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3,71

sur 1053 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
"The thrill is gone", chante B. B. King...

C'est malheureusement ce qui m'est arrivé avec ce "bestseller mondial qui obsède les médias".
"Vous aussi, vous serez touchés !" - touchée, coulée...
Ce n'était peut-être pas le moment idéal d'entamer le livre de Cole juste après "Le manuscrit inachevé" de Thilliez; on a affaire au même "ragdoll", un bonhomme assemblé à l'aide de plusieurs cadavres, mais celui de Thilliez a un but (si je peux m'exprimer ainsi) et une existence justifiée (même si c'est immonde). Pour celui de Cole, je me demande pourquoi le meurtrier s'est donné tant de peine...?
L'idée de livre est pourtant bonne - un cercle vicieux "faustien" (comme l'appelle l'auteur) où nos actes passés resurgissent et nous attrapent. Tout le monde sait qu'il n'est pas bon de signer un pacte avec le Diable.

William "Wolf" Fawkes fait partie du contingent de ces flics sombres et tourmentés qui n'en font qu'à leur tête. Il pète un câble en s'acharnant sur un meurtrier libéré par le jury à l'issue du procès.
Il est donc interné dans un hôpital psychiatrique, pendant que le "tueur crématiste"récidive et retourne dans la prison. Mais les dés sont jetés et la partie commence.
Wolf réintègre la police au moment où la marionnette cousue de six cadavres différents est découverte dans un appartement vide en face du sien - et elle le pointe du doigt !
Qui sont ces victimes ? Quel est ce message ?
Et dans la foulée, la liste des prochaines victimes avec les dates de leur mort est adressée à son ex-femme, Andréa, qui travaille pour une chaîne TV. Le meurtrier est-il assoiffé de gloire ? En tout cas, le dernier nom sur la liste est celui de William "Wolf" Fawkes.

L'histoire est bien ficelée, si l'on veut bien croire que les choses peuvent vraiment se passer comme ça - alors je me suis prêtée au jeu, tout en essayant de comprendre pourquoi certains personnages continuent obstinément dans leur mutisme, tandis qu'un mot aurait suffi pour tout débloquer... et je ne parle pas que des meurtres.
Etrangement, j'avais l'impression que les policiers ne mènent pas une enquête systématique - ça butine, ça papillonne - le seul qui fournit un véritable effort est le jeune lapin stagiaire Edmund, qui sert accessoirement du profileur-amateur (dans l'affaire de cette envergure !).
Le meurtrier est si ingénieux que cela frôle Arsène Lupin.
Le système de protection des personnes en danger laisse à désirer; et de toute façon, les médias savent tout, tout de suite !
Alors, comment adhérer vraiment à l'histoire, dont la fin vaporeuse présage qu'il faudrait acheter une suite ?

"Le lecteur de "Ragdoll" devrait avoir le coeur bien accroché" !
Je ne sais pas pour le coeur; dans mon cas c'étaient plutôt les paupières qui tombent et les sourcils qui remontent en lisant quelques touches humoristiques qui m'ont fait penser à des séries TV des années 80.

Mais bon, Daniel Cole est un gentil garçon, il défend la cause des animaux, et c'est son premier roman. Et c'est les vacances, alors tout va bien !
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Ce que j'ai ressenti:

***Une accroche percutante!

Une poupée de chiffon cadavérique: Ragdoll. Et voilà comme un thriller devient vite, une curiosité! 1 corps, 6 victimes, aucun suspect. Autant dire qu'il fallait y penser, et avoir une sacrée imagination pour créer un monstre pareil, tandis qu'un compte à rebours sordide prend ses aises en près de 500 pages…Ragdoll va vite de devenir le cauchemar de cet inspecteur Wolf, loup un peu solitaire dans ce commissariat, et pour nous, lecteur un grand moment de suspense … Viiiiiiiiite, l'équipe n'a pas le temps de dormir sur ses lauriers, de faire des révérences aux supérieurs, ni de trop se préoccuper des nouveaux venus, il se joue un programme complexe et millimétré pour coincer un tueur implacable et de drôles de jeux de politique et d'ambitions rageuses…

« La mort rôdait. Elle venait le faucher. »

***…Mais une fin, un poil, décevante…

J'ai vraiment apprécié que Daniel Cole ai su créer une ambiance tendue et une équipe de personnalités bien campée. On se prend au jeu de l'intrigue, c'est vraiment rythmé et intéressant de les voir tous, se démener contre leurs démons, et j'ai adoré les pointes d'humour de l'auteur. J'ai passé un bon moment dans l'ensemble, oui mais, voilà..Comme c'est un premier roman, je serai indulgente, et même très curieuse de lire la suite des aventures de Wolf, mais je vais devoir nuancer mon enthousiasme, car la fin m'a un peu déçue, dans le sens où j'ai aimé l'idée mais elle m'a semblée perdre un peu de son fil…Et c'est dommage pour une Ragdoll, d'avoir un fil qui ne tient pas, si belle soit-elle…. Mais bon, ne tiens pas le diable qui veut, aussi…^^

