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Critique de Esorlecram


Revoici le "Poète", cet ancien agent du FBI qui s'est reconverti en tueur en série! (cf
"Le Poète"). Connelly aime faire référence à ses romans ultérieurs et utiliser des personnages connus, ce qui donne une impression rassurante au lecteur. La dernière victime supposée du Poète est ainsi Terry Mc Caleb, le greffé du coeur de "Créance de sang". Bosch, malgré sa mise à la retraite, va tenter de venger son ex-ami en traquant le tueur.
Comme d'habitude, Connelly nous explique sa méthode de travail, il étale toutes ses cartes sur la table, allant parfois tellement dans le détail que cela en devient ennuyeux. Pas question d'élément extérieur qui tombe du ciel pour augmenter le suspense à la fin du chapitre! Mais il n'y a pas que la méthode. Il y a aussi l'intuition, et Bosch n'en manque pas!
L'histoire s'emballe lorsque le tueur, alias Robert Backus, est repéré. Bosch se lance alors, avec sa collègue Rachel, dans une course-poursuite comme ils les aime. Cela se terminera par des coups de feu , des corps à corps entre Bosch et le Poète, mais aussi entre Bosch et la Los Angeles Rivers, ce ruisseau partiellement souterrain qui se déchaîne en cas de tempête. Dommage cette accélération dans la fin de l'histoire, qui s'oppose au côté rationnel d'une enquête qui avance lentement mais sûrement.
P.S. Aucun risque que les enquêtes de Bosch ne s'arrêtent: bien que retraité, il décide de rempiler, car le service a besoin d'anciens éléments expérimentés.
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