Ragdoll

Un roman qui commençait bien, avec la découverte d'un cadavre composé de morceaux de 6 corps différents grossièrement cousus entre eux à la manière d'une poupée de chiffon, d'où le titre.

En parallèle, une lettre est envoyée à la rédaction d'une télévision, donnant une liste de six noms de futures victimes avec le jour et l'heure de leur mort.

Le sergent Fawkes, en charge de l'enquête, vient tout juste réintégré après un séjour en hôpital psychiatrique après avoir perdu son sang-froid en plein tribunal. Il trouve le lien entre les morceaux de cadavre et la police part à la recherche des noms de la liste après l'assassinat spectaculaire du premier de la liste : la maire de Londres ! 

... 

Et puis le roman s'enlise. La jalousie entre l'ex-femme de Fawkes et Baxter, sa co-équipière, est   évoquée mais aurait méritée d'être suivie tout au long du récit.

La traque des victimes potentielles est  noyée dans les atermoiements des équipes policières entre le jeune stagiaire qui mène une enquête parallèle en solo, les anciens qui mâchonnent leurs ressentiments et les chefs qui valsent au fur et à mesure de la progression du nombre de morts et de la stagnation de leur enquête officielle.

Bref un roman à haut potentiel ... qui m'a prodigieusement ennuyée au point où j'ai failli le laisser tomber !   

Dommage ! Il commençait bien. 
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Un grand bof.... L'idée de la Ragdoll me paraissait prometteuse, mais l'écriture m'a clairement rebuté... C est plat, dialogues sans intérêt, personnages auxquels je n'ai pas accroché, très peu charismatique. Les descriptions n'apportent rien. Pourtant les codes du thriller sont la mais il manque le "truc" qui relie ces éléments harmonieusement pour avoir un bon résultat. Une déception.

Ragdoll est un thriller écrit comme un script de cinéma, trépidant et assez compliqué par moments. L'on ne s'ennuie pas mais on peut par moments se sentir agacé par une intrigue assez compliquée. le titre resume le noeud gordien de ce polar : poupée de chiffon (ragdoll), le cadavre en 6 morceaux autour duquel s'emmanche l'action.

Nous sommes à Londres, au sein de la Police qui s'occupe des homicides. Une vedette de cette police c'est William-Oliver Layton-Fawkes, alias Wolf, qui a été suspendu de ses fonctions lorsque à la fin d'un procès retentissant, l'accusé (27 meurtres de 27 gamines en 27 jours) est déclaré innocent . Alors Wolf, persuadé de sa culpabilité lui saute à la gorge et essaye de le tuer ce qui lui vaudra 4 années de suspension et l'internement dans un hôpital psychiatrique…Et l'innocenté accusé va récidiver…Ce qui vaudra à Wolf d'être réintégré au sein de sa brigade.

Cette brigade de police londonienne est bien particulière car ils sont tous des anti-héros patentés, tous.

Déjà le pauvre Wolf n'est pas en odeur de sainteté. Sa co-équipière Emily Baxter non plus, avec son mauvais caractère, son penchant pour la divine bouteille et son amour non partagé pour Wolf…Les autres aussi sont tous des personnages extrêmes : à la base, ils peinent au boulot et vers le haut de la hiérarchie, la seule chose qui compte est l'image que la police donne aux politiciens (contenter tout le monde coûte que coûte, ô démagogie des temps modernes). de plus, l'ex femme de Wolf, Andrea Hall, est une journaliste prête à tout pour grimper dans le métier, avide de scoops et tiraillée entre éthique personnelle et intérêt professionnel.

Puis, très rapidement surgit un nouveau cas (qui donnera le titre au polar): un cadavre grossièrement recousu comportant 6 morceaux différents en provenance de six personnes différentes. La tête émane du serial killer innocenté par la justice 4 années auparavant ( chic, il y a justice immanente, alors?). Ce qui est confondant c'est que le cadavre recomposé darde un doigt accusateur vers l'appartement de ce pauvre Wolf qui habite, comme par hasard, juste en face dans un quartier plutôt pourri.

Andrea Hall va recevoir une enveloppe contenant des photos macabres et aussi une liste de 6 personnages que le tueur en série condamne à mourir en précisant la date et l'heure. de la part des forces de police,il va s'engager une course contre la montre pour trouver le tueur et ce d'autant que la sixième personne sur la liste est Wolf ! (18 jours chrono pour résoudre le cas).

