Les Eaux de Mortelune, tome 9 : De profundis (BD)

En ce qui me concerne, j'ai poursuivi la lecture des derniers tomes afin de connaître le fin mot de la saga. Celle-ci aurait pu (aurait dû) s'arrêter à 5 tomes. Voire 6...

Mais on en est là et il faut boire la calice jusqu'à la lie.

Mortelune prend l'eau de toutes parts. Le mur de force qui la protégeait éclate et c'est la fuite. Chemin faisant on nage dans le n'importe quoi le plus intégral. Alfred, le cyborg ressemblant à la mascotte de Zig et Puce, prend les choses en mains. Barnabé parle de Lovecraft et l'esprit cartésien des scientifique leur est fatal. Seuls les êtres doués de rêves et admettant l'onirisme s'en tireront (en plus du cyborg). Le tome se termine par la disparition de Violhaine, qui se réveille... cela augure d'un 10è tome qui nous révèle tout.

Ce n'est pas racontable, mais cela défie l'imagination, pour sûr.

Les amateurs d'aventures qui tirent dans tous les sens et qui n'ont pas trop besoin de comprendre seront ravis.