Chobits, tome 1

L'utopie bien connue d'un ordinateur à forme humaine qui pourrait nous simplifier la vie et plus si affinités. Voilà de quoi traite cette série. Nôtre jeune héros trouve un de ces ordinateurs en rentrant chez lui, mais il semblerait que cet ordinateur ne soit pas comme les autres...

Chobits est un manga magnifique pour la qualité de ses dessins mais aussi pour son scénario...On s'attache à Tchi, la petite androïde ...Cette oeuvre est même philosophique et poétique...Une histoire touchante...

Un petit mot sur les dessins d'abord : J'adore ! Je suis vraiment fan de ce que fait CLAMP, les dessins sont toujours très beaux. Je possède déjà Card Captor Skaura et Tsubasa Reservoir Chronicles, les dessins sont du même genre (personnages adorables, vêtements pleins de froufrous ^^). Les personnages sont vraiment très expressifs, ce que j'adore dans les mangas. Certaines tenues de Tchii sont vraiment très belles, même si on est loin de la variété des robes de Sakura.

Dans ce premier tome, on découvre l'univers de la série : les ordinateurs ont forme humaine et sont omniprésents. Ce qui perturbe Hideki, un étudiant un peu paumé, car il n'y est pas habitué. Il aimerait bien avoir un ordi quand il trouve Tchii à la poubelle. L'image montrant le cd oublié laisse deviner que des secrets entoure Tchii (nom que lui donne Hideki car elle ne sait dire que ça).

Il y a de nombreuses allusions au sexe (dès le début, on voit Hideki fouiller dans ses magazines pornos) mais c'est vraiment très innocent car Hideki est un gentil garçon et Tchii n'y connaît vraiment rien. Ça donne des scènes assez amusantes.
Tchii doit vraiment tout apprendre et Hideki se montre très patient avec elle, leur relation est vraiment mignonne et même si Hideki répète sans cesse que Tchii n'est qu'un ordinateur, on sent qu'il s'attache à elle. Qui ne s'y attacherait pas ? Tchii est vraiment trop mignonne et trop adorable ! En plus, son innocence la rend vraiment adorable et amusante. Certaines de ses réactions laissent entrevoir que Tchii cache quelque chose dont elle même ne semble pas consciente (j'ai hâte d'en savoir plus à ce sujet).

Ce premier tome permet aussi de faire le tour de l'entourage d'Hideki. Ce sont des personnages très attachants et chacun cache son petit secret. On voit aussi les différents types d'ordinateurs (j'adore Sumomo).

Le petit livre illustré aborde indirectement l'histoire de Tchii et permet aussi de réfléchir à l'omniprésence des ordinateurs. Ce manga n'est donc pas seulement une histoire toute mignonne mais elle aborde aussi une question qui nous concernera peut être un jour.

ce manga n'est pas un best seller pour rien, il nous plonge au coeur d'une société ou les ordinateurs remplacent peu à peu les humains et ou les sentiments sont boulversés!! les personnages ont tous une vie et une histoire captivantes!!
grande reflexion sur les sentiments que peuvent avoir les humains envers des machines

Moi qui ne suis pas très shôjo j'ai beaucoup aimé ce manga.
Une histoire d'amour se tisse entre un ordinateur (à l'apparence humaine) et un lycéen. Au delà de cette trame qui peut paraître simpliste, il y a une vrai réflexion sur notre relation aux ordinateurs. La machine peut-elle remplacer l'homme? Peut-on avoir des sentiments pour une machine? Les machines ont-elles le droit d'avoir accès aux sentiments humains?...
Ce manga est au final un shôjo adulte, très agréable à lire. J'ai également apprécié de trouver une série en peu de tomes (8), ça change!!

[Cette chronique porte sur l'ensemble des huit tomes.]

Vous parler de Chobits, c'est vraiment difficile, car j'aime tellement cette série, depuis si longtemps, que j'ai presque oublié pourquoi… Mon plaisir reste intact à la lecture, mais c'est excessivement compliqué de l'expliquer ! En tout cas, si je peux vous donner l'envie de le lire, ce serait génial.

