On continue la chute libre pour Cornwell avec ce tome long et sans saveur. C'est encore et toujours la même chose: un meurtre, un personnage pas gentil qui veut évincer
Scarpetta, des problèmes informatiques, une tentative d'assassinat sur Kay et une fin bâclée qui retombe comme un soufflet. Voilà, c'est le résumé de presque tous les Cornwell jusqu'à ce tome ci.
Sauf que là, on atteint des sommets dans le ridicule. Avec une écriture qui devient de plus en plus lourde, Cornwell bombarde les états d'âme de Kay qui ne s'est pas remise de la fin de
Combustion. Ironie puisqu'elle s'était plus rapidement remise de la mort de Mark, l'amour de sa vie. On tombe dans le pathos et c'est énervant. Il n'y a pas de réel rythme puisque l'enquête est entravée par la vie privée de
Scarpetta. Dommage, car elle réussi à créer un tueur très très bon. Mais le reste gâche la lecture.
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