Le thriller n'est pas du tout gore et en général les scènes sont assez correctes et ne dégoûtent pas le lecteur. Tout au plus on lira qu'il y avait une « mare de sang », ce sera le maximum de l'évidence. En revanche, et c'est là que le thriller est sympathique, il y a beaucoup d'humour et le lecteur a l'occasion de se dilater la rate.

L'auteur, Cole, fera réfléchir le lecteur en essayant de le mener dans des sentiers tortueux et finalement les découvertes des crimes et du tueur seront révélées à la fin.

On ne s'ennuie pas dans ce roman mais il reste des énigmes non expliqués comme par exemple où son passés les 6 macchabées servant au montage de la poupée de chiffon? Tout de même, six corps disparus…Le serial killer à la fin du livre apparaît comme sorti de la cuisse de Jupiter, personne ne l'attendait celui-là…Le serial killer semblait trop bien informé sur les mouvements de la police; qui en était l'informateur ?

Il semblerait que L'appât est la suite de cette histoire.
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Une construction heurtée. Des protagonistes irrationnels (sauf le stagiaire), un comble pour des agents du Yard. Beaucoup de descriptions assez oiseuses. Une nouvelle charge sur le journalisme poubelle dont, comme par hasard, la vedette est l'ex du policier. Quant à la structure : la motivation (révélée en toute fin) qui fait agir le tueur tient du grand guignol. Sinon des passages violents, bousculés. Une impression générale, si pas d'incohérence, du moins de légèreté dans l'écriture.

Roman du genre "thriller" qui a suscité une critique favorable que je ne comprends pas vraiment: intrigue assez banale et déjà vue, écriture bâclée, personnages à la frontière du cliché. Des longueurs.

Comme souvent avec les livres qui font le buzz, j'ai été déçue par "Ragdoll". J'avais sans doute une attente trop importante par rapport aux critiques qui le décrivaient comme le nouveau « Silence des agneaux ».
Un bon début avec une scène de crime bien morbide, un cadavre pour le moins original constitué de six corps différents reliés par des points de suture, d'où son nom de Radgdoll, poupée de chiffon en anglais. L'inspecteur Wolf va devoir mettre hors d'état de nuire un sérial killer qui via la presse donne la liste de ses six prochaines victimes. Une traque difficile s'annonce...
…Puis le soufflé est retombé…Je n'ai pas retrouvé la tension qui m'a habité durant toute ma lecture du « Silence des agneaux », ni ressentie d'empathie pour les personnages du livre.
Dommage…

La semaine dernière j'ai "enfin" commencé ce livre dont tout le monde parle : Ragdoll

Dans ce livre tout commence avec un "cadavre" recomposé à partir de six victimes démembrées et assemblées par des points de suture. On le surnomme "Ragdoll" qui signifie poupée de chiffon. L'inspecteur " Wolf " Fawkes va diriger l'enquête assisté par son ancienne coéquipière, l'inspectrice Baxter. Chaque minute compte, car ce nouveau serial killer vient de communiquer, par voie de presse, une liste de six noms. Son programme de meurtres pour les jours à venir. Avec le meilleur pour la fin : Wolf lui-même... 

L'idée de base m'a énormément plu, mais au fils des pages j'ai trouvé le livre ennuyeux. Je me suis donc accrocher en me disant que au bout d'un moment l'histoire finirait par me plaire que je ne pourrais plus le lâcher, mais non.
Après que Ragdoll soit trouvé, le gros du livre est passé et en plus les personnages principaux ne sont pas vraiment attachant.
Une grosse déception

J'ai honte de l'avouer mais je l'ai abandonné vers les 2/3, faute d'intérêt pour ce livre.

Malgré un quatrième de couverture très alléchant , j ai eu beaucoup de mal a y rentrer et a m y passionner , le style d écriture ne M As Pas Convenu . Mais Une Bonne Histoire Tout de Même

Une déception pour moi..

Je ne peux pas vraiment critiquer ce livre puisque je l'ai abandonné, tout ce que je peux dire c'est que la magie de l'intrigue n'a pas opéré sur moi, bien malheureusement au vu de tous les bons retours. Je remercie tout de même Babélio ainsi que les Editions Robert Laffont