Les douleurs fantômes

Des retrouvailles et des souvenirs du précédent roman (Je revenais des autres). C'est comme se retrouver entre copains et se rappeler les bons vieux souvenirs. C'est une histoire qui ne sert que ceux qui l'ont vécu et n'a pas grand intérêt pour ceux qui n'en étaient pas! Arf là je suis dur, mais je n'ai pas bien compris le leitmotiv de ce roman. Je finis par lire les pages en diagonales, les dialogues se suffisent pour comprendre, la trame est simple, les événements attendus, annoncés et répétés sans cesse aux protagonistes qui ne se trouvaient pas dans la pièce, ou pas dans l'époque. Bref, un genre de série b. Et ça me fait de la peine! Parce que j'ai vraiment de bons souvenirs des autres romans. J'abandonne le roman au dernier quart pour lire les deux dernières pages.

D'ordinaire je suis toujours très emballée par Mélissa Da Costa. D'ailleurs Tout le bleu du ciel reste mon incontournable. J'avais bien aimé Je revenais des autres qui étaient le premier roman autoédité de l'auteure mais j'ai vraiment trouvé le temps long dans les douleurs fantômes.
Ce roman n'a pas grand intérêt si ce n'est de donner une suite aux personnages de Je revenais des autres. Suite qu'on pouvait tout à fait s'imaginer seuls sans subir 430 pages de réminiscences adolescentes et de débats amoureux vraiment vides de sens.
Je comprends l'emballement de certains car le livre se lit toujours aussi facilement mais l'histoire manque de fond, et alors j'ai détesté recroiser Opale et Joanne à la fin du roman.
J''ai hâte de me tourner vers son nouvel horizon avec la doublure qui à mon sens est une vraie progression dans son talent d'écrivain.

"Les douleurs fantômes" .....
Ma douleur à moi dans la lecture de ce roman n'a pas été :fantôme".
J'avais apprécié "Tout le bleu du ciel" avec ses paysages pyrénéens et beaucoup d'émotions dans la relation entre les personnages. "Les lendemains" m'avait donné envie de me mettre au jardin en méditant (pas sur que ça pousse...🤣).
Mais "Je revenais des autres" avait été une déception et cette suite confirme que cette histoire de trio amis/amoureux ne m'a pas convaincue.
Bref, écrire sur la maladie ou le deuil me semble donner plus de consistance à la plume de Mélissa Da Costa. Mais écrire sur des histoires d'amour donne un côté niais à son récit débordant de bons sentiments.
Beaucoup de répétitions de situations, de dialogue sans grand intérêt, un style assez plat, aucun suspens, tout est prévisible et bourré de clichés...
Je ne sais pas d'où vient l'engouement sur ses 2 derniers romans.
Je resterai sur ses 2 premiers. Et je conseillerais d'éviter ceux-ci sauf si vous êtes adeptes de la romance où tout est bien qui finit bien, parfois de façon miraculeuse....

J'avais adoré «  Tout le bleu du ciel » et j'avoue de pas y avoir retrouvé l'émotion qui m'avait tellement touchée. Je déplore ces sorties plus ou moins imposées par les éditions à un rythme régulier, ce qui nuit à la profondeur des récits. C'est le cas pour celui-là qui est sympa à lire, mais juste sympa. Une histoire au demeurant plutôt banale même si on y retrouve les personnages d'un livre précédent de l'auteure.
Cela m'a un peu fait penser à une histoire Harlequin, avec une fin heureuse, prévisible. Mais voilà, il manque dans ce livre l'émotion avec un grand E. Dommage !

Suite de " Je revenais des autres, ce gros livre raconte les retrouvailles des amis : Rosalie, Gabriel, Tim, Anton, Ambre.
Après cinq ans, que sont-ils devenus? Gabriel et Rosalie ont eu un autre enfant, Tim et Anton vivent ensemble. Ambre avait fui et désormais partage son existence avec Marc.
Voilà que Gabriel a disparu, Rosalie appelle donc Ambre au secours et voici cette dernière sautant dans le premier train...
Bon je passe les détails que l'on peut aisément trouver dans le roman.
Mélissa Da Costa , à mon avis, avait fait fort, avec " Tout le bleu du ciel" et "les lendemains". Ses deux derniers ouvrages manquent de profondeur. Les personnages me semblent capricieux, instables, peu attachants.
Beaucoup de situations convenues, de bons sentiments, un peu trop de références au baptême, au mariage, à la messe de minuit, cela m'a gênée.

Si vous avez lu ma critique de "Je revenais des autres", vous savez que je n'ai pas été conquise par cette histoire. À vrai dire, à part "Tout le bleu du ciel", aucun autre livre de cette autrice n'a su m'enchanter.
Malheureusement, "Les douleurs fantômes" n'échappe pas à cette fatalité.
Pourtant, à la fin de "Je revenais des autres", une petite introduction sur la suite de l'aventure laissait présager un deuxième roman bien plus intéressant et abouti. Force est de constater que je me suis amèrement trompée.