« On sait tous qu'agir pour le bien ne s'accorde pas toujours avec la loi, en tout cas pas comme on en rêverait dans un monde idéal. »

***…Un avis nuancé, mais une bonne surprise!

Mise à part, cette fin maladroite, je pense que l'auteur a de quoi nous surprendre dans le futur…Il a déjà un style et une originalité qui attire l'oeil…Des scènes très cinématographiques et des pistes psychologiques intéressantes, je pense que Daniel Cole est sur la belle voie des polars à suivre de près, des histoires à nous faire frissonner de peur, en tenant son petit doudou dans ses bras, au cas où….

« Pour ce qui me concerne, un Ferrero Rocher suffit largement à mon bonheur. »

Ma note Plaisir de Lecture 7/10
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Au procès de Naguid Khalid, le "tueur crématiste", l'inspecteur qui a réussit son arrestation, William Oliver Layton-Fawkes, dit "Wolf", dégoupille et lui saute au coup à l'annonce du verdict de non culpabilité.

4 ans plus tard, un cadavre est découvert, l'index pointé vers l'appartement de Wolf.

L'originalité de ce cadavre, c'est qu'il est constitué de différentes parties cousues entre elles, à partir de 6 corps différents.

L'un d'entre eux, c'est Khalid.

Evidemment, au service des affaires criminelles de la police de Londres, le Homicide and Serious Crime, c'est l'effervescence.
Surtout que le tueur vient de donner la liste des prochaines victimes à une journaliste, qui n'est autre que l'ex femme de Wolf.
En premier, ce sera le Maire. Et en sixième et dernière position, Wolf !

A mon avis :
Voici un thriller qui partait bien, avec une histoire plutôt originale, un héros pas trop compliqué (bien qu'il ait fait un séjour en hôpital psychiatrique quand même !), la perspective d'une enquête à pistes multiples, et une bonne presse.

Malheureusement, les premières pages me questionnent encore.
Pourquoi faire intervenir ce personnage de Samantha Boyd, jurée au procès, qui n'apparait plus ou quasiment plus par la suite ? Au départ on se dit presque que l'histoire va tourner autour d'elle, parce qu'elle apparait comme un personnage principal, ce qu'elle n'est finalement pas du tout.
Puis, en avançant dans le récit, l'histoire est assez confuse, pas toujours évidente à comprendre, avec des retours dans le passé obscur mais néanmoins important.

Par la suite, on a l'habitude du travail d'équipe dans les services de police, même si parfois ça se frite en interne. Ici, le héros semble seul. Il agit dans son coin, sans rendre de comptes.

Pourtant les autres avancent dans leur enquête et sont une aide précieuse, mais il n'y a pas de solidarité entre eux.
Et comme par ailleurs, on ne vit pas le quotidien de Wolf ou très peu, cela rend ce personnage distant, et en fin de compte peu sympathique.

On ne sait finalement plus à qui se raccrocher pour suivre notre histoire. La hiérarchie est nombreuse, les enquêteurs peu décrits.

Et puis de fréquentes fautes de frappe rendent la lecture chaotique dans l'édition que j'ai parcourue... alors tout ça ne me laisse pas un très bon sentiment sur ce livre une fois refermé.

Ce livre, sorti en 2018, a fait l'objet d'une interprétation cinématographique. Il est par ailleurs le premier opus d'une trilogie : "Ragdoll", "L'appât", "Les loups".

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Déçu par ce roman, qui pourtant possède des critiques plutôt bonnes. le noeud de l'enquête partant de 6 parties de corps différents et remembrés en un seul semblait un bon départ pour retrouver les 6 victimes. L'enquête se disperse avec des personnages sans grande cohérence. Je n'ai d'ailleurs toujours pas compris le fil conducteur principal voulu par l'auteur. Principal, car on peut en identifier plusieurs: la folie d'un inspecteur, la revanche pour un crime passé, l'ambiance affreuse du commissariat avec des membres qui se haïssent. Une histoire pas claire du tout avec quelques courts passages haletants.
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Ragdoll sur le papier avait tout pour me plaire ce cadavre retrouvé qui est en fait composé de plusieurs morceaux de corps comme s'il s'agissait d'une poupée de chiffon, ce doigt qui est pointé vers l'appartement d'un célèbre inspecteur dont le nom est Wolf.

Le style d'écriture de Daniel Cole que j'ai beaucoup aimé, cet humour noir que j'ai apprécié.

Mais le gros bémol concerne les personnages et l'enquête en effet je n'ai a aucun moment ressenti d'empathie pour ceux-ci.

