Le 4è tome est une longue course-poursuite qui mélange toutes les folies des intervenants. Malik, Jérôme de Mortelune, Barnabé, Nicolas, ou Véra qui fait un court come-back... ils sont tous plus ou moins timbrés.
La douce folie de Nicolas ressort davantage et nous fascine. Celle de Malik répugne.
La mise en couleur est plus brutale, les paysages s'en trouvent magnifiés.
On parcourt la France jusqu'à la Méditerranée. Sorte de voyage initiatique à rebours, vu que -le lecteur n'est pas dupe- seule la mort et la désolation est au bout de la route.
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- Le rêve de ce bénêt a au moins le mérite d'être assez gros pour qu'on puisse tous s'y accrocher, mon prince, sinon quoi d'autre ?...
En vérité Goliath, je suis ENCORE PIRE que tout ce que l'on imagine : il m'arrive même souvent de me craindre moi-même ! ... (p.25)
Pancrasse a l'air encore plus con mort que vivant ! (p.25)
Les 7 vies de l'épervier 3ème époque 3