Martiniquais,
Joël Cimarron fut bercé dès son enfance par les contes créoles et vaudous. C'est de ceux-ci qu'il s'inspire pour l'histoire et l'univers de sa bande dessinée, «
Le Couteau-Chien ».
Passé une couverture attirante, le reste ne fut qu'une mauvaise expérience de lecture, scénario comme dessins. J'ai souvent eu cette désagréable impression qu'il manquait des cases, si ce n'est des planches à cette bande dessinée. L'histoire y est trop précipitée, rendant le récit parfois brouillon et le comportement des protagonistes peu crédible. Impossible de rentrer dedans malgré une référence aux croyances vaudous séduisante. Idem pour les dessins dont je n'ai pas apprécié le style et ont empêché tout ressenti émotionnel.
Je déconseille.