La comparaison avec Seven ne tient également pas la route j'ai vu le film et lu le livre également qui est vraiment très au-dessus.

Une déception pour la fin de ce livre mais je suivrais tout de même Daniel Cole dans l'Appât car je garde à l'esprit qu Ragdoll est son premier livre.

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Encensé à sa sortie, Ragdoll est un thriller certes efficace mais malheureusement globalement décevant.

Si le point de départ de l'intrigue est original, l'enquête perd vite de son intérêt devant les incohérences qui parsèment le travail de Wolf, Baxter & Co (ne pas arriver à protéger 1 suspect, cela peut s'entendre, mais 4 à la suite en une semaine, cela fait un peu beaucoup au crédit de Scotland Yard...). Mais on peut passer outre en partant du principe qu'il y en a dans la plupart des classiques du genre...

En revanche, le point faible réside surtout dans le déficit d'affect procuré par Wolf qu'on voudrait apprécier et comprendre mais qui ne nous en donne pas l'occasion. Dommage, car le livre se laisse aisément tourner les pages les unes après les autres. Sans ennui. Mais sans passion non plus.
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Hasard de mon calendrier littéraire, j'enchaîne les romans policiers qui se déroulent dans notre Londres actuel. Après Tu n'auras pas peur de Michel Moatti, place à Ragdoll de Daniel Cole que j'ai reçu dans le cadre d'une masse critique privilégiée. J'en profite donc pour remercier Babélio ainsi que les éditions de la Bête Noire pour cette lecture.

Ragdoll signifie littéralement en anglais la "poupée de chiffon" et désigne le cadavre composé de six corps, déposé en face de l'appartement de l'Inspecteur WOLF. Ce dernier est très controversé dans la police ; en effet, quatre ans plus tôt, il a été interné après avoir agressé Naguib Khalid, certain de sa culpabilité dans une affaire sordide de meurtres d'enfants. Récemment réintégré, il est alors en charge de l'affaire Ragdoll mais doit faire face à une course contre la montre : en effet, le tueur e envoyé à son ex-femme journaliste, Andrea, la liste de ses prochaines victimes...

En raison de mon ordre de lecture, Ragdoll a quelque peu souffert au début, de la comparaison avec le dernier opus de Michel Moatti. En effet, ils possèdent tous deux quelques similitudes. Je citerais ainsi une écriture fluide avec un scénario mené tambour battant et ponctué de rebondissements. Malheureusement, je regrette qu'il n'y ait ni dans l'un, ni dans l'autre une montée crescendo avec à la fin, une révélation surprenante en apothéose. La seconde similitude se retrouve également dans la dénonciation des dérives du journalisme en Angleterre et une critique acide de ce système qui cherche avant tout le sensationnalisme et l'audience au détriment des victimes ou de l'avancée de l'enquête.

Mais, Ragdoll s'affranchit rapidement de son alter ego grâce à ses personnages principaux policiers qui se font littéralement "bouffés" par leur métier. Aucun n'en ressort complètement indemne. Ainsi, on apprend que WOLF est divorcé et a été interné. En cause? Son attitude borderline. Trop soucieux de faire régner la justice, il se substitue à elle en voulant lui-même mettre hors d'état de nuire des meurtriers présumés par des moyens peu recommandables (falsification de preuves, usage de la violence, etc...). Baxter a une vie sentimentale inexistante et sombre un peu plus dans l'alcool. Quant au stagiaire Edmunds (mon personnage préféré) trop soucieux de mener à bien son enquête, néglige sa femme et son futur bébé par ses heures supplémentaires... L'auteur rend ainsi hommage au dévouement de ces hommes et ces femmes à leur métier tout en dénonçant également leurs dérives.

Enfin, je terminerai sur une petite note négative. Avec les scènes violentes et glauques du début, l'auteur a voulu détendre l'atmosphère en distillant dans son récit quelques scènes humoristiques. Malheureusement, ces dernières manquent un peu trop de subtilité à mon goût et ont vite tournées à la bouffonnerie. J'ai trouvé cela dommage car cela perdait en crédibilité.

