas à apparaître et l'on oscille vite entre paranormal et drame psychologique, Pietro n'ayant de cesse de se replonger dans son enfance traumatisée. On hésite donc entre un aspect fantastique et la manipulation mentale, lequel des deux l'emporte, je ne vous le dirai pas, mais je vous conseille fortement ce thriller implacable!
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