L'histoire commence lorsque Hideki Motosuwa, jeune étudiant désargenté qui a raté son admission à la fac et prend des cours en prépa en attendant de retenter sa chance, trouve dans les poubelles un magnifique ordi, apparemment intact. Dans ce futur pas si éloigné, les ordinateurs sont devenus ultra-perfectionnés et un inventeur leur a donné forme humaine. Hideki emporte chez lui cet ordi à l'apparence d'une toute jeune fille et parvient à l'allumer, mais il s'avère très vite qu'elle n'a pas de mémoire. Il la nomme Chii. Bientôt, elle fait l'objet de nombreuses convoitises…

Ce qui frappe le lecteur dès le début, c'est que sur ce manga, les Clamp se sont défoncées sur le design. C'est tout simplement sublime. Vraiment, il n'y a pas d'autres mots. Oui, XxxHolic est magnifique, Kobato aussi, mais je trouve que le dessin de Chobits est encore au-dessus (cette série est sortie avant les deux autres citées). C'est le mélange parfait entre l'élégance et la simplicité. La beauté des illustrations couleur me coupe toujours le souffle (j'ai l'artbook, c'est magnifique). Mais surtout, le dessin est souvent mélancolique et colle parfaitement à l'histoire. Les passages avec les dessins du livre La ville déserte tranchent par leur encore plus grande simplicité, avant de retrouver des planches avec les beaux vêtements de Chii, ou l'expression des visages… Enfin bref, rien que pour les graphismes, il faut lire ce manga.

Ensuite, il y a cette histoire magnifique, qui vous parle du droit d'aimer, peu importe que vous soyez homme ou femme, jeune ou vieux, ordi ou humain. Et je dis bien ordi, pas robot, la différence est importante. Pas de robot dans Chobits. Ce manga traite de questions qui pourront se poser un jour vu comment la technologie ne cesse de faire des bonds en avant. Mais surtout, comment trouver le bonheur dans notre société hyper connectée, médiatisée, technologique ? le sujet de l'intelligence artificielle atteint des proportions quasiment philosophiques. On est clairement dans un manga destiné aux adultes, un seinen.

Très vite, on comprend que Chii, même si elle ne sait apparemment rien faire, n'est pas un ordi comme les autres, mais en quoi exactement ? Et pourquoi ? À côté de cette intrigue principale, d'autres personnages gravitent avec leur propre histoire. Yumi, la collègue d'Hideki dans le bar où il travaille, refuse d'utiliser des ordis. Minoru, jeune prodige de l'informatique encore au collège, a créé un ordi qui ressemble exactement à sa soeur décédée. Il y a aussi Shimbo, prof Shimizu, Ueda… Toutes leurs histoires sont émouvantes et apportent quelque chose à la réflexion principale. Je suis toujours émue aux larmes à certains passages. Les ordis sont également des personnages très attachants. Ils ne doivent leur personnalité qu'à un programme, mais cela n'empêche pas qu'ils ont chacun leur individualité. Sumomo est vraiment trop mignonne, je veux la même !

C'est horrible, je ne trouve vraiment pas quoi dire de plus ! Les huit tomes se dévorent. Bien sûr, j'en redemanderais encore, mais je pense que la longueur de la série est parfaite. Ce n'est pas trop long, on n'a absolument pas le temps de se lasser mais chaque arc narratif trouve sa conclusion. La fin est… particulière, mais tellement belle. Mes exemplaires sont très abîmés vu le nombre de fois où je les ai lus ou simplement parcourus, et cette fois n'était pas la dernière ! Si vous souhaitez découvrir les Clamp, ce manga est assurément parfait pour ça.
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Chobits fait partie de ces mangas qu'on a plaisir à relire et redécouvrir. A l'époque de ma première lecture, je ne connaissais que très peu d'oeuvres des Clamp à l'exception de Card Captor Sakura. En relisant Chobits, je me rends compte à quel point ce titre est différent de leurs autres mangas.

Hideki Motosuwa est un jeune étudiant qui alterne les cours de préparation aux concours d'entrée aux universités et les petits boulots. Fauché, il rêve pourtant d'acquérir un de ces fameux ordinateurs personnels ressemblant et agissant comme les humains et qui font désormais partie du quotidien.
Un soir, il tombe nez à nez avec un de ces androïdes sous les traits d'une jeune fille inanimée et abandonnée au milieu des poubelles. Sans réfléchir, il la ramène chez lui et la démarre non sans difficultés. Mais son bonheur sera de courte durée car malgré la jolie frimousse et le corps de rêve de ce robot, ses capacités semblent limitées. Dépourvue de logiciel, la petite androïde ne sait dire que « Tchii ». Pour autant, elle fait preuve dès le départ d'une tendresse envers son nouveau propriétaire.

