Sirius

Le contexte historique de la seconde guerre mondiale m'a plu mais le fait que le chien soit au centre de ce livre a rendu ma lecture compliquée.. Un peu trop loufoque pour moi sans doute, je n'ai pas réussi à être plus que spectatrice de cette histoire et à trouver l'ensemble intéressant mis à part les passages du début du roman. Dommage.

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Il y a des livres où on sent que cela ne va pas fonctionner, on espère se tromper et malheureusement on a raison... Cela a été le cas avec Sirius !

Je ne pense pas que ce soit un "mauvais" livre, en réalité ce dernier n'était tout simplement pas fait pour moi. Alors il est vrai que j'adore les romans historiques portant sur la Seconde Guerre Mondiale, j'en ai lu énormément, j'ai été touchée et bouleversée par leur lecture. Mais ici il n'est pas tellement question de cela, en réalité c'est l'histoire d'un chien. J'adore la race canine mais je trouve que cela ne tient pas vraiment la route en l'espèce...

Ce chien est d'une incroyable intelligence, d'une formidable perspicacité et doué sur de nombreux domaines... Il va nous mener de l'Allemagne aux États-Unis, il va vous faire découvrir les grands noms de son époque tout en amenant à la contextualisation d'une période compliquée. Cela aurait pu vraiment marcher avec une mise en perspective : faire de ce personnage un prétexte pour amener à décrire ce pan de l'Histoire. Cependant l'auteur choisit de faire vraiment de Sirius l'élément "phare" de ce récit.

Il y a eu des moments où j'ai vraiment été intéressée, émue même (notamment au début et à la fin) mais durant la grande majorité de ma lecture je me suis ennuyée, j'avais vraiment hâte de terminer ma lecture... Je suis en train de me dire que ce livre aurait très bien fonctionné s'il avait été écrit pour un lectorat jeunesse : ce serait une bonne lecture pédagogique !

En définitive, je n'ai pas aimé ce roman : il n'était pas fait pour moi, mais peut-être est-il fait pour vous ?
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Première déception, l'index annoncé page 11 n'existe pas. Et puis Sirius qui ne fait "trembler" le III° Reich que dans les 50 dernières pages du livre. La première partie permettant à l'auteur de déployer sa connaissance du cinéma hollywoodien de l'époque. La succession des petits paragraphes également. Elle me fait plus penser à une suite de petites anecdotes plutôt qu'à un roman. Bref, une déception mais peut-être ne suis-je pas très ouverte à l'humour allemand.