En conclusion, Ragdoll est une bonne surprise car le roman possède une écriture fluide et un scénario haletant. Il dénonce également certaines dérives de la société britannique comme un certain journalisme sensationnaliste davantage intéressé par l'audience que la recherche de la Vérité ainsi que le travail et les difficultés rencontrées par les policiers. En revanche, on peut regretter parfois un manque de subtilité dans certaines scènes avec un mauvais dosage entre l'horreur et la bouffonnerie.
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Titre : Ragdoll
Année : 2017
Auteur : Daniel Cole
Editeur : Robert Lafond
Résumé : Londres, de nos jours, un cadavre est retrouvé, il est constitué de six corps différents assemblés entre eux par des points de sutures grossiers. le surnom de poupée de chiffon soit Ragdoll en anglais s'imposera rapidement dans les gros titres de la presse britannique. Wolf, tout juste réintégré dans son unité de police après un long séjour en hôpital psychiatrique, devra faire face à un tueur machiavélique qui va bientôt faire parvenir à la presse une liste de ses futurs meurtres comprenant le nom de la victime et la date de son futur assassinat. La traque commence...
Mon humble avis : Ragdoll semble être le thriller du moment et bien que je ne sois pas vraiment attaché à chroniquer des livres au coeur de l'actualité je dois bien avouer que la curiosité a pris le dessus pour ce roman annoncé comme un immense thriller dans la lignée de Seven ou du silence des agneaux. Ajouté à cela l'avis dythirambiques de Gérard Collard, libraire fameux, dont je partage la passion mais rarement les avis, je prenais donc la décision de me procurer le fameux texte, succès planétaire d'un auteur britannique dont je ne savais rien. Cher Gérard, vous qui ne lirez jamais ces lignes et pour qui je ressens une sympathie profonde je tiens à vous signaler qu'une fois de plus je ne suis pas du tout en phase avec votre avis plus que positif sur ce bouquin. En effet si la lecture est assez prenante et les personnages marquants, j'ai trouvé cette lecture plutôt fastidieuse et les rebondissements de l'enquête superficiels. Ragdoll est, à mon humble avis, un roman à la noirceur forcée, au souffle brimé par trop de situations caricaturales qui finissent par lasser le lecteur. Je passerais sur un dénouement alambiquée au possible puisqu'il semblerait que ce soit la règle dans ce type d'ouvrage dont la fin ne justifie que rarement l'attente crée par l'auteur tout au long du texte. L'exercice est ardu, j'en conviens, mais quelques auteurs réussissent neanmoins à surprendre leurs lecteur et je pense que ce n'est malheureusement pas le cas de Daniel Cole. de plus l'aspect trop cinématographique de l'écriture de Cole tant à rajouter à la superficialité de l'ensemble ce que j'ai trouvé plutôt gênant. Pour ne pas que cet avis soit totalement négatif je dirais que Ragdoll reste néanmoins un bouquin agréable à lire, le rythme est soutenu et cela conviendra parfaitement pour une lecture estivale, ce qui n'est déjà pas si mal.
J'achète ? : Non, tu trouveras dans ce blog d'autres thrillers qui sont , à mon humble avis, d'un niveau largement supérieur.
Lien : http://francksbooks.wordpres..
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À l'issue de son procès, Naguib Khalid accusé d'être le serial-killer connu sous le nom du Tueur Crématiste, tueur de 27 enfants en 27 jours se voit reconnu non coupable. L'Inspecteur William Oliver Layton-Fawkes (Wolf) ayant travaillé à l'arrestation de ce monstre voit rouge et décide de se substituer à la justice. Se précipitant sur Naguib Khalid, il lui assène des coups et l'aurait tué si d'autres policiers n'étaient pas intervenus. Suite à cet acte, il est interné une année durant dans un hôpital psychiatrique, le St Ann's Hospital où il apprend quelques mois plus tard l'arrestation de Naguib Khalid pour un nouveau meurtre.
Quatre années ont passé, l'inspecteur est réintégré dans ses fonctions et voilà qu'il est appelé sur une scène de crime à quelques pas de chez lui où est découvert un corps comportant des parties de six victimes et dont la tête est celle de Naguib Khalid. Pour apporter encore plus d'horreur à la scène, le cadavre pointe de son doigt la fenêtre de l'appartement de Wolf et, le serial killer annonce via une liste ses six prochains meurtres prévus avec nom et date prévue dont le dernier n'est autre que… l'inspecteur lui-même. Une course contre la montre commence pour les membres du Homicide and Serious Crime qui en plus d'identifier l'identité des 6 morceaux de cadavres, leur lien … doivent en plus se charger de protéger les autres victimes.
C'était sans compter sur l'intelligence du serial killer qui semble anticiper chacun de leurs gestes et fait preuve d'ingéniosité et, sur l'engouement médiatique sinistre pour Ragdoll (nom donné au serial killer) où le public semble prendre un plaisir morbide à suivre le compte à rebours de chacune des futures victimes…
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Voilà un inspecteur de police pour le moins totalement décalé et mal dans sa peau. Évidemment, au vu de la manière dont s'est terminée sa dernière enquête, on peut comprendre qu'il ait besoin de prendre du recul. Oui, mais voilà, ce n'est tout simplement pas possible. Comment lâcher prise quand un serial killer se promène dans la nature, tout en continuant à perpétrer ces crimes horribles dont le seul but serait à priori de narguer la police.

Ragdoll est un polar qui se lit facilement et qui vous entraîne insidieusement dans un compte à rebours diabolique qu'il nous tarde de voir finir.
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