Les années sont passées, Ambre n'est plus à Arvieux et mène une vie paisible aux côtés de Marc, un chic type dont le seul défaut est visiblement d'être trop gentil... tu ne pourrais pas faire un effort et être un peu con Marc ? Enfin, de l'eau a coulé sous les ponts et la bande d'amis s'est éloignée. Loin des yeux, loin du coeur. Un événement dont sincèrement je n'ai pas saisi la logique, va tous les réunir de nouveau. C'est à partir de cet instant que les clowneries commencent.
De longues pages sur Ambre qui veut partir, mais finalement veut rester. Anton, le personnage le plus détestable de la duologie se comporte comme un enfant de 10 ans.

Si je trouve que cette suite était nécessaire pour donner une vraie fin aux personnages, il aurait peut-être fallu la formuler autrement.
Je me suis sentie totalement dépassée par les longueurs interminables, par les dialogues d'une banalité affligeante, mais surtout par les descriptions totalement inutiles.
Honnêtement, qui a envie de lire 50 pages sur le choix de la dinde pour le repas de Noël ?
Comment peut-on écrire un roman de 600 pages et donner l'impression au lecteur qu'on brasse du vent ? C'est exactement ce que ce livre m'a fait ressentir.

J'ai heureusement eu la présence d'esprit de le lire en compagnie de Lisa, une copine sur bookstagram ; seul point positif de cette lecture.
L'aventure avec Mélissa da Costa s'arrête ici pour ma part. J'ai à coeur de garder un excellent souvenir de "Tout le bleu du ciel" qui est, je le rappelle, un de mes livres préférés. En ce qui concerne ceux que je n'ai pas encore lus, je n'insiste plus, j'abandonne la partie.

J'en avais tellement entendu parler, de cette Mélissa Da Costa !!!! J'ai trouvé celui-ci à la médiathèque, me voilà partie pour cette découverte... bien fade à vrai dire. D'abord, j'ai bien compris que c'était la suite de "Je revenais des autres" et je sais déjà que je n'aurai pas besoin de lire le premier, je sais à peu près tout ce qu'il s'est passé dedans. Ensuite, le style est gentillet, ah c'est sûr ça se lit vite et ce n'est pas désagréable mais tout est tellement facile, tellement prévisible... Les dialogues sont insipides, les redites nombreuses, les personnages sans grande profondeur. Pourtant, je n'ai pas détesté, loin de là, c'est le genre de livre idéal pour se vider la tête, même résultat que se poser devant un téléfilm de M6 du dimanche après-midi ! Et je comprends qu'elle ait tant de lecteurs, tant le style est insignifiant mais facile. N'empêche, je ne vais pas m'arrêter sur cette opinion trop négative, et je vais aller lire "tout le bleu du ciel" pour conforter ou pas...

Quel ennui (et en même temps pourquoi ai je continué à lire, dans ce cas ?!). J'ai trouvé le livre trop exagéré, et la longueur des explications des sentiments et des pensées pesante... Et pourtant j'avais aimé Tout le Bleu du Ciel ! Si vous lisez ceci : dites moi si je dois en lire un autre ou abandonner ?

Pour moi aussi, la note de ce livre est un mystère ! J'ai souffert pour aller jusqu'au bout de cette histoire (j'ai fini par lire en diagonale), où les personnages sont tous plus stéréotypés et attendus les uns que les autres, les dialogues d'une banalité affligeante et les descriptions des moindres faits et gestes remplissent des pages et des pages et des pages. Et alors les dialogues avec les enfants, c'est vraiment le pompon ! C'est le 3e livre que je lis de cette autrice. J'avais lu (il y a longtemps) 3Je revenais des autres3, qui ne m'a pas marquée. J'ai lu, enfin tenté de lire récemment "La doublure" qui m'est tombé des mains et que j'ai abandonné. Celui-ci sera donc probablement le dernier...

Après avoir lu et beaucoup apprécié le premier succès de Mélissa Da COSTA « Tout le bleu du ciel », j'avais beaucoup misé sur ces « douleurs fantômes ».
Je ne savais pas qu'il s'agissait d'une suite à « Je revenais des autres » mais n'ai pas eu de mal à découvrir les personnages, comprendre leurs histoires singulières et anticiper sur leur devenir.
J'ai été très déçue devant ce roman ! Des personnages légers et stéréotypés, une narration ni intéressante, ni crédible, des descriptions banales, une langue misant sur des dialogues mais sans aucune négation, ce qui nuit à la fluidité de lecture, des longueurs et un rythme trop lent n'ont pas réussi à m'embarquer.
Cette histoire est convenue et tombe dans l'écueil de bien des romans feel-good : des leçons de vie attendues, des bons sentiments, de la philosophie de comptoir, des personnages peu incarnés, le tout dans un style qui lasse le lecteur.