Dès le départ, le lecteur ne peut que fondre devant la frimousse d'ange et l'innocence de Tchii. Il est donc facile de comprendre Hideki qui craque petit à petit pour sa protégée alors qu'il sait pertinemment qu'elle n'est pas humaine. Commence alors la réflexion quasi-philosophique qui se fera tout au long du manga sur la place de la machine dans notre société et notre interaction avec elle. Un beau programme en somme.

Je le disais plus haut, ce titre est une sorte d'extra terrestre dans le catalogue des Clamp. le graphisme dans un premier temps ne ressemble à aucun autre, que ce soit le style Mokona de X ou le style de Nekoi dans CCS. Les arrondis et les décors très épurés conviennent parfaitement à cette fable urbaine.

L'ambiance coquine par ailleurs est assez inhabituelle pour le studio. Cela dit, il n'y a rien de grossier. Au contraire, l'innocence de Tchii et les réactions de Hideki, naturelles pour un jeune homme de 19 ans, mais également emprunte d'une certaine gêne rendent le tout très touchant. Hideki est vraiment un personnage attachant pour cela.

En outre, les personnages secondaires ont également tous un petit quelque chose d'attachant et de mystérieux. Il est évident que certains d'entre eux nous réserveront des surprises pour la suite.

Dans un Japon d'anticipation, les ordinateurs personnels à forme humaine font fureur. Sortes d'androïdes, ils s'interposent dans les relations humaines, remplaçant petit à petit tout autre contact extérieur. Ils allient en effet des fonctions de service indispensables à une perfection esthétique de l'apparence.




Hideki est un étudiant fauché, timide et maladroit avec la gent féminine. Il rêve d'avoir son propre ordinateur de compagnie et le jour où il en trouve un abandonné dans les ordures, il le ramène chez lui.




Il s'avère que ce modèle, qu'il baptise « Tchii » car ce sont les seules paroles qu'elle prononce (cet ordinateur a une apparence féminine), n'appartient à aucun constructeur connu… il pourrait s'agir d'un « Chobit », des prototypes personnalisés très originaux dotés d'une indépendance de pensée et de sentiments inhabituels.




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Hideki Motosuwa, 19 ans, vient de s'installer à Tokyo. Ayant raté l'examen d'entrée à l'université, ses parents lui ont coupé les vivres et il étudie dans une classe de prépa en attendant de pouvoir le repasser, tout en faisant un petit boulot. Dans un monde où les ordinateurs à forme humaine sont omniprésents, Hideki fait parti des rares personnes n'en possédant pas faute d'argent même s'il rêverait d'en avoir un... Mais le hasard faisant bien les choses, il tombe sur un ordinateur à forme féminine gisant dans la rue au milieu des poubelles et décide de la ramener chez lui. Il réussit à allumer l'ordi et lui donne comme nom le seul mot qu'elle sait dire : Tchii. Toutefois, Tchii ne possède pas de système d'exploitation, elle ne sait donc rien faire et Hideki doit tout lui apprendre !
Mêlant science-fiction, humour, romance, un peu d'érotisme, poésie et drame, "Chobits" est une histoire originale qui donne à réfléchir sur les notions d'amour et surtout de bonheur. Les secrets et l'intrigue se dévoilent petit à petit et comme dans toute oeuvre des Clamp certaines phrases du début prennent tout leur sens bien plus tard dans l'histoire, rendant l'ensemble très cohérent.
Le dessin est magnifique, les personnages très attachants et touchants. Enfin une question revient sans cesse dans les 8 volumes : "Peut-on aimer quelqu'un de différent de soi ?", thème récurrent chez les Clamp mais qui est ici au coeur du récit et y prend toute son importance !

Voici pour moi la découverte d'un premier manga.
Nouvel univers et je dois dire que j'ai bien aimé! Tout d'abord, j'ai bien aimé la façon dont on lit un manga, ça change et j'aime le changement! J'aime aussi les personnages japonais qui sont bien fait tout simplement!
Belle histoire que j'avais découvert un jour par hasard sur mcm!